C’est connu que l’etre humain est fait de nombreux dimensions d’action et des elements

fixes et movibles qui construisent son identité, mais on prends cet avis trés legérement et
laisse dehors une approfondisement trés necessaire pour nous. Néanmoins, il y a des
personnes curieuses et possédant un esprit investigatif qui sont capable de nous donner une
plus claire idée qui nous fait conscients d’un fait important: l’etre humain est totale et
meme individuel. Cet phenoméne Edgar Morin nous le montre, un francais qui a été
philosophe et sociologue et qui nous semble peculiére par sa pensée unissant. D’ailleurs,
on doit illustrer un peu ce qu’il a presenté dans son chapitre III Enseigner la condition
humaine du livre Les sept savoirs necessaires á l’éducation du futur publié en finissant le
siécle XX ; aussi comme conclusion on montra l’avis du texte.

Morin a écrit une grand phrase qui ouvre plus l’esprit et nous rends un peu
humble : «connaître I’humain, c’est d’abord le situer dans l’univers, non l’en retrancher »
(p. 23), c’est á dire, nous tire loin des idées reduissantes et closes, pour y penser de
l’humain comme quelque chose plus grande. Morin a consideré que la pensée seule ne peut
pas refletir cette verité, donc il faut suivre un processu tenu de recherche a fin de mieux et
reélement connaitre l’étre humain en relation avec le cosmo, la nature, l’humanité,
l’individualité, l’historie, la culture, la société, l,éspece, la biologique, l’anthropologie et
d’autres, de telle facon que deviens assez fort la vision de notre condition humaine
comprise comme unité et diversité á la fois. En outre, Morin croit véritablement que nous
devons avoir a la tete la realité de que nous sommes terriens, biologiques et cosmiques et
que tout ceux sphéres composent La Vie.

L’auteur, en son intention de faire salliant notre importance comme créatures, comme
individus complexes et pourtant dignes d’attention, mets la culture comme produit de notre
action incessante, comme accumulation « (…)de ce qui est conservé, transmis, appris, et
elle comporte normes et principes d’acquisition » (p. 26), duquelle on a créé la société et
ainsi en nous formant une prolongation comme éspece. En fait, il a dit « tout
développement vraiment humain signifie développement conjoint des autonomies
individuelles, des participations communautaires et du sentiment d’appartenance à l’espèce
humaine » (p. 27). Et tout ce-ci a de vital, d’important le necessité que l’autre paraitre
exprimer plusieurs fois, laquelle est : l’éducation du futur devra prendre conscience de
l’etre humain d’une maniére complétement differente jusqu’au présent car « (…) ilporte en
lui cérébralement, mentalement, psychologiquement, affectivement, intellectuellement,
subjectivement, des caractères fondamentalement communs et en même temps il a ses
propres singularités cérébrales, mentales, psychologiques, affectives, intellectuelles,
subjectives... » (p. 28) sans limiter ses opportunités de développement, connaissance
exterieure et interieure, creativité, securité, pour devenir une individualité interdepedente
avec une totalité appellé vie, a travérs de sa condition humaine.

En géneral on est accotumé a voir comment les sciences humaines et les sciences exactes
manquent á expliquer la condition humaine et elles se perdent dans des coins de la pensée ;
aussi l’orgueil intellectuel devient un obstacle pour approfondir dans la realité compléte.
On est d’accord avec Morin quand il dit que notre pensée, notre conscience, nos idées et
nos prejudices nous eloignent de vivre l’experience humaine et réel. Notre avis du texte est
synthetisé comme une étonnement causé par la sagesse humaniste et cosmologique de
l’auteur qui avec une enorme habilité est capable de rejoindre beaucoup de paradoxes en
nous les donnant avec une tel simplesse et clarité. De meme, le texte devrais etre une
reference que nous permettre, sinon guider nos visions du monde, au moins semer
l’impulse necessaire pour garder a l’ésprit et au coeur un respect, un amour, une curiosité
grandi par le mystére et l’immensité multiple de l’etre humain.