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Sommaire :
I. DISPOSITION GENERALES
Le présent Cahier des Clauses Techniques Particulières (C.C.T.P.) fixe, dans le cadre du Cahier des Clauses
Techniques Générales (C.C.T.G.) et en particulier le fascicule 81,Titre II, les conditions particulières
d’exécution des travaux de construction de la station d'épuration des eaux usées domestiques de la commune
de capacité nominale 1 200 EQH sur la commune de St Affrique-les-Montagnes.
Les travaux sont exécutés pour le compte de la commune de St Affrique-les-Montagnes, maître d’ouvrage.
La maîtrise d’œuvre est assurée par la Direction Départementale de l'Agriculture du Tarn et les Ingénieurs de
ce service délégués à cet effet.
Les installations se situeront au lieu – dit « Marmuzel » dans la commune de St Affrique-les-Montagnes. (voir
plan de situation joint).
L’entreprise comprend pour la station d’épuration, l’ensemble des prestations, fournitures et travaux
mentionnés à l’article I-2 du CCTG :
Et notamment :
L’établissement du projet avec le permis de construire si nécessaire.
☞ Les installations seront construites au lieu –dit « Marmuzel » sur une superficie de 23 000 m 2
à prendre
sur les parcelles communales n° 50,52,68,69 voire une partie de la parcelle 49 Section ZA du plan cadastral de
la commune de ST AFFRIQUE-LES-MONTAGNES, (voir le plan topographique). Le plan est disponible sous
support informatique (Autocad 14 version 2004).
☞ Conditions d’accès au terrain : l'accès pendant le chantier et en phase d’exploitation de la station se fera
par le chemin communal n°15 de St Affrique-les-Montagnes à Viviers. Si ce chemin doit faire l’objet d’un
aménagement pour la construction et l’exploitation de la station l’entreprise précisera les caractéristiques à
obtenir (largeur, pente, rayon de braquage, fondation …)et donnera un chiffrage de ces travaux en option.
☞ Le terrain réservé à la station d’épuration n’est pas situé en zone inondable. Par mesure de sécurité, les
installations seront implantées et conçues pour être hors d’eau (10 cm au dessus du TN). Les installations
devront être maintenues en service pour ce niveau.
☞ Sondages et essais de sols : Le rapport de l’étude géotechnique est joint en annexe au présent dossier. Un
résumé de cette prestation est décrit à l’article I.5 « Caractéristiques géotechniques du terrain ».
Il appartient à l'entrepreneur de les compléter à sa charge par ses propres investigations s’il juge incomplète
l’étude de sols eu égard des caractéristiques techniques de la filière d’épuration proposée par l’entreprise.
Le rejet s’effectuera dans le fossé qui jouxte les parcelles communales dédiées et rejoignant le Bernazobre
après 1 km dans la plaine alluviale.
La côte minimale du fil d’eau au point de rejet sera de 178,75 m NGF.
☞ Les travaux comprennent le prolongement de tous les réseaux à l'intérieur de l'emprise du terrain depuis
leur point de livraison (voir plan de masse) jusqu’aux ouvrages projetés par l’entreprise, y compris la pose
éventuelle de compteurs provisoires pendant la durée des travaux.
☞ Electricité :
Le branchement de chantier est à la charge de l’entreprise étant bien défini que l’électricité n’est pas disponible
sur le site, le réseau BT le plus proche étant situé à 500 m. Le Maître d’Ouvrage envisage l’amenée du réseau
électrique BT à la station. Dans l’hypothèse où une solution intéressante proposée par un candidat nécessiterait
l’énergie électrique, les travaux d’électrification seraient engagés par la commune. La prestation de l’entreprise
comprendrait alors la réalisation de l’ensemble du réseau intérieur de distribution (câbles dans des gaines et
regards) à partir du coffret S 2000 situé à proximité immédiate du portail existant de la station (voir point de
livraison EDF / plan topo). La prestation de l'entreprise comprendra également la réalisation de l'ensemble du
réseau intérieur de distribution d’énergie électrique. Des regards de dimensions minimales 60*60 seront
prévues pour des espacements linéaires maxi de 50 m et à chaque changement de direction d’un angle
supérieur à 90 0. Les câbles 220 V et 4-20 mA, logées dans des gaines TPC normalisées de diamètre Ø 90
minimum, seront tirés dans des gaines distinctes.
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L'entrepreneur devra préciser la puissance à installer nécessaire et faire lui-même diligence vis-à-vis du
concessionnaire de la distribution publique d'énergie électrique et du CONSUEL en vue d'obtenir, dans les
meilleurs délais, la mise sous tension des installations électriques ainsi que la fourniture des compteurs ou
systèmes de comptage de courant. Il garantira en outre le Maître d'Ouvrage contre toute revendication de ce
concessionnaire.
☞ Eau :
Alimentation provisoire : actuellement les parcelles réservées à la STEP ne sont pas desservies. La commune
les alimentera avec l’amenée des réseaux d ‘assainissement.
Pendant la durée du chantier, l’alimentation en eau potable pourra s’effectuer à partir du point « AEP projeté »
indiqué sur le plan topo.
Alimentation définitive :
Le projet comprend la réalisation de l'ensemble du réseau intérieur de distribution d'eau potable à partir du
point « AEP » précité. Un compteur fourni par la mairie sera posé par l'entrepreneur à l'abri du gel,
conformément aux prescriptions en vigueur.
