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Approche

Pratique
des 4 et 5 Piliers
ème ème

de la Méthode Kousmine

www.kousmine.com
produits UNIFIED LABORATORIES labellisés
par la Fondation Dr C. KOUSMINE
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Index
4ème PILIER ● Le Complexe vitaminique CK 99
● La Solution CK INF&E

5ème PILIER ● Immuno-modulation


● Le test diagnostique MAS in vitro
● MAS CK-RESP & ORL
● MAS CK-LS (large Spectre)
● MAS CK-INTEST
● MAS CK-UROGYN
● MAS CK-DENT
● MAS CK-CAND
● MAS CK-TK
● CK ISO
● Conditionnement. Protocole
d’utilisation. Dose de réaction.Effets
secondaires.
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4 ème
LES SUPPLEMENTS

Pilier
1° LE COMPLEXE VITAMINIQUE Composition :
DE VITAMINES
ET D’OLIGOELEMENTS

CK 99 ISOTONIQUE STERILE Riboflavine 5’phosphate


de sodium .................................................4 mg
Insuffisants par l’apport nutritionnel seul, Pyridoxine hydrochloride ........................4 mg
dans le cas de maladies dégénératives et de Nicotinamide ..........................................40 mg
pathologies chroniques, les vitamines Calcium pantothenate.............................6 mg
hydrosolubles : C, B, acide folique, inositol, Sodium ascorbate ................................844 mg
biotine, et les vitamines liposolubles : A, E, Cysteine hydrochloride monohydrate .....10 mg
F, K, D ainsi que les oligo-éléments : Méthionine............................................200 mg
calcium, magnésium, fer, zinc, manganèse, Aqua distillata q.s.p................................10 ml
sélénium, doivent être supplémentés.
Présentation :
Il y a une vingtaine d’années, la Flacons multidoses de 10 ml par emballages de
Dr C. Kousmine a mis au point une formule 40 pièces.
injectable polyvitaminique, associant des Posologie :
oligo-éléments et des acides aminés. La dose est de 10 ml par injection intra-veineuse.
Le rythme des injections est de deux injections
Elle l’utilisait largement dans le traitement par semaine pendant plusieurs semaines, voire
d’attaque des maladies chroniques, plusieurs mois selon la pathologie.
dégénératives, auto-immunes et virales. La posologie est adaptée en fonction des
carences vitaminiques du patient, ou de la
Cette formule a été actualisée et modifiée. pathologie à traiter.
Elle présente les avantages suivants par
rapport à la formule initiale : Indications :
Toutes les situations où l’on doit soutenir les
1. absence d’alcool benzylique, dont la fonctions hépatiques, aider à la détoxication
toxicité sur le tissu nerveux n’est pas de l’organisme, lutter contre la fatigue.
négligeable ● La sclérose en plaques et les maladies
dégénératives du système nerveux.
2. augmentation de la teneur en
● Les rhumatismes dégénératifs, l’arthrose.
ascorbate à 844 mg pour 10 ml
● Le syndrome de fatigue chronique,
la fibromyalgie, les viroses chroniques.
● Les maladies de nature allergique :
Cette formule est maintenant disponible
asthme, rhinite, eczéma …
sous le nom de : CK 99 ● Les pathologies auto-immunes :
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Polyarthrite rhumatoïde, Spondylarthrite Stabilité :


ankylosante. L’indice de peroxydation reste stable après
● Les pathologies tumorales, en soutien deux années de conservation à température
des traitements classiques. ambiante.
Contre-indications : Posologie :
A éviter avant l’âge adulte, et pendant la La dose moyenne est de 2 ml (ou 3 ml) par
grossesse. injection intra-musculaire.
Le rythme des injections est d’une injection
2° LA SOLUTION CK INF & E par semaine pendant plusieurs semaines,
Largement utilisés en thérapeutique par la voire plusieurs mois selon la pathologie.
Dr C. Kousmine, les vitamines F (ou acides La posologie est adaptée en fonction des
gras poly-insaturés) acides alpha-linoléique carences vitaminiques du patient (évaluées
et linolénique jouent un rôle essentiel dans par un profil des acides gras sériques), ou
la perméabilité des membranes cellulaires, de la pathologie à traiter.
et sont les précurseurs des prostaglandines, Indications :
dont certaines réduisent les processus Toutes les pathologies où l’on retrouve une
inflammatoires. carence en acides gras-polyinsaturés, et en
On les trouve principalement dans certaines particulier :
huiles de premières pression à froid (lin, ● La sclérose en plaques et les maladies
germes de blé, onagre, bourrache, pépins de dégénératives du système nerveux. Certains
cassis …). Elles peuvent être administrées auteurs ont décrit l’importance de
par voie orale, ou par voie injectable, sous l’utilisation des acides oméga 3 et oméga 6
forme intra-musculaire profonde. dans le traitement de la sclérose en
La Dr. C. Kousmine a beaucoup utilisé la plaques, en conjonction avec les anti-
forme injectable intra-musculaire de la oxydants à hautes doses et d’autres
VITAMINE F qui est maintenant disponible vitamines (schwank & col.).
sous le nom de : CK IN-F & E. ● Les rhumatismes dégénératifs, l’arthrose.
Composition : ● Les maladies cardio-vasculaires :
Acides gras poly-insaturés omega 3 et omega artériopathies tabagiques ou diabétiques,
6 trouvés dans l’huile d’onagre, de bourrache, souffrances artériolaires, troubles de la
de pépins de cassis… Alpha-tocophérols perfusion micro-capillaire, rétinite, vasculite …
(vitamine E) Ethyoléate ● Les maladies de nature allergique :
asthme, rhinite, eczéma …
Formulation :
● Les pathologies auto-immunes :
Oleum Onagrae .........................................5 ml
Alpha-tocophérol .................................600 mg Polyarthrite rhumatoïde, Spondylarthrite
Ethynoléate q.s.p. ....................................5 ml ankylosante, Connectivites mixtes, Lupus…

