WWW.FEB.
BE
>INFORFEB
[ 17 FÉVRIER 2011 – N° 6 ]
Accord interprofessionnel
Le gouvernement doit prendre rapidement une décision
Le 18 janvier 2011, les négociateurs des
employeurs et des syndicats ont paraphé, au
terme de négociations longues de plusieurs
mois, un projet d'Accord interprofessionnel
équilibré (*). Désireux d’assumer leurs respon-
sabilités, et ne craignant pas de le faire, les
employeurs ont approuvé ce projet. Deux
syndicats, en revanche, l’ont rejeté. Les
employeurs ont immédiatement fait savoir que
l’accord du 18 janvier n'était pas susceptible
d'être renégocié.
À la suite de ce refus par deux syndicats, le
gouvernement s'est mis d'accord la semaine
dernière sur une proposition de médiation.
Dans une telle situation, il appartenait en
effet au gouvernement d'agir rapidement.
Nous avons pris note avec satisfaction d'un
certain nombre de points dans la décision du
gouvernement qui restent très proches du pro-
jet d'AIP. Le fait que le gouvernement impose
la norme salariale (uniquement l'indexation en
2011 et au maximum 0,3% en 2012) doit
À ÉPINGLER
> Que faire pour combler l'écart salarial entre
SALAIRES
les femmes et les hommes ?
> FISCALITÉ > Double imposition des dividendes
> La Commission européenne
RECHERCHE ET INNOVATION
consulte les entreprises
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959
La newsletter pour décideurs
être considéré, sous l’angle de la sauvegarde
de la compétitivité, comme le minimum mini-
morum. De même, le maintien de la suppres-
sion de la grille Claeys en matière de préavis
(doublée de la suppression de l'intervention
du juge pour les employés soumis au nouveau
statut) est appréciable.
Par ailleurs, les employeurs ont reçu des
éclaircissements concernant le maintien des
seuils (100 travailleurs pour un Conseil d’en-
treprise et 50 travailleurs pour un Comité pour
la prévention et la protection au travail) pour
les élections sociales de 2012, ainsi que pré-
vu dans le projet d’AIP. Les employeurs savent
ainsi à quoi s’en tenir sur le terrain.
Mais, il y a aussi des sujets d’insatisfaction…
L'absence, dans la décision du gouvernement,
de l'étude relative au système d'indexation est
une opportunité manquée. Quel que soit le scé-
nario adopté, il est clair pour tout le monde —
depuis le dernier Conseil européen des chefs de
gouvernement — que le gouvernement belge ne
pourra pas se soustraire à la nécessité de réali-
ser une étude approfondie, afin de chercher des
moyens permettant de rendre moins volatils les
effets du système d'indexation. Ce n'est qu'en
effectuant une telle étude et en mettant en
œuvre les conclusions qui en seront tirées qu’il
sera possible d’échapper à la pression de la
Banque centrale européenne.
LE CHIFFRE DE LA SEMAINE
-4,4%
doit ramener le déficit en dessous de 3,9% du PIB, un niveau auquel notre
taux d’endettement recommence à diminuer.
www.feb.be > publications > chiffres et faits
Autre source d’insatisfaction : les pistes en faveur
d’une solution globale dans le dossier ouvriers-
employés n’ont pas été reprises par le gouver-
nement. Voilà qui est hautement regrettable...
Les pistes en faveur d’une
solution globale dans le dossier
ouvriers-employés n’ont pas été
reprises. Voilà qui est hautement
regrettable.
Le gouvernement aurait au moins pu confir-
mer l’impulsion donnée par le projet d’AIP,
pour éviter de devoir partir d’une page
blanche lorsqu’il faudra s’atteler, dans les pro-
chaines années, à l’élaboration des modalités
concrètes du nouveau statut.
Deux des trois syndicats ont paraphé l’AIP,
puis ils l’ont rejeté. Ils ont ensuite mené des
actions. À présent, ils tergiversent et tempori-
sent... Dans l’intérêt de l’emploi, de la relance
économique et de l’image de notre pays
auprès des investisseurs belges et étrangers,
il faut que ce manège cesse au plus vite. Le
gouvernement, avec le Parlement, doit
prendre une décision rapidement (1) !
PIETER TIMMERMANS,
ADMINISTRATEUR - DIRECTEUR GÉNÉRAL
(*) Voir www.feb.be
(1) Texte finalisé le 15 février 2011
Poursuivre sur notre élan
L’an dernier, notre pays s’était engagé vis-à-
vis de l’Europe à ramener son déficit budgé-
taire en 2010 à 4,8% du PIB. Le résultat final
s’établit à 4,4% ! Pour 2011, le gouvernement
[ INFOR FEB 6 — 17 FÉVRIER 2011 ]
> FISCALITÉ
Double imposition des dividendes
La Commission européenne vient de lancer une
consultation (*) sur la double imposition des
dividendes distribués à des investisseurs en
portefeuilles étrangers et à des personnes
privées. Ces dividendes transfrontaliers sont
non seulement soumis à l’impôt dans l’État
membre du bénéficiaire, mais généralement
aussi à un prélèvement à la source dans l’État
