Professional Documents
Culture Documents
Présentation.
Le contexte nouveau dans lequel se situe l'entrepôt depuis ces dernières années est caractérisé par les éléments
suivants qui tous proviennent de l'impact des politiques de 'Juste à temps' et de 'zéro stock', par ordre d'importance nous
citerons ;
1 - Le linéaires de préparation.
Le marché européen, même si tous les produits ne sont pas encore européens, abouti à une re-classification de la
hiérarchie des entrepôts et stocks.
Le stock national a tendance à voir son rôle se transformer sous l'impact de stocks 'européens' et/ou du rôle donner à la
proximité qui impose de revoir l'importance des stocks régionaux.
On notera aussi que ces stocks régionaux peuvent se définir au travers d'une vision spatiale trans-frontières.
3 - Le rôle du 'Cross-docking'.
Quels que soient les types de flux, la logique du " Zéro stock " à l'œuvre ces dernières années, aboutie à la définition d'un
mode opératoire qui cherche à allier la fluidité maximum des flux à l'obligation de créer un lieu de convergence de ces
derniers, afin d'assurer la livraison d'un mix produits.
Le cross-docking est un passage à quai, soit une technique fluide et sans durée de stock, ou l'on prépare des
commandes, par mixage de flux.
Cette activité nécessite de repenser la notion de quai de réception/expédition, du fait des surfaces utilisées ainsi que
l'implantation générale de l'entrepôt ou de la plate-forme.
Cette notion résulte de la synthèse des pratiques, marketing qui fait foisonner les références et financière qui cherche à
éviter les stocks. Le stock devient 'roulant', autant en déplacement qu'en entrepôt ; On comprend que dés lors que ces
systèmes organisations sont promus, le système d'information devient le ciment de l'ensemble.
Dernière conclusion du 'Juste à temps', les stocks connaissent des situations de plus en plus binaire ou le taux de rotation
devient une constante d'organisation.
Industriel ou commerçant les références doivent donner lieu à des analyses fréquentes du rapport quantités préparées
quantités en stock, tout ce qui dépasse le mois -Taux de rotation 12 - doit donner lieu à une approche particulière.
Prestataires, ce qui est créateur d'activité et donc de C.A. c'est le mouvement et non le stockage. Entreposer des
références à l'année qui sortent 4 fois et moins est une pénalisation dans l'exploitation de ses moyens.
L’approche traditionnelle.
Ce dernière ne voit dans l’entrepôt qu’un lieu banal, parfois un mal nécessaire, structuré par un ensemble de fonctions
accolées dont l’objectif est de livrer une zone de chalandise données.
L’approche système
L’entrepôt devient une entité qui vit et agit et pour ce faire s’organise selon deux axes , l’action et l’organisation.
L’action est caractérisée par les ordres qui sont donnés en ce qui concerne, les clients et le produits.
L’organisation intègre l’articulation entre le couple ‘Commande-client / produits et le service que l’on doit réaliser.
Penser de la sorte permet aux industriels ou aux commerçants de lier actions commerciale/logistique et production –
approvisionnement.
Elle induit le fait de se poser la question du ‘style’ d’action dans lequel on se trouve ou celui que l’on entend créer.
Une vision de système permettra d’arbitrer selon que l’on entend conquérir un marché et donc mettre en place des formes
dédiés d’actions ou de se contenter d’un présence ce qui nécessitera des formes, banalisées produits voire banalisé
clients
Les caractéristiques
1 - Les variables d’action fixent les objectifs à atteindre, ainsi les horaires d’expéditions ou
les délais de mise en stock. Elles déterminent les contraintes à respecter qui sont le
dimensionnement des moyens en personnels et en équipements et matériels.
Le Pilotage du système
Le schéma suivant présente les éléments d’organisation interne qui vont permettre l’exécution des ordres,
d’actions en fonction des entrées /sorties pour un résultat constaté.
Le système de pilotage repose sur la définition d’un procédé d’organisation – Process - soit l’articulation
des moyens en vue de l’exécution des fins qui lie entre eux les flux physiques et d’information.