☞ Télécommunications :
Le réseau téléphonique n’est pas disponible sur le site. Dans l’hypothèse où une télésurveillance s’avérerait
indispensable, la possibilité d’amener le réseau téléphonique en aérien pourrait être envisagé par la Commune.
Le point de livraison France Telecom serait identique à celui de EDF.
A la charge de l’entreprise :
◆ la mise en place des gaines enterrées avec câble de tirage depuis le portail jusqu’au bâtiment d’exploitation,
◆ la réalisation des chambres de tirage nécessaires,
◆ la mise en place des gaines avec câbles de tirage encastrées dans le local d’exploitation ainsi que le(s)
prise(s) de téléphone,
Toutes ces installations devront être conformes aux prescriptions du service France TELECOM
☞ Point de rejet :
Le projet doit prévoir l'amenée des eaux épurées directement au fossé à la côte minimale 178,50 m NGF.
L’extrémité du rejet sera équipée d’une tête d’aqueduc et d’un clapet anti-retour.
☞ Voirie :
L'accès pendant le chantier et en phase d’exploitation de la station se fera par le chemin communal n°15 de St
Affrique-les-Montagnes à Viviers. Si ce chemin doit faire l’objet d’un aménagement pour la construction et
l’exploitation de la station l’entreprise précisera les caractéristiques à obtenir (largeur, pente, rayon de
braquage, fondation …) et feront une proposition financière en option.
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L’aménagement d’une voirie à l’intérieur de la parcelle réservée au projet fait partie intégrante de l’offre de
l’entreprise. Dans le cas d’une dégradation éventuelle suite au passage des engins liées au chantier, la remise
en état du chemin existant communal d’accès au site dit après travaux est à la charge de l’entreprise.
Une visite du Service de Prévention de la Caisse Régionale d’Assurance Maladie destinée à vérifier la sécurité
du personnel sur ces ouvrages devra être prévue. Toutes modifications qui en découleraient pour obtenir les
garanties de sécurité suffisante sont à la charge de l’entrepreneur.
Un circuit de visite soustrayant les visiteurs aux risques liés à l’exploitation et au fonctionnement de la station
sera proposé par l’entreprise.
Les résultats d'étude de sols sont joints en annexe au présent DCE. Il appartient à l'entrepreneur de
les compléter à ses frais s'il le juge nécessaire.
Les résultats des reconnaissances et essais, mentionnés dans le rapport de Sols et Eaux, peuvent être résumés
comme suit.
☞ La conception générale de l’ensemble des volumes et de l’aménagement des abords de l’installation est
laissée à l’initiative des concurrents, les dispositions adoptées devant satisfaire aux prescriptions architecturales
suivantes :
◆ la disposition des ouvrages, le choix des couleurs des revêtements extérieurs, l'aménagement des espaces
libres de construction seront prévus de manière à s’harmoniser au mieux avec l’aspect du paysage environnant.
◆ toutes précautions seront prises pour que l’ensemble des installations ne provoque aucune gêne dans le
voisinage immédiat en raison de mauvaises odeurs, de bruits et de vibrations. En application de la
réglementation en vigueur, les installations ne devront pas être à l’origine d’un bruit particulier dont
l’émergence perçue en limite de clôture est supérieure à 5 dB(A) en période diurne (7 h-22h) et de 3 dB(A) en
période nocturne (22h-7h), valeurs auxquelles s’ajoute un terme correctif, fonction de la durée cumulée
d’apparition du bruit particulier défini dans le décret 95 408 du 18 Avril 1995.
L’infraction est constatée lorsque le niveau de bruit ambiant mesuré est supérieur à 30 dBA. Compte tenu de la
proximité des habitations relativement éloignées les plus proches(+ de 250 m), on prendra les mesures
adéquates pour limiter cet impact sonore.
De même la qualité de l’air au voisinage de la station doit respecter les concentrations suivantes :
◆ Les dispositions adoptées devront satisfaire aux prescriptions particulières imposées par l'autorité délivrant le
permis de construire.
Sans objet
☞ Origine de l’effluent :
A terme, les effluents proviendront de l’ensemble de commune de St Affrique assaini en collectif et des
hameaux de Bels et Les Bessous commune de Viviers les montagnes. L’architecture du réseau
d’assainissement de la commune de St Affrique (280 abonnés en 2010) est un réseau mixte ( 50 % séparatif et
50 %unitaire) de collecte d’un linéaire environ de 5 000 ml. Sur Viviers ( 60 abonnés en 2010) le réseau est à
créer et sera de type séparatif avec une arrivée à la STEP par refoulement.
Les eaux usées collectées sont des effluents domestiques. Les variations saisonnières sont insignifiantes.
Un schéma d’assainissement a été réalisé pour le commune de St Affrique durant l’année 2004 avec diagnostic
de réseau -mesure de débit et de flux polluants. Le zonage a été à ce jour approuvé après enquête publique.
Une campagne de mesures de débit en continu et de pollution par temps sec et sous averse a été réalisée en
amont de la station de la commune, en conditions de nappe haute et en période de nappe basse en 2004.
La station sera dimensionnée pour faire face à la situation future et aura donc une capacité de 1 200 eq/hab
correspondant à un volume journalier maxi à traiter de 700 m3/j, un débit de pointe maxi estimé à 60 m3/h et à
une pollution à traiter maxi de 72 Kg de DBO5/j.
☞ Le projet comprendra tous les ouvrages et matériels susceptibles de permettre, sans autre forme de
traitement, les utilisations prévues.