Présentation : Contre-indications :
Flacons multidoses de 10 ml par emballages A éviter avant l’âge adulte, et pendant
de 6 pièces. la grossesse.
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5 ème

Pilier L’ IMMUNO-
MODULATION

Lors de processus inflammatoires ou de des sensibilités secondaires empêchant


maladies rhumatismales chroniques, le toute interprétation future des mêmes tests.
Dr C. Kousmine utilisait systématiquement De plus, si une intradermoréaction était très
des solutions diluées faites à partir de forte, il devenait très difficile d’interpréter
souches microbiennes issues des différentes les autres.
préparations du commerce pharmaceutique,
Ce système thérapeutique (effectuer le
et pratiquait des séries d’injections sous- mélange des souches ayant démontré une
cutanées à différentes dilutions. Avant cela, réaction au test intradermique et produire
afin de déterminer quels produits seraient des dilutions dans le but d’induire une
utilisés pour le traitement, elle testait les tolérance dans le cadre des maladies
souches microbiennes par des injections majeures) a depuis été l’objet de plusieurs
intra-dermiques. remaniements.

Bien menée, cette cure donne des résultats Dans le cas de suspicion de foyers
spectaculaires (cf “La Méthode Kousmine”, infectieux latents, les dilutions qui sont
livre écrit par l’Association Médicale maintenant utilisées sont plus basses (le
Kousmine Internationale). L’amélioration produit est donc plus concentré) puisque
clinique et biologique se dessine au cours l’on veut stimuler le système immunitaire
du traitement. plutôt que d’induire une tolérance.

C’est une technique simple, fiable, qui obéit Les produits suivants
à un protocole rigoureux et reproductible et étaient alors utilisés:
qui n’a pas d’effet secondaire majeur. ● Mélanges d’antigènes bactériens :
préparations unitaires du commerce,
MODULATION IMMUNITAIRE mélangés ensuite d’après les résultats des
INDIVIDUELLE tests cutanés.
● Mélange dit “Mazo” d’antigènes
Historique (mélange standard élaboré par
Comme mentionné plus haut, C. Kousmine)
le Dr Kousmine avait l’habitude de ● Dilutions à base de tuberculine
rechercher au préalable les sensibilités ● Dilutions à base de candidine
immunitaires de chaque patient par des ● Iso thérapies selon cultures de
tests cutanés. Cette méthode peut induire prélèvements variés (auto-vaccins)
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Par la suite, et notamment sous ou de foyers infectieux latents difficilement


l’impulsion de médecins formés identifiables cliniquement ou par les
par le Dr Kousmine, les améliorations investigations conventionnelles.
ont été les suivantes: (laboratoire, radiologies).

● Identification des bactéries et de leurs Les infections latentes sont à ce point


sous-types, en référence à une fréquentes, même dans le cadre de maladie
nomenclature internationale. apparemment non infectieuse (SEP, colite,
● Mise en culture standardisée afin Crohn, etc.), qu’il devient indispensable de
d’obtenir une masse pondérale constante pouvoir disposer d’un moyen de les
des différentes souches. dépister, et d’un traitement efficace.
● Isolation des antigènes membranaires.
Selon les souches, plusieurs antigènes sont Les dernières techniques de microbiologie
obtenus et peuvent donc être utilisés dans clinique ont permis de mettre en évidence
cette méthode. (la préparation d’antigènes l’activité persistante des germes pathogènes
isolés ne fait plus par cette approche). alors que l’on avait considéré l’infection
● La souche ainsi obtenue est celle à partir résolue. L’exemple le plus frappant est celui
de laquelle on peut faire les dilutions. des bacilles de Koch que l’on peut
● Absence de phénol dans les actuellement plus facilement identifier que
préparations. par le passé.
● Modifications du protocole des
préparations diluées utilisées pour le ●B Par des réactions immunitaires croisées
traitement. les anticorps formés contre les antigènes
microbiens peuvent se re-diriger contre les
(Notons qu’aucune bactérie vivante n’étant présente,
organes-mêmes qu’ils sont supposés
et que de ce fait il est impossible d’infecter un patient
défendre, par similitude des structures
avec cette méthode.)
antigéniques de surface entre certains tissus
du corps et ceux de souches bactériennes
Approche Immunitaire spécifiques.
L’organisme est constamment soumis
à des agressions infectieuses qui sollicitent Les éléments immunitaires sériques
son système immunitaire. (anticorps) ou cellulaires sont sensibilisés
La mémoire des réactions immunitaires contre une souche bactérienne, aérobie ou
demeure longtemps et il est toujours anaérobie, puis dans un deuxième temps se
possible de la retrouver bien des années retournent contre des structures corporelles
plus tard. présentant des spécificités immunitaires
similaires (similarité des pôles hydrophiles
●A Cette trace est utile à identifier dans et hydrophobes, des charges électriques, de
les cas d’infections chroniques persistantes, la disposition moléculaire spatiale).
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Il s’agit à nouveau du récipiendaire et de ■ abcès à répétition