membre de la société qui distribue le divi-
dende.
ACTION FEB
> L’ambassadeur Trouveroy à
la Commission Relations
Internationales
La semaine dernière, la Commission Relations
internationales de la FEB s’est réunie sous la
présidence de Lode Willems, ambassadeur
(honoraire), Director External Affairs chez BNP
Paribas Fortis. À cette occasion, Guy Trouveroy,
ambassadeur de Belgique à Moscou et Jehane
Marie Roccas, consul général à Saint-
Pétersbourg, ont commenté la situation écono-
mique et politique de la Russie. Luc Devigne et
Mercedes Calvo, de la Commission européenne,
ont quant à eux présenté l’avancée des négo-
ciations bilatérales entre la Russie et l’UE. Les
orateurs ont rappelé que, même s’il est encore
difficile d’y faire des affaires, la Russie offre
d’énormes opportunités pour nos exportateurs.
Le Prince Philippe, accompagné de plusieurs
centaines de chefs d’entreprises, s’y rendra en
avril afin de promouvoir le savoir-faire belge et
stimuler les relations commerciales bilatérales.
Vincent Caulier – vc@vbo-feb.be
De ce fait, il est beaucoup moins intéressant
d’investir dans des actions étrangères. Cette
situation est préjudiciable non seulement aux
investisseurs eux-mêmes, mais aussi aux entre-
prises (et singulièrement celles de petits pays
comme la Belgique) qui trouvent plus diffici-
lement à se financer sur les marchés de capi-
taux étrangers.
La double imposition des dividendes entrave la
libre circulation des capitaux et la réalisation
du marché unique. La Commission européen-
ne souhaite par cette consultation mieux
connaître cette problématique et en étudier
les solutions possibles.
Début décembre 2010, Rudi Thomaes,
administrateur délégué de la FEB, a encore
abordé cette problématique avec le Commis-
saire Barnier. La FEB se réjouit donc que la
Commission prenne ce problème à cœur. Elle
lui a déjà transmis une étude approfondie (*)
fin 2010.
Alain Lecocq – ale@vbo-feb.be
(*) http://ec.europa.eu/taxation_customs/
common/consultations/tax/2011_withholding_
taxes_en.htm et www.feb.be > Fiscalité.
> Brussels School of
Competition :
fusions et acquisitions
Le contrôle des concentrations est une matiè-
re particulièrement importante en droit de la
concurrence et, en général, pour la politique
commerciale d'une entreprise. La Commission
européenne doit en effet donner son feu vert
préalable à la réalisation de rapprochements
importants entre entreprises. C'est à l'étude
des règles complexes de cette matière que les
professeurs Nicholas Levy (Cleary Gottlieb LLP)
et Paul Hofer (NERA) se sont consacrés durant
trois semaines. Ils ont ainsi fourni aux partici-
pants de la Brussels School of Competition les
Nicholas Levy (à g.) et Paul Hofer (à dr.).
> RECHERCHE ET INNOVATION
La Commission
européenne consulte
les entreprises
Le 9 février, la Commission européenne a lan-
cé une consultation sur de potentielles amé-
liorations à apporter aux programmes
européens de promotion de la recherche et de
l’innovation (*). Cette consultation coïncide
avec la publication d'un livre vert qui dévelop-
pe 27 questions spécifiques et complète
celles-ci au moyen de quelques premières sug-
gestions.
Ces dernières années, l'UE a créé une multi-
tude de programmes, initiatives, instruments et
fonds visant à stimuler la recherche et l’inno-
vation. Les plus connus sont le 7e programme-
cadre de recherche et de développement
technologique (7e PC) et le programme-cadre
pour la compétitivité et l’innovation (PCI) qui
s'adresse de manière spécifique aux PME. De
nombreuses entreprises peinent toutefois à s'y
retrouver dans ce dédale d’aides et se trouvent
confrontées à des lourdeurs administratives et
des conditions de participation rigides. Aussi,
le Conseil européen a-t-il récemment encore
appelé à une simplification du paysage de la
R&D et de l'innovation. La date limite pour
réagir à la consultation est fixée au 20 mai >
outils nécessaires à l’évaluation et à la réali-
sation de la politique de développement de
leur entreprise.
Pierre Sabbadini – psa@vbo-feb.be
La FEB et la sécurité routière
La FEB a soutenu, ce 10 février, à l’instar
notamment d’Agoria, FEBIAC et Assuralia, le
lancement de la campagne 'GO FOR ZERO :
chaque tué sur la route est un tué de trop !',
initiée par l’IBSR. La FEB entend ainsi appor-
ter sa contribution à cette initiative dont le but
est de fédérer un maximum d’entreprises, asso-
ciations et organisations diverses, pouvoirs
publics, médias et citoyens derrière un même
objectif : un trafic plus sûr. Plus d’informations
disponibles sur le site ci-dessous.
Olivier Joris – oj@vbo-feb.be
www.goforzero.be
 [ INFOR FEB 6 — 17 FÉVRIER 2011 ]
> SALAIRES