Il appartiendra aux concurrents de faire toutes propositions utiles pour l’élimination, dans des conditions
hygiéniques acceptables, de ces produits, dont le traitement devra avoir pour objet de conduire à un résultat ne
dégageant aucune mauvaise odeur et n’attirant pas les insectes ni les animaux.
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Ces concentrations correspondent aux maximums acceptés. Un tableau de garanties fourni en annexe 1 doit
être rempli par l’entrepreneur en y portant les concentrations de sortie sur lesquelles il s’engage et qui pourront
être inférieures à celles proposées. Il sera tenu compte dans le choix de ce rendement.
La qualité des boues et des résidus solides sont garanties quels que soient les débits et caractéristiques de
l'effluent brut.
Les autres performances (qualité des eaux rejetées, frais d'exploitation, etc.) sont garanties dans le domaine
défini au CCTG.
L’électricité peut être disponible sur le site, la topographie des lieux permettant toutefois une arrivée
gravitaire des effluents brutes en entrée de station,
L’emprise au sol pour la construction des ouvrages est limitée à 23 000 m2 à prendre sur les parcelles
communales n° 50,52,68,69 voire une partie de la parcelle 49 Section ZA. L’implantation des ouvrages
projetés devra être la plus judicieuse possible afin de s’adapter à la topographie, de réduire la surface
agricole consommée, de s’intégrer au mieux au paysage de plaine alluviale et aux parcelles agricoles.
Une attention particulière sera portée sur la maîtrise du volume journalier à traiter par temps sec et par
temps de pluie et des débits horaires de pointe au niveau des ouvrages de prétraitement et de traitement
particulièrement délicat du fait de l’existence d’un réseau sensible aux eaux météoriques. Les
caractéristiques techniques du dispositif préconisé ( temps de pompage régulé, bassin tampon, déversoir
etc.) seront explicites,
La possibilité de by-passer la station et chaque ouvrage sera étudiée par les candidats,
Le coût détaillé d’exploitation de la filière proposée sera indiqué dans l’offre de l’entreprise,
Le dégrillage sera assuré par un dégrilleur manuel de maille 40 mm ou un ouvrage combiné automatisé capoté
« tamis-compacteur-ensacheur » de maille 1 mm équipé d’une rampe de contre- lavage et d’un by-pass en cas
de colmatage de la grille rotative. Cet ouvrage sera installé dimensionné sur le débit de pointe admissible sur la
filière eau.
Les déchets ensachés après compactage seront éliminés par la filière des déchets ménagers.
◆ lagunage aéré
Les critères de dimensionnement, le système d’aération, les rendements, les coûts de fonctionnement seront
mentionnés dans l’offre.
L’entreprise mentionnera la charge hydraulique, la charge organique.
En sortie de station, un canal de comptage normalisé type Venturi ou à seuil triangulaire 90°. En option, il
pourra être équipé d’une sonde à ultra-sons avec retransmission des informations en façade de l’armoire
électrique pour connaître les débits instantanés de rejet.
Le dégrillage sera assuré par un dégrilleur manuel de maille 40 mm ou un ouvrage combiné automatisé capoté
« tamis-compacteur-ensacheur » de maille 1 mm équipé d’une rampe de contre- lavage et d’un by-pass en cas
de colmatage de la grille rotative. Cet ouvrage sera installé dimensionné sur le débit de pointe admissible sur la
filière eau.
Les déchets ensachés après compactage seront éliminés par la filière des déchets ménagers.
En sortie de station, un canal de comptage normalisé type Venturi ou à seuil triangulaire 90°. En option, il
pourra être équipé d’une sonde à ultra-sons avec retransmission des informations en façade de l’armoire
électrique pour connaître les débits instantanés de rejet.
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Il est demandé de prendre lors de la conception les dispositions nécessaires pour permettre de garantir la
fiabilité du fonctionnement des ouvrages. Ce raisonnement sera fait dans le but de répondre à l’objectif de bon
fonctionnement continu dans le temps de l’arrêté du 22 mars 1994, fixant les prescriptions techniques relatives
aux ouvrages de collecte et de traitement des eaux usées.
Les délais d’intervention en cas de panne et de remplacement de matériels sont à préciser dans l’offre.
Conformément au C.C.T.G., l’entrepreneur fournira une note de fiabilité.
L’installation comportera un dispositif permettant de limiter le débit admis sur les ouvrages de traitement au
débit horaire de pointe. Le(s) dérivation(s) seront munies de clapet anti-retour afin d’éviter un retour des eaux
du milieu récepteur dans les ouvrages. La possibilité sera offerte à l’exploitant de dériver les ouvrages
principaux.
Les répartiteurs de débit, dans le cas de lignes multiples ou d’appareils en parallèle, doivent permettre d’isoler
chacune des lignes ou appareils, de repartir le débit avec des taux constants dans la plage des débits prévus,
d’ajuster ces taux de répartition et d’éviter l’accumulation de dépôts.
Le mode de fonctionnement des ouvrages éventuels et les possibilités de réglages seront indiqués par
l’entreprise.
L’installation sera équipée d’un dégrillage mécanisé (en option) comportant un ouvrage d’égouttage et de
stockage des produits de dégrillage.
Sans objet
III.5 Relèvement
Pour mémoire
Les installations de relèvement sont conçues conformément au fascicule n° 81 du CCTG titre premier.