l’attaquant : l’antigène 110 du virus EBV est ■ pyorrhée
très semblable à 1’HLA DW4 que l’on ■ infections chroniques ou récidivantes
retrouve dans 80% des poly-arthrites
rhumatoïdes. Le Dr Kousmine décrivait une Maladies rhumatismales inflammatoires:
similitude entre certaines souches de BK et ■ polyarthrite rhumatoïde
1’HLA B27 présent dans 90% des ■ lupus érytémateux
spondylarthrites ankylosantes. ■ mono-arthrites non-spécifiques
■ spondylite ankylosante
●C Finalement, des pathogènes
■ polyfibrosites,
produisent nombre de “toxines” soit
■ polymyosites maladies mixtes des tissus
d’enzymes dont les effets peuvent être
conjonctifs arthrose
variables : mise à nu d’antigènes de surface
de certains tissus (neuraminidase, etc) ,
Autres :
interférence synaptique, interférence sur la
■ maladie de Crohn
contractilité de la fibre musculaire, etc.
■ rectocolite ulcéro-hémorragique
● Ces pathogènes sont pour la plupart ■ syndrome de fatigue chronique
enkystés, “cachés” dans des tissus des ■ sclérose en plaques progressive
granulomes dentaires, des sinus, de la (recherche d’infection sous-jacente)
sphère ORL dans son ensemble, au niveau
du colon, au niveau du systèmes uro-
génital. Souches bactériennes utilisées :
Streptococcus gr. A
● Que ce soit dans le cadre d’infections Streptococcus ep.
latentes sans expression clinique évidente Streptococcus pneumoniae
ou de phénomènes d’immunité croisée, il Streptococcus milleri
est nécessaire de se concentrer sur la cause Streptococcus pyog.
infectieuse de la maladie et de sa Staphylocoques epidermidis
transcription persistante au niveau du Pneumococcus
système immunitaire.
Kiebsiella pneumoniae Haemophilus

Escheirichia Coli
Tableaux cliniques dans lesquels sont
Salmonella enteridis
impliquée des foyers infectieux chroniques : Listeria sp
Proteus mirabîlîs
Syndromes infectieux à répétition: Pseudomonas aer.
■ infections ORL récidivantes Enterococcus
■ bronchite chronique non tabagique Streptococcus aggl.
■ furonculose Streptococcus mitis
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Streptococcus viridans Les dilutions utilisées sont :


Streptococcus ago. ● de 1E-12 à 1E-7 en stimulation, et
Staphylocoques aureus ● de 1E-15 à 1E-20 en induction de
Staphylocoques coag neg tolérance.

Corynebacterium Camphylobacter ● Il est évident que les concentrations


antigéniques utilisées sont relativement
Citrobacter faibles, et que nous nous rapprochons de ce
Salmonella typhimurium fait des dilutions homéopathiques. Mais le
Morganella m. nombre d’Avogadro n’étant pas dépassé,
Proteus vulgaris nous disposons toujours de traces
Pseudomonas diminuata d’antigènes dans les concentrations les plus
faibles.
Bacillum Koch
● Pour la détermination des souches
Candida albicans
actives pour un patient donné, les test de
Candida geotrichum sensibilités cutanées jadis utilisés ont été
Actinomycetes remplacés par des tests d’immuno-
précipitation in vitro qui permettent
Candida tropicalis d’identifier avec précision les souches les
Trichosporon plus antigéniques à partir du sérum.
Aspergillus fumigatus

Ces différentes souches regroupent sous la même Ces tests sont actuellement disponibles
et peuvent mis à disposition des
dénomination de nombreux sous-types différenciés
laboratoires qui en font la demande.
par leurs antigènes de surface. Par exemple, pour la
souche Staphylococcus aureus, il y a 18 sous-types
différents, 17 pour E.coli, etc.

● Tous ces sous-types ont été sélectionnés


afin de ne conserver que ceux qui
présentent les plus fréquentes interférences
avec certaines maladies chroniques.