Que faire pour combler l'écart salarial entre les femmes et les hommes ?
Plusieurs propositions de loi visant à lutter contre l’écart salarial entre
les femmes et les hommes sont actuellement à l'examen au Parlement.
Selon Eurostat, l’écart en termes de salaire horaire (qui élimine l’effet
du travail à temps partiel) s'élève à 9% en Belgique (2008), contre 17%
en moyenne en Europe. L'écart salarial belge diminue d'année en année
et une étude récente du gouvernement flamand indique même un revi-
rement. Les femmes âgées de 25 à 40 ans gagneraient pour la première
fois plus que les hommes par heure prestée. Cette situation tient à une
meilleure formation des femmes, à une tendance à moins interrompre
leur carrière, au choix de secteurs plus stables ou offrant une grande
sécurité d'emploi, à des fonctions plus élevées,... À partir de 40 ans par
contre, la répartition des rôles traditionnelle est plus courante. Il res-
sort du dernier rapport de la ministre Milquet en la matière que l'écart
salarial s'explique pour moitié par la formation, la profession, le secteur,
la nationalité,… L'autre moitié (± 5%) ne s'explique pas, mais serait
selon certains uniquement imputable à la discrimination pratiquée par
les employeurs. La plupart des propositions de loi prévoient dès lors de
nouvelles obligations dans le chef des employeurs, telles qu'un bilan
social renforcé ou l'obligation d'introduire une classification analytique
des fonctions. Ce faisant, l'on déplace un problème sociétal vers les
employeurs.
La FEB souligne que la promotion de l'égalité entre les sexes
requiert un effort de la part de tous les intéressés : les pouvoirs publics,
les médias, les écoles, les centres d’orientation professionnelle, les
employeurs et les travailleurs, les syndicats et les parents. Les écoles
et les centres d'orientation professionnelle doivent mettre les parents
et les enfants en garde contre les clichés sexistes et leur montrer l'im-
portance d'un choix d'études bien réfléchi. Il faut également dévelop-
per des solutions collectives plus efficaces pour l'accueil des enfants
après l'école ou pendant les vacances, plutôt que des solutions indivi-
duelles par famille, souvent