Ce qu’il importe de prendre en compte c’est le coût de la manœuvre logistique corrélé au niveau de service nécessaire au
support opérationnel de la vente des produits.
Note : Les deux premières questions ne dépendent pas directement de l’approche logistique, bien que sur les aspect
suivant il soit nécessaire de se poser des questions.
QUESTION 4
Les types d’approches de la questionIl existe deux grands type d’approche de la question de localisation.
1 : La méthode ‘Classique’
Le subjectif - objectif,
Le recherche barycentrique
L’approche heuristique
2 : La recherche d’optimisation.
Les méthodes ‘classiques’ font appel autant au bon sens qu’a un matériel mathématique simple.
Pour n’être pas fausses les conclusions en sont souvent trop partielles du fait du faible nombres de données quelles mettent
en commun
La méthodes par la recherche d’optimisation est plus porteuse de vérité en ce quelle autorise de multiplier les données
quelqu’en soit les formes, variables d’actions ou contraintes de fonctionnement.
Le subjectif - objectif,
Le recherche barycentrique
L’approche heuristique
Basé sur l’historique de la prise en compte de cette question et des pratiques sectorielles.A titre d’exemple on
pourra dire qu’en ce qui concerne la distribution en France la région parisienne est le lieu idéal d’implantation
d’un entrepôt du fait,
Maintenant si l’on vise en même temps un développement France Benelux et l’Allemagne et/ou Grande-
Bretagne tout est à re-concevoir !La recherche barycentrique.
barycentrique.
La méthode barycentrique consiste à formaliser l’origine et les destinations des flux globaux de l’entreprise
dans une même unité poids et distance. Puis a relier deux à deux les destinations entre elles et ainsi de
suite entre les points moyens définis jusqu'à avoir relier tous ces points moyens entre eux., le point
d’équilibre, désigne l’endroit ou doit se trouver le site d’entreposage.Les point moyens entre deux
destination équilibre la donnée poids multiplié par la distance.Les principaux problèmes sont :
que les coûts de transport ne sont pas linéaires ce que cette approche induit,
que les zones frontières entre barycentre ne sont pas finement prises en compte,
que les notions de temps de livraison du fait des conditions routières sont passées à la trappe, ainsi
d’ailleurs que des éléments sur les distances réelles et les approches du nivellement …
L’intérêt de cette méthode est que l’on peut l’appliquer sur toutes notion d’espace, de l’entrepôt à un pays
aux limites sus-nommées.
Une approche dite heuristique est une approche dont la valeur absolue n’est pas certaine mais que l’on
choisit néanmoins pour son indéniable fécondité. Le modèle heuristique par les coûts consiste à
déterminer premièrement une base de données regroupant les coûts :
des différentes prestations : selon les montants connus ou estimés des prestations envisagées
(notamment celles liées au transport) ;
des différents niveaux de service : selon les délais fixés pour le transport, selon le type de transport
(express, messagerie, groupage…) ;
des contraintes spécifiques : selon les horaires ou jours de passage pour les livraisons, selon le
type de véhicules employés voire selon le système de manutention intégré.
Il s’agit deuxièmement de définir un programme informatique qui fixe des règles de comportement entre
chaque donnée :
On obtient ainsi un tableau synoptique des coûts à engager en fonction des contraintes de transport
enduites par la localisation de l’entrepôt. La réalisation de ce programme peut se faire au travers d’une
application dans un tableur informatique. Cependant, les cabinets de conseil en transport et logistique
disposent d’applications rapides qui permettent de réaliser des simulations et donc de mesurer le coût de
tel ou tel choix.
La principale limite de cette approche provient du fait que seul le facteur " coût " est pris en compte dans
l’établissement des solutions ; il est de fait surdéterminé.
d’un objectif auquel sont subordonnés tous les calculs (par exemple le niveau de service) ;
de variables qui reprennent la structuration physique et économique du système (familles de
produits, niveaux de stock…) ;
de contraintes liées aux conditions de fonctionnement (délais des fournisseurs, performances de
travail de l’entrepôt, coût de transport en fonction du service demandé…).