● De manière pratique, il est nécessaire de


travailler par mélange de différentes
souches et sous-types.
10

Fondation
Docteur
C. Kousmine
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12

Le
test DIAGNOSTIC
MAS “In vitro”

Il s’effectue : réactions utilisées dans la méthode


● à partir du sérum du patient Kousmine originale. Il permet d’objectiver in
● en rapport aux 5 mélanges d’antigènes vitro l’état immunitaire du patient
bactériens ciblés (immunité humorale seulement) par des
procédés d’immuno-précipitation.
● On utilisait précédemment un kit ● La méthodologie est simple : le médecin
d’antigènes pour dépistage par réactions prélève un échantillon de sang complet ou
intradermiques. Il permettait d’identifier les de préférence de sérum et l’envoie au
sensibilités acquises du patient en rapport à laboratoire Fasclant qui effectue les tests.
des antigènes bactériens unitaires ou
combinés (tests d’immunité cellulaire). ● Les résultats sont exprimée en surface de
En fonction des résultats obtenus le
précipitation, et sont comparés avec des
médecin communiquait le mélange
groupes témoins. Ceci donne un critère de
antigénique spécifique du patient au
spécificité ainsi qu’une estimation
laboratoire, qui produisait les mélanges
quantitative envers les souches
correspondants.
bactériennes testées.
● Le laboratoire Fasclant a développé un
Ce test aide le clinicien à identifier :
test in vitro permettant l’identification des
sensibilités immunitaires humorales chez le
● la présence d’une infection latente, sa
patient (à défaut des sensibilités cellulaires
localisation, et la spécificité de l’agent
des candidoses et infections par
infectieux impliqué.
mycobactéries dont l’immunité est
principalement cellulaire). ● la présence ou l’absence d’infections
spécifiques (granulome dentaire, infection
● Cette méthodologie a déjà été utilisée gynécologique sous-jacente, infection
dans le passé et a dû être ré-adapatée à la sinusale chronique, etc.)
situation “kousminienne” en regard aux ● l’image immunitaire d’infections sous-
antigènes d’origine bactérienne utilisés jacentes anciennes.
dans le cadre du 5°pilier de la méthode
Kousmine. et lui offre la possibilité de moduler la
réaction immunitaire en tolérance ou en
● Ce test remplace donc les intradermo- stimulation.
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● Dans le but d’une mise à jour constante, bénéficie d’une labellisation de la part de la
une coopération est établie entre les Fondation Dr C. Kousmine.
médecins de la Fondation Kousmine et le
laboratoire Fasclant. C’est la raison pour ● Les souches utilisées sont regroupées
laquelle cette méthodologie est sous selon les localisations les plus fréquentes
licence et que le laboratoire Fasclant des foyers infectieux chroniques:

Articulaire “Large Spectre” MAS CK LS


Respiratoire / ORL “Resp&ORL” MAS CK RESP&ORL
Intestinal “Intestins” MAS CK INTES
Urologique / gynécologique “Uro-Gyneco” MAS CK UROGYN
Dentaire “Dentaire” MAS CK DENT

Les résultats sont remis ● Si le résultat est supérieur aux témoins,


sous la forme suivante: les dilutions sont 1E-15 à 1E-20

Référence mélange antigénique / résultat Sur demande spécifique, il est possible


en millimètres / témoins en millimètre. d’obtenir des préparations spéciales non
pas aux mélanges standardisés, mais à
La préparation magistrale : des antigènes unitaires.
1- correspond aux résultats qualitatifs
2- correspond aux dilutions selon les
résultats quantitatifs

Les Mélanges Antigéniques Spécifiques


(MAS) sont disponibles sous la forme de
solutions isotoniques stériles en six flacons
de 20 ml de concentration progressive :

● Si le résultat est inférieur des témoins,


les dilutions sont 1 E-7 à 1 E-12
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MAS CK RESP & ORL


Ce mélange antigénique bactérien Les traitements antibiotiques précédent ne
correspond aux souches les plus font que sélectionner les souches
fréquemment rencontrées dans résistantes, et des enkystements de micro-
les syndromes infectieux ORL et foyers infectieux chroniques qui restent
respiratoires. actifs. Le seul moyen de les combattre
Il s’agit bien entendu des streptocoques, consiste en une stimulation immunitaire
des klebsiellae, et des pseudomonas. Il ne spécifique aux souches infectant cette zone.
faut pas oublier le fait que ces infections
sont souvent chroniques, cachées, Les souches utilisées dans MAS CK -RESP
localisées au fonds des sinus, dans les & ORL sont sélectionnées au fil des années
cellules ethmoïdales, dans les cellules afin de correspondre aux souches les plus
mastoïdiennes, ainsi que dans les fréquemment impliquées dans ces
bronchioles. affections.

Souche utilisées :
Streptoccoci pneumoniae Haemophilus influenzae
Streptoccoci viridans Klebsiella pneumoniae
Nesseria catharralis Gaffkya tetragena
Pseudomonas aeroginosa

Concentration de la préparation:
● En stimulation: 1E-12 à 1E-7
● En induction de tolérance: 1E-I5 à 1E-20

Prescription magistrale : MAS CK - RESP & ORL


Streptoccoci pneumoniae Haemophilus influenzae
Streptoccoci viridans Kiebsiella pneumoniae
Nesseria catharralis Gafflkya tetragena
Pseudornonas aeroginosa

6 Flacons stériles de 20 ml l E-7 à l E-12 (en stimulation)


1E-I5 à 1E-20 (en induction de tolérance)

Les présentations, protocoles d’utilisation, étiquetages sont résumés et regroupés plus


loin dans ce texte.
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MAS CK LS (Large Spectre)