(Source: Eurostat, 2008)

Ecart salarial entre les femmes et les hommes, par heure prestée assumées par les mères. Enfin,
35% les pères et les mères doivent
30% La promotion de être incités à mieux répartir les
25% l'égalité entre les tâches familiales, afin de rédui-
20% 17% sexes requiert un re l'impact négatif des inter-
effort de la part ruptions sur la carrière des
15%
femmes.
10%
9% de tous les
5% intéressés. Michèle Claus – mc@vbo-feb.be

0%
EE
CZ
AT
DE
EL
LT
CY
UK
SK
FI
NL
FR
EU-27
HU
SE
IE
DK
ES
BG
LV
LU
PL
PT
MT
RO
BE
SI
IT

> 2011. Le 10 juin, la Commission en présen-
tera les résultats à l'occasion d'une conféren-
ce de clôture. Elle espère pouvoir traduire les
contributions reçues en propositions de loi
concrètes pour la fin de l'année.
La FEB se félicite de cette initiative de
la Commission et invite les entreprises (et en
particulier les PME) à prendre part à cette
consultation importante. La fragmentation
actuelle des programmes européens complique
la participation à ceux-ci. La FEB préconise d'ores
et déjà une rationalisation des services d'infor-
mation et une simplification administrative.
Michiel Humblet – guesteurop@vbo-feb.be
(*) http://ec.europa.eu/research/csfri/
index_en.cfm?pg=home
Vous cherchez des salles de réunion au cœur de Bruxelles ?
La FEB propose un large éventail de salles polyvalentes et modernes, à des prix concurrentiels.
> DROIT D’AUTEUR
La gestion collective des
droits d’auteur sous la
loupe de la FEB
De nombreuses entreprises s’interrogent sur le
fonctionnement des sociétés de gestion col-
lective de droit d’auteur et soulignent le
manque de transparence entourant leur tarifi-
cation.
La FEB a donc décidé de mener une large
réflexion sur la compatibilité de la gestion col-
lective des droits d’auteur en Belgique avec le
monde de l’entreprise et de chercher des pistes
de solution. Un groupe de réflexion pluridisci-
plinaire mis en place dans le cadre de cette
Infos : Service Events
events@vbo-feb.be
T +32 2 515 09 83
F +32 2 515 09 15
étude a déjà suggéré différentes actions. Dans
ce cadre, la FEB a décidé de publier une bro-
chure (second semestre 2011) expliquant de
manière simple les bases juridiques du droit
d’auteur, les différentes redevances et leur rai-
son d’être.
Dans la foulée, une séance d’information sera
également organisée afin d’informer les entre-
prises, les sociétés de gestion et les politiques
sur cette problématique.
Au-delà de l’information, des mesures
pragmatiques de concertation avec les sociétés
de gestion en matière de tarifs devraient être
mises en place. Pour ce faire, une modification
législative est nécessaire. Une telle concerta-
tion permettrait la fixation de tarifs plus équi-
librés, évalués sur la base de critères acceptés
par les différentes parties. La FEB va égale-
ment interroger plusieurs fédérations euro-
péennes afin de disposer d'un tableau
comparatif des tarifs – très différents – appli-
qués dans les pays voisins.
Nathalie Ragheno – nr@vbo-feb.be
[ INFOR FEB 6 — 17 FÉVRIER 2011 ]

AGENDA Specialised Study Programme (LL.M.) in Competition Law Dates and theme : Venue : FEB, Brussels
and Economics 18, 25 February & Information & Inscription:
4 March: The law and www.brusselsschoolofcompetition.eu,
This course is divided into 12 'learning blocks': with 15 hours of taught Economics of State Aid and info@brusselsschoolofcompetition.eu
seminar for each learning block, this programme seeks to offer the other Anti-Competitive
strongest possible training in the various disciplines of competition State Interventions
policy. From October 2010 to June 2011. From 12.30 p.m.
to 6.30 p.m.