Ce que l’on nomme une fonction objectif c’est la définition de la règle qui détermine, les calculs et la
logique du système, ainsi dans certains cas on définira le niveau de service ou son application à certains
types d’actions comme objectif à remplir, quel qu’en soit le coût ; Ceci est caractéristique des phases de
conquête d’une position.
Le réseau de flux est modélisé par les variables qui représentent les éléments fondateurs de la circulation
matérielle et de l’information.Les fournisseurs sont reliés à des niveaux de stocks eux-mêmes liés à des
clients. Les règles de gestion sont définies, ainsi les niveaux de stocks par famille de produits, et mettent
en relations les divers acteurs. Le transport relie ces acteurs selon là aussi la possibilité de mettre
l’ensemble des tarifications de chaque prestataires.
Les contraintes sont les éléments qui ne peuvent être contournées, ainsi les délais des fournisseurs, la
performances de travail de l’entrepôt, le choix de tel ou tel mode ou barème de transport en fonction du
service à rendre, …
L’avantage de ces études c’est qu’elles autorisent de faire des simulations en termes de coûts, de niveau
de service, ou de mixage de ces objectifs, ainsi que de définir les plages de stabilité en fonction des
quantités ou des évolutions de niveaux de services proposables.
1. Le type de produit ; On comprend aisément que stocker des CD sur 500 m2 dans le quartier de l’Opéra peut
avoir sa validité du fait de la marge par produit mais que si l’on a affaire à des ‘palettes d’eau’ le raisonnement ne
sera pas le même
2. La valeur du produit ; Ce qui vient d’être dit se renforce par la structure de coût du produit, qui fait qu’un produit
à bonne marge pourra se loger dans des endroits chers
3. L’arbitrage entre flux d’approvisionnement et espaces de distribution ; Selon qu’un produit aura ses origines
au sein de la Communauté européenne ou non, la question du lieu d’arrivé port ou aéroport déterminera la
question du ‘Stock Central’
4. L’arbitrage entre faire en interne et faire faire par un prestataire ; Selon la taille de l’activité tout autant que
l’expérience accumulée cette question et les savoir faire des prestataires, l’ensemble donnera lieu à certain type
de solutions,
5. Les possibilités et intérêts de l’immobilier. Ceci peut-être un point financier important de ‘sécurisation’ d’une
partie d’actif ?
Ceci consiste à approcher la question en ne voyant qu’un bâtiment, avec du stock à l’intérieur et une collection de
fonctions et taches à accomplir.
Inventaires et tenue de stocks, gestion des personnels et des moyens, traitement et recyclage des
déchets.
On admettra aisément que si cette approche n’est pas fausse, elle pêche par contre par une vue
essentiellement fonctionnaliste qui a toute les chances de déboucher sur une impossibilité de
pilotage et l’affectation de ressources sans trop de discernement en réaction à la conjoncture.
1. La politique de niveau de stock, soit les quantités financières à ne pas dépasser, globalement ou par
famille de produits voire par produits et références.
2. Le niveau de service à réaliser, soit la performance que l’unité doit réaliser dans ses délais de réaction
entre arrivée des commandes et expéditions de ces dernières.
3. Le coût de l’entreposage, soit les moyens humains et matériels que l’on entend y consacrer.
4. Une vision à horizon de 2 à 4 ans afin de disposer des scénarios d’évolutions.
L’objet est de définir les principes de fonctionnement afin de répondre aux sollicitations auxquelles l’entrepôt va
être soumis, pour ce faire les données essentielles en sont,
On doit établir une typologie des entrées et des sorties en prenant garde de bien choisir ses unités
d’analyses - Unité d’œuvres -
Arrivée des flux physiques, nombres de livraisons sur une période de temps, jour, semaine, mois, nombres
de palettes ou cartons par palettes ; A cela s’adjoint une vision des plages horaires d’activités.
Départ des flux physiques, nombres d’expéditions jours, de colis, de palettes, de véhicules.