Le Dr Kousmine avait mis au point un situations où il est nécessaire de stimuler
mélange de souches correspondant aux l’immunité, etc..
souches les plus fréquemment rencontrées
lors des tests intradermiques. Le premier Le produit et les formules proposées
patient s’appelant Mme. Mazo, cette correspondent à la formulation “CK Mazo”
dénomination a suivi ce procédé durant des d’origine du Dr. C Kousmine, à l’exception
années! de la tuberculine qui ont fait l’objet d’une
préparation séparée (pour plus de rigueur
Ce mélange est pratique à utiliser et donne quant aux protocoles cliniques et aux
des résultats très appréciables dans nombre résultats comparatifs).
de traitements, notamment dans les
affections rhumatismales, dans les
syndromes infectieux récurrents, dans les

Souches utilisées:
E. coli Staphylococcus aureus
Streptoccoci sp Streptoccoci pneumoniae
Proteus vulgaris Klebsiellae pneumoniae
Enterobacter cloacae Salmonella enteritidis

Concentration de la préparation:
● En stimulation: 1E-12 à 1E-7
● En induction de tolérance: 1E-I5 à 1E-20

Prescription magistrale : MAS CK-LS


E. coli Saphylococcus aureus
Strepboccoci sp Streptoccoci pneumoniae
Proteus vulgaris Klebsiellae pneumoniae
Enterobacter cloacae Salmonella enteritidis

6 Flacons stériles de 20 ml 1E-7 à 1E-12 (en stimulation)


1E-15 à 1E-20 (en induction de tolérance)

Les présentations, protocoles d’utilisation, étiquetages sont résumés et regroupés plus


loin dans le texte.
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MAS CK INTEST
Les affections intestinales sont issues de donnent une spécificité unique à ce produit.
diverses causes et impliquent de nombreux Très clairement, MAS CK - INTEST
organismes bactériens qui diffèrent selon la présente une originalité non pas par les
localisation de l’affection causale. souches retenues, mais bien par la
sélection des sous-types de groupes
Dans MAS CK - INTEST les souches sont habituellement décrits dans ces affections.
d’origine colique, et ne concernent pas les
souches impliquées dans les affections A noter que les Clostridium sont retenus,
intestinales hautes. au milieu des bactéroïdes et des
anaérobies, et donnent une efficacité
Les souches sont celles que l’on rencontre particulière à ce mélange : aucune souche
communément, mais il faut relever que les anaérobie n’est habituellement retenue
sélections retenues (parmi les milliers de dans les préparations visant à la
souches d’E.coli que l’on peut sous-typer) modulation des bactéries coliques.

Souche utilisées :
E.coli Morganella morgani
Salmonella enteritidis Enterococcus fecalis
Clostridium perfringens
Proteus vulgaris

Concentration de la préparation:
● En stimulation: 1E-12 à 1E-7
● En induction de tolérance: 1E-15 à 1E-20

Prescription magistrale : MAS CK – INTEST


E. coli Morganella morgani
Salmonella enteritidis Enterococcusfecalis
Clostridiurn perfringens
Proteus vulganis

6 flacons stériles de 20 ml 1E-7 à 1E-12 (en stimulation)


1E-15 à IE-20 (en induction de tolérance)

Les présentations, protocoles d’utilisation, étiquetages sont résumés et regroupés plus


loin dans ce texte.
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MAS CK UROGYN
Les sphère urologiques (surtout chez Les trompes de Fallope étant impossibles
l’homme) et gynécologiques (surtout chez la d’accès, les infections de la muqueuse
femme), sont d’accès difficile pour les utérines ne sont que rarement, voire jamais
prélèvements et les identifications cultivées.
individuelles des germes contaminateurs.
Les sélections de MAS CK-UROGYN sont
La prostate dans ses émissions ne révèle particulièrement pointues, fruits de
que rarement des agents infectieux, qui, nombreuses recherches et sélections au fil
sont souvent mal identifiés du point de vue des années de pratique
bactériologique puisque les germes
impliqués sont difficiles à mettre en culture
puis à typer (chlamydiae, anaérobes,
bactéroïdes).

Souche utilisées
E.coli Proteus mirabilis
Neisseria gonorrhoeae
Chlamydia trachomatis
Klebsiella pneumoniae

Concentration de la préparation:
● En stimulation: 1 E-12 à 1 E-7
vEn induction de tolérance: 1E-15 à 1E-20

Prescription magistrale : MAS CK – UROGYN


E. coli Chiamydia trachomatis
Kiebsiella pneumoniae
Neisseria gonorrhoeae
Proteus mirabilis

6 flacons stériles de 20 ml 1E-7 à 1E-12 (en stimulation)


1E-15 à 1E-20 (en induction de tolérance)

Les présentations, protocoles d’utilisation, étiquetages sont résumés et regroupés plus


loin dans ce texte.
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MAS CK DENT
La sphère dentaire est la zone la plus immunitaire que partielle sinon absente en
fréquente pour les infections latentes qui raison du développements de la muqueuse
interférent dans des maladies majeures péri-granulome qui empêche l’accès aux
dont la sclérose en plaques, les premières lignes de défense immunitaires,
rhumatismes inflammatoires, les et il est donc extrêmement difficile à mettre
inflammations du tissu conjonctif et des en évidence la présence de granulomes par
synoviales, pour ne citer que les principales les moyens immunitaires - tant bien que par
maladies majeures ; nombre d’affections les moyens radiologiques.
mineures, sous forme de fatigue, de MAS CK-DENT joue là un rôle essentiel et
dépression, de mal-être physique trouvent devrait être utilisé systématiquement lors
également pour cause un granulome d’affections mal comprises ou de situations
dentaire. cliniques mal maîtrisées.