« Constructions d’installations de pompage pour le relèvement ou le refoulement des eaux usées domestiques,
d’effluents industriels ou d’eaux de ruissellement ou de surface ». Particulièrement :
- un dispositif de secours des groupes submersibles permettra d’assurer le relèvement du débit horaire nominal
en cas de défaillance d’un des appareils élévatoires,
- les équipements annexes (clapets, vannes) seront abrités dans un regard accolé à la cuve.
- Permettre une maîtrise du débit à traiter et notamment ne pas relever des débits supérieurs, par exemple au
débit de pointe nominal suite à une mise en charge de la bâche de relèvement ;
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- limiter les à-coups hydrauliques à un niveau d'intensité compatible avec le maintien de la qualité du
traitement.
Pour mémoire.
Sans objet
◆ Concernant les disques biologiques, l’électromécanique et le type de supports devront offrir des garanties de
robustesse et de fiabilité. Les disques seront couverts et le local bien ventilé.
☞ Cultures libres :
Pour l’ensemble des bassins biologiques, il est souhaitable de minimiser le nombre de points d’accumulation
de flottants, de rendre amovible les cloisons siphoïdes et de prévoir des dispositions permettant la reprise et
l’évacuation des flottants.
- Dans le cas d'aération par insufflation d’air fines bulles, toutes les dispositions sont prises pour éviter le
colmatage et permettre aisément les interventions d'entretien et de réparation,
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- Les diffuseurs seront disposés au même niveau afin d’assurer une répartition homogène,
- L’air doit être filtré et exempt d’huile,
- Un détartrage par injection d’une solution acide à l’aval du surpresseur ou autre dispositif doit être
possible,
- Les systèmes d'injection d'air doivent être relevables,
- Les bassins comportent une revanche suffisante pour empêcher les projections hors des ouvrages,
◆ Bassins de lagunage :
- Les lagunages naturels seront implantés à une distance minimale de 200 m des habitations,
- Le dimensionnement des ouvrages devra assurer un maintien de la surface libre des eaux à un niveau
déterminé,
- L’étanchéité des bassins naturelle ou rapportée, après examen des résultats de l’étude de sol, sera définie
au niveau de l’offre,
- Dans le cas d'une étanchéité par membrane, d’épaisseur minimale 3 mm, opaque et résistante à l’abrasion
et aux UV, des précautions particulières sont à prendre pour l'accès et le curage et, le cas échéant, pour
l'évacuation des gaz susceptibles de s’accumuler sous la membrane,
- Les bassins seront disposés de telle sorte que qu’il soit possible d’accéder en tout point de leur périphérie
avec des engins pour l’entretien des berges et le contrôle de la végétation,
- Les bassins comporteront une rampe pour accéder au fond pour le curage des dépôts,
- Les ouvrages de liaison seront nettoyables depuis la berge,
- Les berges sont protégées contre le batillage et les détériorations dues aux ragondins par un enrochement.
La zone minimale de protection contre l’érosion des vagues est comprise entre +0,30 et 0,30 m par rapport
au plan d’eau,
- une revanche de 0,50 m, un système de rétention des flottants et surnageants à la surface des bassins ainsi
que des échelles à rongeurs devront être prévus par l’entreprise,
- Les remblais et fonds de lagunes seront contrôlés conformément à l’article V-4 du CCTG fascicule 81 titre
II aux frais de l’entreprise,
- Si un dispositif d’aération est envisagé, toutes dispositions seront prises pour éviter l’érosion des berges et
du radier.
III.9 Désinfection
Sans objet
Dans un premier temps, une convention annuelle sera passée entre le maître d’ouvrage et un vidangeur. A
terme, la Commune pourrait s’orienter vers un plan d’épandage des boues. Dans cet esprit, il est demandé
d’estimer la production des boues et leur siccité et de définir un calendrier de gestion de ces boues.
L’agencement des ouvrages de la station doit être tel que la possibilité de la mise en place d’un dispositif de
stockage des boues sur la parcelle soit possible.
La nature des conduites et leur dimension devront être indiquées dans l'offre. Aucune canalisation en PVC ne
sera tolérée en pose à l'air libre. Les réseaux seront installés hors gel.
S'il existe, le réseau d'eau industrielle est distinct du réseau d'eau potable. Les différents réseaux sont repérés et
marqués de façon indélébile.
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III.12 Désodorisation
Sans objet.
☞ Avant la réception de la station, l'équipement d'autosurveillance sera contrôlé par un organisme choisi et à
la charge du maître d'ouvrage (SATESE par exemple). Toute réparation résultant d'un dysfonctionnement
révélé par ce contrôle sera à la charge de l'entreprise.
☞ la télésurveillance si elle est installée devra comprendre au minimum : une téléalarme (avec appel
automatique sur détection d’alarme ou de défaut), une télémesure (avec suivi de mesure de niveaux, pression,
températures ...) et un télécomptage (avec enregistrements d’événements et de temps de fonctionnement).
☞ Il sera mis en place une armoire électrique permettant l’exploitation avec tout voyants marche, défaut,
ampèremètre, voltmètre, compteur horaire pour chaque moteur, les commandes Marche-Arrêt-Auto ainsi qu’un
poussoir test-lampes. La présentation du tableau sera en outre soumise avant exécution, à l’avis du Maître
d’oeuvre. Les appareillages de l’armoire électrique existante ne pourront pas être récupérés par l’entreprise.