Le but est de mesurer grâce à la production des lois de distribution les contraintes auxquelles l’entrepôt doit être
soumis et de rechercher à limiter leurs effets si possible et si cela ne l’est pas à préparer le fonctionnement interne
à y faire face.
On ne rappellera pas ici l’ensemble de cas possible des lois de distribution, ce qui importe est de se souvenir que
plus une loi sera centrée et des lors possédant un fiable écart type, plus la situation sera gérable car stable, dans
le cas contraire deux solutions s’offre, soi transformer les principes d’organisation de l’activité soi mettre
conjoncturellement des moyens supplémentaires.
L’organisation de l’entrepôt suppose d’établir une typologie des produits à stocker, c’est à dire de définir le
comportement de ces produits afin de mesurer leur degrés d’homogénéité.
Pour saisir cette information il existe deux méthodes, la répartition de Pareto ou loi ABC et ce que nous
nommerons l’ABZ ou loi de corrélation entre quantité stockée et expédié les deux autorisent le choix des moyens
de stockage.
L’ ABC.
A B C
Ventes Palettes
Références % Cumulé Nb Palettes % Cumulé Cumul Pal.
1 4% 12 0.11 12
2 8% 11 0.21 23
3 12% 10 0.30 33
4 15% 9 0.38 42
5 19% 9 0.46 51
.../... .../... .../... .../... .../...
25 98% 0.1 1 109.80
26 100% 0.1 1 108.90
Pour établir cette courbe il faut sélectionner un critère, ainsi en est-il le plus souvent des quantités
expédiées par référence, mais cela peut-être aussi sur la marge ou le poids par référence selon
l’accent que l’on entend faire porter.
Suite à cette sélection on opère un rangement décroissant des information, puis on opère un
cumulé croissant par référence
L’analyse de cette courbe fait apparaître l’existence de produits dominants dont statistiquement 20
% des références engendrera 80 % de l’activité.
On découpe la courbe en 3 parties dite A,B,C, qui reprennent 80 % de l’activité puis 90% enfin
clôture les données.
Si la courbe est concave c’est que nous nous trouvons dans un cas ou un faible nombre de
références participent à l’activité.
Si la courbe tend à devenir une droite qui se rapproche de la bissectrice de l’angle O, c’est que
chacune des références participe de manière équivalente à l’activité.
On n’analyse qu’une donnée à la fois mais surtout cet outil manque de sensibilité car au
sein des 20 % de références, les dernières sont souvent en terme d’activité plus proche
des B que des première A.
On ne peut des lors créer une organisation sur une seule donnée.
L’ABZ
La courbe ABZ permet de définir des classes de produits dont les comportements sont
homogènes. Ceci est possible puisque la production de cette courbe repose sur la représentation
de la corrélation, quantité sortie sur une donnée de temps, quantité en stock sur ce même laps de
temps.
Pour réaliser cette analyse on travaille sur chacune des références. La représentation graphique
permet de saisir deux éléments essentiels, le positionnement des références par rapport à la droite
de tendances et les sous ensembles homogènes.
4 Familles de produits
La définition du mode de stockage se fera alors en relation avec les techniques de préparation.
Cette analyse permet de simuler des situations futures, en fonctions de nouveaux produits ou de
nouvelles règles d’achat ou de ventes.
La maîtrise des coûts d’exploitation et d’investissement suppose de connaître les postes, d’en connaître les
éléments et d’en déceler les gisements d’économie ou d’expansion.
Les approches classique se base sur les études du compte d’exploitation voir sur la répartition fonctionnelles des
charges.
Ces deux approches pour n’être pas fausses, trouvent leurs limites dans ce que les l’analyses de charges sont
faite par fonction et non par nature et que la répartition fonctionnelle pêche par subjectivisme dans l’analyse des
imputations rationnelles ainsi que dans l’absence de gestion prévisionnelle en termes de coûts pré-établis ou
standard.