Il est particulièrement difficile de mettre en Les souches retenues ont fait l’objet de
évidence les bactéries impliquées dans travail en profondeur, malaisé en raison de
cette sphère car elles sont pour la plupart l’incompréhension générale de l’importance
anaérobies, donnent une empreinte de ces affections.

Souche utilisées
Actinomyces israelii
Bacteroides denticola

Concentration de la préparation:
● En stimulation: 1 E-12 à 1 E-7
● En induction de tolérance: 1E-15 à 1E-20

Prescription magistrale : MAS CK - DENT


Actinomyces israelii
Bacteroides denticola

6 flacons stériles de 20 ml 1E-7 à 1E-12 (en stimulation)


1E-15 à 1E-20 (en induction de tolérance)
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MAS CK CAND
Du fait de l’utilisation abusive des des vésicules séminales, n’ont jamais fait
antibiotiques, le développement de l’objet de recherche systématiques dans les
nombreuses souches mycosiques a été, laboratoires habituels.
durant les dernières décades, un problème
clinique majeur. Nous savons actuellement que ces
affections mycosiques sont des plus
De plus, l’identification de ces organismes fréquentes, et difficiles tant à traiter qu’à
dans des sécrétions aussi mal connues que identifier.
celles des sinus ORL , des crachats
bronchiques, des liquides prostatiques ou

Les souches retenues sont:


Candida albicans provenant de 4 isolements différents

Les tests sériques ne sont pas de grande utilité, il faut recourir au test d’intra-dermo-
réaction tel que le faisait le Dr Kousmine. Ce test intradermique, correspond au groupe
des Candidas : il permet d’identifier le problème d’une candidose sous-jacente.

En cas de réaction positive (soit 5 à 10 mm d’érythème et d’induration), il faut


habituellement demander la préparation MAS CK - CAN en dilutions 1E-14, 1E-18, 1E-24,
1E-30, 1E-60

Il faut indiquer au laboratoire les souches pour préparation antigénique ainsi que les
dilutions demandées

Exemple de prescription magistrale : MAS CK – CAN


Candida albicans

5 flacons stériles de 20 ml 1E-14;-18;-24;-30;-60

A noter que chez les patients très sensibles, il est nécessaire de débuter avec des dilutions de 102 à 105 fois
plus hautes. Ceci est très souvent rencontré lors de mycoses chroniques non identifiées préalablement.

Les présentations, protocoles d’utilisation, étiquetages sont résumés et regroupés plus


loin dans ce texte.
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MAS CK TK
Le Docteur C. Kousmine affirmait que tous le Dr. C. Kousmine recommandait deux
les patients souffrant de spondylite différentes approches:
ankylosante (maladie de Bechterew)
devaient être testés par une réaction de ■ la première, de suivre durant trois mois
mantoux 2 unités. Si cette dernière n’est pas une tri-thérapie antituberculeuse.
franchement positive, répéter le test avec un
mantoux de 5 unités.
■ la seconde, d’effectuer un traitement avec

Ceci en sus, bien entendu, du HLA B27 MAS CK-TK en commençant a une dilution
et de l’évaluation radiologique des souvent haute 1 E-14 à 1 E-18.
sacro-iliaques.

En cas de réaction positive, soit 5 à 10 mm


d’érythème et d’induration,

Indications cliniques habituelles:


● spondylite ankylosante
● maladie de Crohn
● colites ulcéreuses
● affections respiratoires chroniques

Prescription magistrale : MAS CK-TK


Bacille de Koch
Bacille Calmet-Guérin

6 flacons stériles de 20 ml 1E-14 à 1E-18

A noter que chez les patients très sensibles, il est nécessaire de débuter avec des dilutions
de 102 à 105 fois plus hautes.

Les présentations, protocoles d’utilisation, étiquetages sont résumés et regroupés plus


loin dans ce texte.
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CK ISO
Auto-vaccins élaborées ● production d’enzymes attaquant les
à partir de selles complètes membranes cellulaires de l’hôte et révélant
des antigènes normalement cryptés :
ou d’autres souches hyaluronidase, neuraminidase, autres
enzymes. Le système immunitaire se
L’importance des pathologies provoquées mobilise alors contre les antigènes de
par diverses souches bactériennes surface de ces cellules.
pathogènes du patient est bien
documentée, mais leur identification est ● réactions immunitaires croisées :
particulièrement difficile et demande non confusion des antigènes de surface en
seulement une expérience bien établie, rapport aux antigènes de l’hôte : E. coli,
mais une méthodologie irréprochable. streptococci, EBV et son antigène 110, etc.