☞ Pour le(s) armoire(s) de commande, une place vacante d'au moins 20% de leur capacité est réservée pour
permettre des raccordements éventuels futurs.
En outre, il devra être prévu l'équipement nécessaire à l'entretien de la station et la gestion des déchets (seau,
râteau...).
☞ Dans le cas de la mise en place de surpresseurs, il est demandé de prévoir une séparation entre la partie
comprenant l'armoire électrique et la partie accueillant les surpresseurs. Cette dernière devra être insonorisée.
L'ensemble devra être suffisamment ventilé.
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Les installations devront satisfaire aux règlements de sécurité en vigueur le jour de la réception des travaux,
tant en ce qui concerne les ouvrages (équipement en garde corps, passerelle, protection des échelles, etc...) que
l’appareillage électrique et notamment aux recommandations de la circulaire R 213 (Sécurité du travail).
L’Entrepreneur est chargé de la procédure en vue de l’obtention du certificat de conformité qui sera exigé à la
réception des travaux.
☞ L'offre doit prévoir la pose d’une clôture (hauteur 2 m) de structure en treillis rigide. Pour une bonne
intégration dans l'environnement, La végétation existante sera dans la mesure de compatibilité avec
l’installation conservée.
III.18 Divers
☞ L'étanchéité du ou des ouvrages béton sera de la classe A telle que définie à l'article 1.2.2.1. du fascicule
74.
L'étanchéité est obtenue grâce à un béton étanche dans la masse. Toutes les dispositions sont prises pour
atteindre cet objectif (conception du ferraillage, adjonction d'un produit hydrofuge, pervibration à haute
fréquence pour obtenir une compacité maximale, etc.).
☞ Tous les plans béton devront être vérifiés par un bureau de contrôle agrée aux frais de l'entrepreneur.
Des prélèvements de 3 éprouvettes seront effectués, à la demande du maître d'œuvre, pour le radier et les
parois des principaux ouvrages bétons. Les prélèvements et les analyses en laboratoire agrée par le maître
d’œuvre se feront à la charge de l'entrepreneur.
☞ Les ciments utilisés doivent satisfaire aux normes françaises applicables au jour de la mise en œuvre.
Sauf pour les bétons de fondation, la nature du ciment est adaptée à la nature des eaux usées et des boues. Elle
doit également être compatible avec les pH extrêmes prévisibles dans les différents types de traitements et avec
les transformations septiques susceptibles de se produire. La classe d’environnement du béton durci de la
norme XP 18305 qui sera utilisé est à préciser et à justifier.
☞ Les ouvrages de grande surface ou de fondations hétérogènes sont réalisés en plusieurs éléments séparés
par des joints de dilatation. Ceux-ci sont exécutés au moyen de bandes souples nervurées, type Waterstop ou
équivalent, protégées de part et d'autre par remplissage avec un élastomère de première catégorie. Les
dimensions des éléments sont adaptées aux déformations prévisibles (retrait, dilatation, tassements, etc.).
L'étanchéité des reprises de bétonnage est assurée au moyen de bandes souples nervurées, de bandes en tôle de
2 mm d'épaisseur et de 0,25 m de largeur ou d'un dispositif équivalent.
Les élastomères pour les joints de dilatation sont de première catégorie (allongement supérieur à 250 %).
☞ Pendant la durée des travaux, l'entrepreneur prend toutes les mesures utiles pour assurer la stabilité des
ouvrages vides, quel que soit le niveau de la nappe ou en cas d'inondation accidentelle des fouilles ouvertes
autour des cuves et canalisations.
☞ Fouilles et terrassements :
Préalablement à l'exécution des terrassements, l'entrepreneur se charge du déboisement, du désouchage, du
débroussaillage, de l'élimination du bois et des souches, sur l'ensemble du terrain destiné à la station.
Tout abattage d'arbre doit faire l'objet d'une demande auprès du Maître d'œuvre.
La terre végétale est obligatoirement déplacée sur toute l'épaisseur rencontrée et mise soigneusement en dépôt
pour être épandue en fin de travaux, sur les emplacements réservés aux espaces verts. Elle doit être purgée des
souches, blocs de béton et déchets de chantier.
L'entrepreneur est responsable de la conservation des déblais et de la terre végétale jusqu'à leur réutilisation. Il
sera tenu de remplacer à ses frais les cubes manquants éventuels.
Des essais seront fait conformément aux prescriptions du CCTG fascicule 81 à la charge de l’entrepreneur.
En cas d’insuffisance, les réparations et les réépreuves seraient à la charge de l’entrepreneur.
☞ L'offre devra donc prévoir la rémunération d'organismes de contrôle indépendants et agrées ainsi que les
dépenses nécessaires aux travaux de conformité pour :
◆ l'hygiène et la sécurité lors l'exploitation de la station,
◆ la stabilité, solidité et étanchéité du génie civil,
◆ les équipements électriques.
VI.1 Mise en eau des ouvrages, épreuves d'étanchéité et de résistance des ouvrages
☞ L’étanchéité des ouvrages terminée, l’entrepreneur procédera à la mise en eau progressive avec de l’eau
propre jusqu’au niveau maximum. Cette mise en eau sera lente et régulière afin d’éviter tout désordre dans les
ouvrages.
Les frais de mise en eau (fourniture de l’eau, électricité) sont à la charge de l’entrepreneur et la mise en eau
proprement dite sera réalisée par ses soins et sous sa responsabilité.