Le temps comme unité d’œuvre nous rappel que l’entrepôt de nos jour est un lieu de création de valeur ajouté et
que des lors c’est une usine, redevable des mêmes principes d’analyses.
Tout standard correspond à une action spécifique, s’il y a dérive on a affaire à une autre action ;
Tout standard correspond à des conditions de mise en œuvre particulière, homme machine ;
Toute standard d’activité se définie dans un contexte qui permet une modularité de prise en compte, pondération dues :
au sols, à la luminosité, à la température et aux conditions phoniques.
Ces approches en terme de temps permettent de faire des simulations en fonction des types d’activité, ainsi les
problématique les plus usuelles seront :
1 - Prise
pallette au
- - - - - -
charriot
élévateur
2 - Amenée
contrôle - - - - - -
réception
3 - Dépose
- - - - - -
au sol
4 - Attente
- - - - - -
contrôle
5 - Contrôle
- - - - - -
réception
6 - Attente
départ - - - - - -
réserve
7 - Prise au
- - - - - -
contrôle N 1
8 - Amenée
au stock de - - - - - -
réserve
9 - Dépose
stock de - - - - - -
réserve N 3
10 - Stock
- - - - - -
réserve
11 - Prise au
stock - - - - - -
réserve N 3
12 - Amenée
- - - - - -
au détail
13 - Dépose
- - - - - -
au détail N 1
14 - Prise
charriot
préparation - - - - - -
de
commande
15 - Aller au
- - - - - -
bureau
16 - Prendre
le bon de - - - - - -
commande
17 - Aller
- - - - - -
aux produits
18 - Prise
- - - - - -
des produits
19 - Dépose
sur charriot - - - - - -
ou Rolls
20 - Amenée
à l'attente - - - - - -
d'expédition
21 - Dépose - - - - - -
22 - Attente
- - - - - -
d'expédition
23 - Prise
- - - - - -
roll
24 - Amenée
- - - - - -
au camion
25 -
- - - - -
Chargement
26 - Retour - - - - - -
27 - Amenée
- - - - - -
rolls vides
28 - Dépose
- - - - - -
rolls vides
29 - Attente
- - - - - -
rolls vides
30 - Prise
palettes - - - - - -
vides
31 - Amenée
au stock de
- - - - - -
palettes
vides
32 - Dépose
palettes - - - - - -
vides
33 -Retour - - - - - -
TOTAL - - - - - - -
L’idée est de montrer en quoi le contrôle des temps alloué est un puissant outil de régulation de composant de la
notion de service.
Individuellement coût et niveau de service sont maîtrisés, mais souvent l’approche commune qui les réunit est
plus délicate voire absente.
La capacité de traitement joue sur le différentiel entre cadence normale et cadence de pointe. On peut alors soit
déterminer de seuils d’alerte soit faire face pendant un laps de temps en s’organisant sur les temps opératoire et
non pondérés.
Pour la disponibilité des systèmes, c’est le suivi des engagements des personnels et des moyens qui indique
les latitudes du système et les seuils de transformation.
Le respect des délais se résout par la possibilité de constituer un outil de pilotage qui estimera les moments
opportun pour lancer les opération alors que le plus souvent les organisations réagissent en poussant au plus tôt
les activités créant par là les condition de leurs strangulations.
En premier il s’agit de réaliser une cartographie exhaustive des flux qui traverse l’entrepôt.
Cette cartographie doit reprendre aussi le niveau de la circulation de l’information entre les services de
l’entrepôt
On produira aussi une base de données des familles de produits et des produits, leurs saisonnalités et
amplitudes journalières, les contraintes de conditionnement et d’emballage, les contraintes de livraison.
La mise en œuvre des études ABZ et ABC permettent de déterminer les familles logistiques qui
généralement se classes en :
A cela s’ajoute
Le bilan de cette phase permet de caractériser les besoins en type d’équipement et de personnels, soit par
rapport à un existant qui est critiqué soit à un avenir qui est visé.
Deux axes peuvent être empruntés qui déterminerons le caractère du plan d’action.