Il s’agit de souches bactériennes


habituellement anaérobies ou
mycobactériennes ou de chlamydia, qui Les prélèvements des souches
sont à l’origine de maladies dites auto- microbiennes sont habituellement
immunes, dégénératives ou rhumatismales. les suivantes:

● sinus et sphère ORL, ainsi que les


Les modes de pathogénicité bronches.
sont multiples :
● granulomes dentaires (particulièrement
● infections simples et “classiques” non ou importants dans toutes les maladies dites
auto-immunes, notamment dans les formes
mal identifiées : candidose intestinale,
progressives, mais aussi dans les maladies
candidose généralisée, tuberculose
dites dégénératives). A noter que les
intestinale, infections du système urinaire
granulomes dentaires possèdent un
par chlamydia, etc. revêtement cellulaire les isolant de
l’exposition au système immunitaire et sont
● infection latentes au sein des tissus- de ce fait difficiles à reconnaître dans le
cibles: exemples: chlamydia dans les sérum.
plaques d’artériosclérose, mycobacterium
dans les synoviales, sous-types de ● colon qu’il s’agit de nettoyer par des
tuberculose dans les Bechterew, infections à désinfectants intestinaux ainsi que par
streptococci, etc. hydrothérapie du colon, afin de rétablir une
22

flore normale. Il est essentiel d’identifier les ● Les routines de laboratoire doivent être
souches bactériennes indésirables dans le strictes : habituellement, les laboratoires
colon chez la plupart -sinon la totalité - des effectuent une simple culture aérobie et
patients et d’administrer les préparations donnent un résultat descriptif qui n’est
correspondantes. qu’académique. Rares sont les laboratoires
équipés et habilités à effectuer des cultures
● sphère uro-gynécologique, que bien des bactériennes stricto sensu et aptes à
médecins n’abordent que partiellement en préparer des antigènes spécifiques.
raison des réticences des patients. Le milieu
vaginal et utérin sont autant de sites idéaux
de croissance de souches surtout
anaérobies et mycosiques. La prostate
présente les mêmes conditions, et ré-infecte Systématique de préparation CK-ISO
la partenaire à chaque contact
1- culture en cinq milieux de cultures
● les prélèvements d’excrétions nasales / différentes:
sinusales et bronchiques sont aises.
deux milieux aérobies
● les prélèvements du colon sont très
aisés, par les selles, ou mieux, par le liquide deux milieux anaérobies
d’hydrothérapie en fin de séance.
un milieu pour mycoses
● les prélèvements de matériel de
menstruations, d’excrétions vaginales ou de 2- repiquage pour isolation des pathogènes
liquide prostatique peuvent être effectués identifiés.
par le/la patiente.
3-isolation des pathogènes et préparation
● les granulomes dentaires doivent être des antigènes: exposition des antigènes de
identifiés radiologiquement, et drainés par surface. Le matériel est sterile.
le dentiste : il est essentiel que ce dernier
remette un échantillon de la mèche utilisée 4-préparation isothérapique de base à partir
pour le traitement de racine, ceci avant du matériel obtenu, stérile.
désinfection du granulome.
5-dilutions des solutions isotoniques
● Le prélèvement est effectué dans un tube spécifiques.
stérile préparé à cette fin. Ce prélèvement
est suffisant pour les techniques 6-vérification de la stérilité du matériel
microbiologiques actuelles. fourni.
23

Concentration de la préparation: Prescription magistrale:


En stimulation: 1E-12 à 1E-7
Echantillon de : ................................................
En induction de tolérance: 1E-15 à 1E-20 A- Pour
Cultures selon protocole CK-ISO

A noter que chez les patients très sensibles, B- Pour CK-ISO


souches correspondant à culture
il est nécessaire de débuter avec des
dilutions de 102 à 105 fois plus hautes. 4 flacons stériles de 20 ml, ana partes
1E-7 à 1E-10 (en stimulation)
1E-17 à 1E-20
(en induction de tolérance)
Méthode :
Les présentations, protocoles d’utilisation,
● Le médecin ou le médecin dentiste ou étiquetages sont résumés et regroupés plus
le/la patiente prélève des échantillons loin dans ce texte.
FRAIS de crachat, de selles, de pus,
d’excrétion vaginale, et autres, et les met
dans un tube de transport.

● Bien boucher le tube et l’envoyer par la


poste au laboratoire, avec la demande
spécifique.

Ce dernier effectuera les cultures et les


préparations correspondantes.

Nota: il faut compter trois à quatre


semaines avant d’obtenir les flacons de
dilutions, en raison du travail de
laboratoire.