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☞ Dix jours après la mise en eau des ouvrages l’entreprise, avec le maître d’oeuvre, procédera aux épreuves
d’étanchéité des cuves.
Ces épreuves consisteront à contrôler que le niveau d’eau se maintient au niveau maximum et qu’il n’apparaît
aucune tache d’humidité, ni aucun suintement sur les parois extérieures.
S’il n’en était pas ainsi, les ouvrages seraient maintenus en eau jusqu’au colmatage, c’est à dire jusqu’à
disparition des taches et suintements. Toutefois, si ce colmatage ne pouvait être obtenu au bout d’un délai de
deux semaines, ou s’il s’agissait de fuite, l’entrepreneur devra vider les ouvrages et procéder aux réparations
nécessaires. Une nouvelle épreuve, identique à la première, serait alors effectuée et ainsi de suite jusqu’à
l’étanchéité complète. La constatation de cette dernière, sans déformation des ouvrages, vaudra également
épreuve de résistance des ouvrages sous les charges de service.
Dans le cas ou le mode d’exécution de l’ouvrage enterré ( blocage du béton, par exemple, au contact même du
sol) ne permettait pas de recourir à la constatation de l’état extérieur des parois, l’entrepreneur proposera le
moyen susceptible être employé pour juger efficacement de l’étanchéité des ouvrages.
Dans tous les cas, les frais d’épreuves, de réparations éventuelles des ouvrages et de répétition des épreuves
après réparations sont à la charge de l’entrepreneur jusqu’à l’obtention de l’étanchéité absolue.
Lorsque l’entrepreneur estime que l’installation est apte à remplir le service pour lequel elle a été établie, il le
notifie au maître d’oeuvre et l’installation est mise en régime.
Pendant cette période, l’installation doit alors recevoir en permanence la totalité des effluents et fonctionner
sans incident entraînant l’obligation de l’arrêter en raison des défauts de construction ou de mise au point.
Dès la période de mise au point, l’entrepreneur doit mettre au courant le personnel qui sera chargé de
l’exploitation de l’installation et doit l’instruire des consignes relatives à sa bonne marche et à son entretien.
☞ Période d’observation
Lorsque l’installation fonctionne en régime permanent d’une manière satisfaisante, l’entrepreneur doit
demander la mise en observation de l’installation en vue de la réception sous réserve que son personnel ait bien
fait l’instruction du personnel pour la conduite et l’entretien courant du matériel et qu’il ait remis au maître
d’ouvrage les documents énumérés précédemment, nécessaires à la conduite et à l’entretien du matériel.
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La période d’observation n’a pas pour but de vérifier les performances de l’installation qui seront déterminées
au cours de l’année de garantie, mais doit permettre de constater que l’installation fonctionne sans révéler
aucune défectuosité d’ordre hydraulique, mécanique, électrique et sans présenter de difficulté d’exploitation.
☞ Date de réception
◆ La date de réception des travaux est celle du trentième jour d’une période continue d’observation sans
dysfonctionnement et prend effet à cette date sous réserve :
- de la conformité des installations au projet ;
- des résultats des essais ultérieurs de garantie concernant la qualité des eaux rejetées et des boues .
- d’un fonctionnement ne révélant ni défectuosité d’ordre hydraulique, mécanique, électrique, ni d’exploitation,
ni gène pour le voisinage en raison de mauvaises odeurs, bruits ou vibrations.
☞ Essais de garantie
◆ Principe des essais de garantie
Pendant le délai de garantie et après au moins trois mois de fonctionnement normal d’installation, l’entreprise,
à sa charge, procède contradictoirement aux essais de garantie.
Ils sont effectués suivant des protocoles proposés par l’entreprise après acceptation du maître d’œuvre.
Ils ont pour but de déterminer la capacité et la qualité de traitement, la siccité des boues, les rendements des
appareils, les consommations en énergie et réactifs dans les conditions de marche normale.
La durée de la période continue d’essais est de 30 jours pour les diverses parties de l’installation.
La conduite de l’installation pendant les essais est assurée par l’entrepreneur avec le personnel normal
d’exploitation.
◆ L’intervention d’un organisme de contrôle pour les essais lorsqu’elle est décidée par le maître de l’ouvrage
est à la charge de ce dernier.
Dans le cas où des résultats d'essais donnent lieu à des contestations, une nouvelle série d'essais est confiée à
un organisme officiel accrédité et spécialement désigné à cet effet. Les frais relatifs à ces derniers essais sont à
la charge de la partie à laquelle leur résultat donne tort.
☞ Délais de garantie
Le délai de garantie expirera un an après la réception et sous réserve que les essais prévus ci-dessus aient
donné entière satisfaction. Durant cette période, l’entretien et l’exploitation des installations seront entièrement
à la charge du maître de l’ouvrage.
L’entrepreneur restera responsable des installations jusqu'à l’expiration du délai de garantie. Cette
responsabilité entraînera la remise en état ou le remplacement de toutes parties d’ouvrages ou de toutes pièces
qui seraient reconnues défectueuses, soit par insuffisance dans les dimensions ou la puissance, soit par vice de
construction, défaut de manière ou de pose. Par contre, l’entrepreneur ne sera pas rendu responsable des bris de
matériel ou du fonctionnement défectueux d’appareils qui seraient la conséquence d’erreurs matérielles ou de
fausses manoeuvres du personnel chargé de la conduite des installations ou de malveillance ou de tout autre cas
de force majeure régulièrement constaté.