On ne veut pas opposer ces deux modes d’organisation qui répondent chacun à une
volonté à un moment donné, mais il importe de donner un type d’approche à ce que l’on
entend produire afin d’en maximiser les choix
Sophistiquer la technique ;
Ce choix peut être le produit d’une étude qui face à une relative stabilité de la sollicitation de la
structure puisse permettre de limiter les personnels. Dans une autre vision la sophistication
technique permet aussi de supprimer des taches peu valorisante pour les personnels.
La principale limite de ce type de choix est qu’il fige l’organisation sur les rythme de travail des
mécanisme qui ne disposent d’aucunes flexibilité et donc ne peuvent en communiquer aucune.
Ceci nécessite de se focaliser sur l’organisation et l’information interne. Pour identifier les gains
permis, on travaille alors sur les gammes de travail en recherchant ce qui est temps fixes mon
créateur de valeur ajouté de ce qui est temps variables, lieux de réalisation opérationnelles du
travail.
Les principales avancées se feront sur les temps administratif par la recherche du zéro papier
échangé et sur les temps de déplacements à vides par un pilotage fin des activités de chaque
poste de travail.
Pour cela on doit rechercher le système d’organisation qui permettra d’être le plus flexible possible grâce à
la liaison outils et information.
Le mode de préparation
L’implantation des zones.
Type de préparation
Le cas le plus classique est de définir des un système séquentiel avec déplacement du préparateur.
La préparation par vague trouve le plus souvent sa rentabilité dans deux cas bien typés.
1. Une taille de préparation importante par référence allié à un niveau de service qui permettent un
différé entre réception des commandes et réalisation des expéditions.
2. Un délais de réaction entre réception des commandes et expéditions, couplé à de bonnes
capacités de calcul du logiciel de gestion des préparations.
Dans le cadre de l’ approche qui vise à flexibiliser au mieux les processus de travail, le système le plus
facile correspond à l’implantation des produits au sol, avec les réserves au dessus des positions de
préparation.
Ce choix est gourmand en place au sol mais le plus souvent il s'équilibre par les gains de productivité
induit en personnel, en rapidité d’exécution enfin en hauteur de bâtiment.
En général donc si l’on se fixe la flexibilité et le pilotage de l’activité comme but les solutions retenues font,
Que les produits à fortes rotations sont positionnés au sol avec leurs réserves au dessus
Que les produits plus lents peuvent se préparer en hauteur dans les échelles au milieu des stocks
Qu’enfin les produit à faibles rotation ne nécessite pas de différenciation entre zone de préparation
et réserve.
Il existe une logique forte dans la présentation de ces trois points ; Celle qui veut que l’on s’organise en
premier et que l’on codifie le travail puis que ce travail soit conçu dans des boucles d’activités qui
permettent l’information et le pilotage interne qu’enfin tout cela se retrouve dans une gestion par
informatique garante de la célérité et de l’ubiquité de l’information.Pour la petite histoire ce n’est que
rarement le cas et la chape de plomb de l’informatisation recouvre trop vite toute activité, sous prétexte
que le progiciel nécessite que l’on se plie.
Définir des procédures c’est travailler sur le métier, formaliser et faire évoluer un savoir –faire. Autant de
chose qui ne peut se faire sans que l’opérateur ne réfléchisse à son travail et au passage réponde à une
question non posée son implication dans sa fonction !
La formalisation du savoir-faire, se définit comme le mode d’emploi du poste de travail. Elle exprime le
mode opératoire d’un ensemble de tâches tant physiques qu’administratives que d’organisation.
Sous produit des études de temps, elle permet à un opérateur d’acquérir pleinement les conditions de
Ce travail de formalisation est d’autant plus important qu’ existe dans les organisation logistique de trop
grand apriorisme dans la définition des taches et des postes de travail.
La procédure caractérisée par la gamme de travail est écrite avant que l’exploitation ne commence, puis
elle est régulièrement actualisée avec le concours de l’opérateur.
Les procédures de chaque poste s’inscrive dans une vision d’ensemble qui permet de structurer l’activité.