Une fois le travail de base effectué il est


toujours possible d’obtenir de nouvelles
dilutions à partir du travail préliminaire.
24

CONDITIONNEMENT
PROTOCOLE
D’UTILISATION
DOSE DE REACTION
EFFETS SECONDAIRES

Conditionnement Elle est produite de manière stérile et


Six flacons de 20 ml (ou quatre dans le cas dispensée en six flacons de 20 mi de
CK-ISO) dont le contenu est en solution concentration progressive:
isotonique stérile, bouchonnés (type “flacon
Dilutions de 1E-7 à 1E- 12 - résultat est
à pénicilline”) avec un dispositif pour
inférieur des témoins
dispensation nasale ou compte-goutte. Dilutions de 1E-15 à 1E-20 - résultat est
supérieur des témoins
Toutes les références ci-dessus sont façonnées en A moins d’une demande spécifique, le
dispensation nasale stérile pouvant être administrée laboratoire fournit:
par le thérapeute d’une autre manière sous sa propre
responsabilité. ● pour les situations de stimulation
immunitaire, les concentrations
Seule la préparation “Candida” est de 1E-7 à 1E-12.
conditionnée en dispensateur nasal seul.
● pour les situations d’induction de
tolérance, les concentrations
de 1E-15 à 1E-20.

Présentation
La préparation Mélange Antigénique
Spécifique (MAS)

1- correspond aux résultats qualitatifs


2- correspond aux dilutions selon résultats
quantitatifs du test d’immuno-précipitation
s’il a été effectué précédemment.
25

Posologie :
Progression de la cure dose 1 et 2 ........ .................1E-12 .................0.5 ml
en stimulation: dose 3 et 4 ........ .................1E-12 .................1.0 ml
(deux injections sous-cutanées dose 5 et 6 ........ .................1E-12 .................1.5 ml
par semaine) dose 7 et 8 ........ .................1E-12 .................2.0 ml
dose 9 et 10 ...... .................1E-12 .................2.5 ml
(les concentrations dose 11 et 12 .... .................1E-11 ................0.5 m1
sont croisantes) dose 13 et 14 .... .................1E-11 .................1.0 ml

Progression de la cure dose 1 et 2 ........ .................1E-15 ................0.5 m1


en induction de tolérance: dose 3 et 4 ........ .................1E-15 ..................1.0ml
(deux injections sous-cutanées dose 5 et 6 ........ .................1E-15 .................1.5 ml
par semaine) dose 7 et 8 ........ .................1E-15 .................2.0 ml
dose 9 et 10 ...... .................1E-15 .................2.5 ml
(les dilutions sont croissantes) dose 11 et 12 .... .................1E-16 ............... 0.5 m1
dose 13 et 14 .... .................1E-16 .................1.0 ml

Conversion pour thérapie par inhalation:

0.5 ml = 1 puff
1.0 ml = 2 puffs
1.5 ml = 3 puffs

Les doses recommandées sont les suivantes:

Pour un flacon: semaine 1 .........0.5 ml ......2 x / semaine .........soit 1 ml


semaine 2 ............1 ml ......2 x / semaine .........soit 2 ml
semaine 3 .........1.5 ml ......2 x / semaine .........soit 3 ml
semaine 4 ............2 ml ......2 x / semaine .........soit 4 ml
semaine 5 .........2.5 ml ......2 x / semaine .........soit 5 ml
26

Dose de réaction Si l’amélioration ne se poursuit pas,


Dans le cas des stimulations immunitaires reprendre la progression décrite ci-dessus
uniquement. (concentrations de 1E-12 jusqu’à une nouvelle amélioration.
à 1E-7), la progression de la cure se heurte
parfois à une réaction qui se manifeste par Au moment où les symptômes sont sous
recrudescence des symptômes ou par un contrôle, il faut espacer les doses dans le
syndrome d’inflammation générale. temps en prenant bien garde de ne pas
réveiller la maladie ou par un intervalle trop
Il ne faut pas craindre une péjoration long entre deux doses ou par une
clinique de la dose de réaction: car souvent concentration trop élevée.
celle-ci déclenche la résolution du problème
clinique. Durée totale de la cure
Une fois la dose de réaction rencontrée, Il faut adapter la durée du traitement au
il est nécessaire de demeurer à une dilution cas particulier et à la pathologie en
égale ou plus faible que cette dose question - de trois à neuf mois.
provoque.
Dans les maladies chroniques, il peut être
Si par exemple la dose de réaction est de
nécessaire de poursuivre le traitement à
0.5 ml du 1E-8, on pourra donner 0.5 ml
long terme pour une durée d’au minimum
du 1E-9.
deux à trois ans, à raison d’une dose de
Il faut alors espacer les doses à une fois rappel 2 à 12 fois par an.
toutes les semaines ou toutes les 2
semaines. Il est nécessaire d’attendre que Réactions locales
les symptômes provoqués par la dose de Erythème, induration des tissus sous-
réaction aient disparu avant la dose cutanés, démangeaison locale, parfois
suivante. plaque eczémateuse.

Par la suite, on peut “traverser” la dose de Réactions générales


réaction très progressivement il faut revenir Recrudescence des symptômes de la
à la dose supportée sans problème et maladie, fièvre, arthralgies, prurit général,
décider d’une progression plus lente au asthme, urticaire, etc.
niveau des concentrations espacés.

Il faut prendre son temps et progresser


graduellement

Lors de la diminution des symptômes, il


faut espacer le rythme des doses à une dose
toutes les deux semaines, puis toutes les
trois semaines, puis une fois par mois, ceci
pour une durée d’au moins un an.
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