Il est précisé que la réparation des avaries provoquées par le froid sera entièrement à la charge de l’entreprise.
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L’entrepreneur devra obligatoirement présenter un projet complet répondant aux objectifs cités et
correspondant aux normes en vigueur en justifiant ses choix.
Pour chacune des propositions, devront être présentés lors de la remise de l’offre :
Un mémoire explicatif et descriptif complet contenant une justification de la filière choisie, une explication
de son fonctionnement, une justification des dimensionnements des différents ouvrages, des choix des
équipements et des matériaux. (avec les caractéristiques des appareils et accessoires).
◆ les garanties souscrites (cadre fourni en annexe 1)
◆ un récapitulatif complet des données permettant de caractériser le dimensionnement (cadre fourni en annexe
2)
Un devis descriptif : On devra trouver dans celui-ci tous les éléments permettant la comparaison avec les
autres offres.
Pour les équipements et l’électricité : marque, type, caractéristiques de fonctionnement, dimension,
capacité, matériaux.
Pour le génie civil : dimension, matériau retenu, quantité
Un détail estimatif contenant pour chaque poste les coûts détaillés en génie civil, équipement, matériel
électrique.
Plans : chaque concurrent devra fournir les plans nécessaires à la compréhension de son offre (plan
d’ensemble, plan de détail et coupes).
Un bilan d’exploitation des installations (cadre fourni en annexe 3).
Les concurrents prévoiront la rémunération d’organismes de contrôle indépendants et agréés ainsi que les
dépenses nécessaires aux travaux de mise en conformité. Le contrôle des plans doit être effectué par un
organisme agréé aux frais de l’entrepreneur.
La demande du permis de construire, les frais de montage nécessaire à l’instruction du dossier sont à la charge
de l'entrepreneur.
La réception des travaux sera subordonnée à la remise au maître d’oeuvre du rapport final des organismes de
contrôle certifiant la conformité (visas du CONSUEL et APAVE...).
VII.3 Connaissance des lieux et de tous les éléments afférents à l’exécution des travaux
-Avoir pris pleine connaissance de tous les plans et documents utiles à la réalisation des travaux, ainsi que des
lieux et des terrains d’implantation des ouvrages et de tous les éléments généraux et locaux en relation avec
l’exécution des travaux.
- Avoir apprécié exactement toutes les conditions d’exécution des ouvrages et s’être parfaitement et totalement
rendu compte de leur nature, de leur importance et de leurs particularités.
- Avoir pris parfaite connaissance de toutes les conditions physiques et de toutes sujétions relatives aux lieux
des travaux, aux abords, à l’exécution des travaux à pied d’oeuvre, ainsi qu’à l’organisation et au
fonctionnement du chantier (moyens de communication et de transport, ressources en main d’oeuvre, énergie
électrique, eau, installation de chantier, éloignement des décharges publiques ou privées, etc...).
En aucun cas, il ne pourra arguer de ces motifs pour prétendre à une quelconque plus-value lors de l’exécution
des travaux et sera tenu de signaler toute omission ou non concordance qu’il aurait pu découvrir.
L'ENTREPRENEUR,
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Annexe 1
Station d'épuration
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GARANTIES SOUSCRITES
(à compléter par l'entrepreneur)
1 - QUALITE DU TRAITEMENT
Pour les différents paramètres, les concentrations mesurées sur un échantillon non décanté de l’effluent rejeté devront
être égales ou inférieures aux valeurs indiquées au tableau ci-dessous :
1- CAPACITE DE TRAITEMENT
- Charge nominale hebdomadaire en DBO5 kg/semaine
- Débit de pointe maxi (admis sur prétraitement) m3/h
3
- Débit hebdomadaire nominal m /semaine
DBO5 totale :
- Concentration moyenne sur 24 heures mg/l
DCO totale :
- Concentration moyenne sur 24 heures mg/l
2 - Consommation électrique
Les consommations électriques maximales garanties sont données en kWh/semaine et en fonction du débit, q (en
m3/semaine), de la charge en MEST, m (en kg/semaine) et en DBO5, c (en kg/semaine) sous la forme :
3 - Consommation en réactifs
La consommation en réactif est donné en kg/semaine suivant la même principe que pour la consommation électrique :
Pour les boues, les réactifs éventuel sont donnés également en kg/TMS pour des boues à la siccité garantie
précedemment.