L’approche industrielles que cela impose se rentabilise dans le rôle que joue le manuel central des
procédures par rapport à la mis en place des politiques et certifications qualité.
La base de l’activité repose sur l’exploitation des systèmes codes barres qui permettent de coder activités
ou produits.
L’information peut-être traitée en temps direct à l’aide de supports de transmission maillant l’entrepôt. Ce
réseau abouti à une informatique qui en centrale traite ces données et en définit des ordres d’actions
L’intérêt repose dans le dynamisme et la réactivité, les inconvénients dans le coût de cette solution et dans
l’adjonction d’une fonction informatique exclusive de pilotage de l’exploitation.
Un systèmes équivalent peut-être conçu mais avec des différés dans les transmissions d’informations, ces
derniers s’opérant lors du passage à certains endroits, et ce de façon volontaire par l’opérateur ou par
récupération automatique.
Enfin il peut-être conçu un système qui en l’absence de codes barres oblige les opérateurs à réaliser les
saisie d’information via un clavier informatique.
La gestion de l’information permet la définition et la gestion des statuts, c’est-à-dire des stades ou des
états d’avancement du couple flux physique / flux d’information
Le flux physique se divise en un certains nombres de stades ; Réception, mise en stock, préparation,
emballage, allotissement, …
On peut répartir ces activités en deux grands groupes ; pilotage des stocks et des commandes.
Définir des statuts c’est découper la circulation des produits en un certains nombres de phases auxquelles
sont attribués un fichier informatique.
Exemple,
Statut 1 " produit en commande " fichier Commandes ; Statut 2 " marchandises
déchargées " fichier Réception, Statut 3 " produit contrôlé " fichier conforme, litige, retour
( on peut raffiner le fichier selon les cas …) Statut 4 " mise en stock " fichier Réserve, …
Préparation ;
Statut 1 " commande en attente " fichier commandes clients avec possibilité de gérer un
indice selon l’urgence…
La centrale récupère les informations les traite en fonction des algorithmes et principes de fonctionnement
qui aurons été préalablement définit.
A partir de ce poste, le travail est en permanence visible ainsi que par fonction les questions qui se posent
dans l’exécution des taches.
L’information des personnels sur l’état d’avancement est possible sinon sa mobilisation sur certaines
taches critiques.
Un systèmes d’alerte peut-être mis en œuvre en fonction soit des délais mis pour passer d’un stade à un
autre par rapport à une commande soit quand un seuil est atteint dans un des fichiers informatiques
donnant une information de type stock d’action à entreprendre.
Ce poste produit l’ensemble des statistiques utile à la vérification du bon fonctionnement ainsi que les
informations utiles à la recherche d’évolutions du travail.
1. Quelles surfaces ?
2. Recherche de la polyvalence des personnels
3. Information d’exploitation et de gestion avant le béton et les équipements
4. Avis primordial des exploitants
5. Sécurisation par les procédures
6. approche équilibrée entre ; Méthodes, informatique, techniques d’ exploitations.
3. Déterminer les position de stockage sur la moyenne multipliée par 1,5 et préparer des plans de gestion des crises,
accepter une dizaine de jours de crise (non contiguë)
4. Maximum d’hauteur exploitable 10 m
5. Mettre la préparation au sol
6. Disposer de quais, réception et expédition, acceptant un jour moyen de trafic au sol
7. Penser les aires d’évolutions des véhicules ainsi que des locaux pour les conducteurs.
8. Penser sécurité dans l’implantation interne, articulation des espaces administratifs et d’activités, locaux de vies des
personnels, allée de circulation.
9. locaux de charge, R.I.A.