Exécution ultérieure du projet d'AIP 2011 - 2012 Dates et lieux : Contact : Laurent Sempot, T 02 515 09 83,
21 février 2011 - FEB, F 02 515 09 15, ls@vbo-feb.be
Durant cette séance d’information, les experts de la FEB exposeront Bruxelles Info & Inscription : www.feb.be >
les résultats des négociations interprofessionnelles. 25 février 2011 - Manifestations & séminaires
Leonardo Hotels, Wavre
4 mars 2011 - Espace
Vinçotte, Gembloux

Date et thème : Lieu : FEB, Bruxelles

3e édition de la Social Academy 29 mars – 14 u: Intérêt Contact : Nathalie Petit, T 02 515 09 64,
La 3e édition de la Social Academy, ce cycle de formation de 7 après-midis stratégique de la sécurité F 02 515 09 15, np@vbo-feb.be
sur différents aspects de la concertation sociale, poursuit sa route. Les et du bien-être au travail Info & Inscription : www.feb.be, rubrique
sessions ont lieu d’octobre 2010 à mai 2011. Social Academy

Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations

> CLASS ACTION

L’expertise de la FEB Vers des recours
au service de votre entreprise
collectifs en Europe ?
Le dialogue social dans l’entreprise La Commission européenne a lancé, le 4
Le dialogue social dans l’entreprise repose sur trois organes : le conseil d’entre- février dernier, une consultation publique sur
prise, le comité pour la prévention et la protection au travail ainsi que la déléga-
tion syndicale. Ces trois organes remplissent des missions spécifiques, dont les recours collectifs (*). Pour rappel, ce type
certaines ont récemment été adaptées dans le cadre de la transposition de la di- d’action permet à un représentant, sans que
rective 2002/14/CE du Parlement européen et du Conseil du 11 mars 2002 éta-
blissant un cadre général relatif à l’information et la consultation des travailleurs celui-ci ait nécessairement été mandaté à cet
dans la Communauté européenne. effet, d’introduire une action en dommages et
La FEB a publié une série de trois ouvrages qui décrivent les missions et le fonc- intérêts pour le compte d’un groupe de per-
tionnement de ces trois organes. Maître Nadine Beaufils, avocate-associée chez
Taquet, Clesse & Van Eeckhoutte, a rédigé les deux premiers tomes sous l’égide sonnes ayant des droits identiques ou simi-
de la FEB. Marie-Noëlle Vanderhoven signe le troisième. laires à l’égard d’un même défendeur. Certains
Cette trilogie est la référence en matière de dialogue sociale. Ces ouvrages États membres connaissent déjà ce genre de
sont essentiellement destinés à tous les employeurs et leurs collaborateurs en
RH qui se doivent de communiquer et de négocier avec les représentants du
procédure, mais leurs législations varient for-
personnel. tement. Par cette consultation, la Commission
vise à recenser les principes juridiques com-
muns sur lesquels devraient reposer les
recours collectifs dans l’Union européenne
(par ex. en ce qui concerne l’efficacité, l’in-
formation des citoyens et les garanties contre
les procédures abusives). À l’issue de celle-ci,
la Commission décidera s’il y a lieu ou non de
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

35 (tvac) 35 (tvac) 45 (tvac) légiférer en la matière, eu égard notamment

aux principes de subsidiarité et de propor-
Commande en ligne sur www.feb.be (publications > brochures payantes),
par fax : 02 515 09 55 ou par e-mail : publicaties@vbo-feb.be
tionnalité.
Face aux dérives de la 'class action'
américaine, la FEB considère que la pruden-
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL ce est de mise et qu’une analyse d’impact
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15
s’impose avant de s’engager dans cette voie.
RÉDACTION : Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 – am@vbo-feb.be
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 – tf@vbo-feb.be Elle participera à cette consultation et fera
ÉDITEUR RESPONSABLE : Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 – sm@vbo-feb.be valoir ses arguments.
ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba – tél. 03 448 07 57 – nele.brauers@ademaronline.com
Diane Struyven – ds@vbo-feb.be
CHANGEMENTS D’ADRESSE : FEB – Service mailing – tél. 02 515 09 06 – fax 02 515 09 55 – mailing@vbo-feb.be
COPYRIGHT : Reproduction autorisée moyennant mention de la source

L’Infor est imprimé sur du papier issu de la gestion durable des forêts. La gestion durable des forêts tient compte de l'écosystè- (*) Voir http://ec.europa.eu/dgs/
me forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indigènes et des travailleurs forestiers*) et est
responsable d'un point de vue économique.
health_consumer/dgs_consultations/
ca/docs/cr_consultation_paper_en.pdf