Autres :
Annexe 2
Station d'épuration
******
Cadre des données numériques
(à compléter par l’entrepreneur, ce cadre liste, à titre d'exemple, différents
ouvrages susceptibles d'être réalisés, il est à reprendre en fonction de la filière
réellement proposée)
Dégrillage
Nombre de grilles
Espacement des barreaux de grille cm
Vitesse de passage au débit horaire de pointe m/s
Puissance installée (le cas échéant) kW
Puissance absorbée (le cas échéant) kW
Dessableur
Nombre d'unités
Pouvoir de coupure µ
Capacité de stockage du sable m3
Puissance installée (le cas échéant) kW
Puissance absorbée (le cas échéant) kW
Relèvement
Nombre d’unités totale
Nombre de secours
Débit unitaire m3/h
Cote eau arrivée m
Fil d’eau sortie m
Hauteur de relèvement total m
Volume de la bâche m3
Consommation d’énergie par m3 d’eaux usées relevées, pour la hauteur kWh
moyenne de relèvement
Puissance installée kW
Puissance absorbée kW
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Dégraissage - Déshuilage
Nombre d'unités
Surface m2
Temps de séjour en débit de pointe mn
Vitesse ascensionnelle en débit de pointe m/h
Puissance installée (le cas échéant) kW
Puissance installée (le cas échéant) kW
Décantation primaire
Nombre
Surfaces m2
Profondeur m
Volumes m3
Puissance installée du point racleur (le cas échéant) kw
Puissance absorbée du point racleur (le cas échéant) kw
Pour le débit maximal d’alimentation du décanteur :
· vitesse ascensionnelle m/h
· Temps de passage h
Digestion des boues primaires
(et secondaires éventuellement)
Volume du digesteur m3
Temps de séjour moyen de la boue j
Concentration en matière sèche de la boue g/l
Epuration biologique
Lits Bactériens
Nombre
Surface m2
Volumes m3
Hauteur de la couche de matériaux de remplissage m
Vitesse de rotation du tourniquet (le cas échéant) tr/mn
Charge hydraulique superficielle minimale m3/m2/h
Charge hydraulique superficielle maximale m3/m2/h
Charge organique kg DB05/m3/j
% de surface réservée au passage de l’air %
Taux de recirculation (%du débit moyen de temps sec) %
Nombre de pompes
Débit total horaire de recirculation m3/h
Nombre de pompes de secours
Puissance installée (le cas échéant) kw
Puissance absorbée (le cas échéant) kw
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Besoins en O2
Poids d'oxygène appliqué/kg de DBO5 pris en compte pour les conditions kg O2/ DBO5kg
de fonctionnement à la charge nominale
Besoin journalier en O2 kg
Débit de pointe en O2 kg
Aérateurs de surface
Vitesse de rotation tr/mn
Immersion cm
Nombre d’aérateurs
Facteur de service des réducteurs
Puissance installée kW
Puissance absorbée totale pour l’aération kW
Clarificateurs
Nombre
Surfaces m2
Profondeur m
Pente du radier %
Volume du clarificateur m3
Puissance installée kW
Puissance absorbée kW
Charge hydraulique journalière m3/m2/j
Au débit maximal
Vitesse ascensionnelle m3/m2/h
Temps de séjour h
Lagune de finition
Surface m2
Volumes m3
Hauteur m
Autres :
Autres :
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Annexe 3
Station d'épuration
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CADRE DU COMPTE PREVISIONNEL D’EXPLOITATION DE L'INSTALLATION
FONCTIONNANT A LA CHARGE NOMINALE (PRIX HORS TAXE)
(à compléter par l’entrepreneur)
1 - PREAMBULE ET DEFINITION
☞ 1 Energie électrique
- Force et lumière.
☞ 2 Matières consommables
- Réactifs.
- Combustibles.
- Eau.
☞ 5 Analyses et contrôle
☞ 6 Frais de personnel (comprenant : appointements et charges salariales, primes, indemnités de
transport,...)
- Personnel de direction et d’administration (chef d’usine, cadres éventuels, comptables, secrétaires,
chimistes, gardien,...)
- Personnel d’entretien (contremaître, mécaniciens, électriciens, manoeuvres,....)
- Personnel de quart (agents d’exploitation,...)
☞ 7 Charges générales
- Redevance de voirie.
- Impôts.
- Loyers.
- Assurances.
- Frais de transport et de déplacement du personnel local.
- Imprimés fournitures de bureau, documentation.
- Frais de postes et télécommunications locales.
2. Matières consommable
(réactifs, combustibles (1)...)
2.1 Consommation annuelle................................................................
2.2 Dépenses annuelle................................................................
A
TOTAL ................................................................................................ B
6 Frais de personnel
Nombre Qualification nombres Salaire Charges sociales Total
d’heures par an annuel
___________ ___________ ____________ ___________ ______________ __________
TOTAL C (2).....................................................
7 Charges générales
TOTAL D ..........................................................
1. Par exception, les prix des produits pétroliers s'entendent T.T.C. car la T.V.A. n'est pas récupérable.
2. Dans le cas de passation d'un contrat d'exploitation, seul le total des salaires versé est contractuel.
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2. Matières consommable
(réactifs, combustibles (1)...)
2.1 Consommation annuelle................................................................
2.2 Dépenses annuelle................................................................
A
TOTAL ................................................................................................ B
6 Frais de personnel
Nombre Qualification nombres Salaire Charges sociales Total
d’heures par an annuel
___________ ___________ ____________ ___________ ______________ __________
TOTAL C (2).....................................................
7 Charges générales
TOTAL D ..........................................................
1. Par exception, les prix des produits pétroliers s'entendent T.T.C. car la T.V.A. n'est pas récupérable.
2. Dans le cas de passation d'un contrat d'exploitation, seul le total des salaires versé est contractuel.
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2. Matières consommable
(réactifs, combustibles (1)...)
2.1 Consommation annuelle................................................................
2.2 Dépenses annuelle................................................................
A
TOTAL ................................................................................................ B
6 Frais de personnel
Nombre Qualification nombres Salaire Charges sociales Total
d’heures par an annuel
___________ ___________ ____________ ___________ ______________ __________
TOTAL C (2).....................................................
7 Charges générales
TOTAL D ..........................................................
1. Par exception, les prix des produits pétroliers s'entendent T.T.C. car la T.V.A. n'est pas récupérable.
2. Dans le cas de passation d'un contrat d'exploitation, seul le total des salaires versé est contractuel.