16 - Prendre le - - - - - -
bon de
commande
17 - Aller aux
- - - - - -
produits
18 - Prise des
- - - - - -
produits
19 - Dépose
sur charriot ou - - - - - -
Rolls
20 - Amenée à
l'attente - - - - - -
d'expédition
21 - Dépose - - - - - -
22 - Attente
- - - - - -
d'expédition
23 - Prise roll - - - - - -
24 - Amenée
- - - - - -
au camion
25 -
- - - - -
Chargement
26 - Retour - - - - - -
27 - Amenée
- - - - - -
rolls vides
28 - Dépose
- - - - - -
rolls vides
29 - Attente
- - - - - -
rolls vides
30 - Prise
- - - - - -
palettes vides
31 - Amenée
au stock de - - - - - -
palettes vides
32 - Dépose
- - - - - -
palettes vides
33 -Retour - - - - - -
TOTAL - - - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
- - - - - -
TOTAL :
CA ENTREPOTS Jan Fev Mars Avr Mai Juin Juil Aout Sept Oct Nov Dec Cumul Rappel an
ENTREPOT N° 1 - - - - - - - - - - - - -
CA REALISE (MF) - - - - - - - - - - - - -
ECCART / OBJECTIF (%) - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N° 2 - - - - - - - - - - - - -
CA REALISE (MF) - - - - - - - - - - - - -
ECCART / OBJECTIF (%) - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N° 3 - - - - - - - - - - - - -
CA REALISE (MF) - - - - - - - - - - - - -
ECCART / OBJECTIF (%) - - - - - - - - - - - - -
TOTAL ENTREPOTS - - - - - - - - - - - - -
CA OBJECTIF - - - - - - - - - - - - -
CA REALISE - - - - - - - - - - - - -
ECCART / OBJECTIF - - - - - - - - - - - - -
2000 / 2001 - - - - - - - - - - - - -
Emplacements occupés Jan Fev Mars Avr Mai Juin Juil Aout Sept Oct Nov Dec Cumul
ENTREPOT N° 1 - - - - - - - - - - - - -
m3 - - - - - - - - - - - - -
% - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N° 2 - - - - - - - - - - - - -
m3 - - - - - - - - - - - - -
% - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N° 3 - - - - - - - - - - - - -
m3 - - - - - - - - - - - - -
% - - - - - - - - - - - - -
TOTAL ENTREPOTS - - - - - - - - - - - - -
m3 - - - - - - - - - - - - -
% - - - - - - - - - - - - -
2000 / 2001 - - - - - - - - - - - - -
Nombre de lignes de Jan Fev Mars Avr Mai Juin Juil Aout Sept Oct Nov Dec Cumul
commandes
ENTREPOT N° 1 - - - - - - - - - - - - -
Nombre de lignes de cde - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N° 2 - - - - - - - - - - - - -
Nombre de lignes de cde - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N° 3 - - - - - - - - - - - - -
Nombre de lignes de cde - - - - - - - - - - - - -
TOTAL ENTREPOTS - - - - - - - - - - - - -
Nombre de lignes de cde - - - - - - - - - - - - -
2000 / 2001 - - - - - - - - - - - - -
Taux de service Jan Fev Mars Avr Mai Juin Juil Aout Sept Oct Nov Dec Cumul Rappel an
ENTREPOT N° 1 - - - - - - - - - - - - -
% - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N° 2 - - - - - - - - - - - - -
% - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N° 3 - - - - - - - - - - - - -
% - - - - - - - - - - - - -
TOTAL ENTREPOTS - - - - - - - - - - - - -
% - - - - - - - - - - - - -
2000 / 2001 - - - - - - - - - - - - -
Taux de service Jan Fev Mars Avr Mai Juin Juil Aout Sept Oct Nov Dec Cumul
ENTREPOT N° 1 - - - - - - - - - - - - -
nb - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N°2 - - - - - - - - - - - - -
nb - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N° 3 - - - - - - - - - - - - -
nb - - - - - - - - - - - - -
TOTAL ENTREPOTS - - - - - - - - - - - - -
nb - - - - - - - - - - - - -
2000 / 2001 - - - - - - - - - - - - -
Taux de service Jan Fev Mars Avr Mai Juin Juil Aout Sept Oct Nov Dec Cumul Rappel an
ENTREPOT N° 1 - - - - - - - - - - - - -
- de 48 h - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N° 2 - - - - - - - - - - - - -
- de 48 h - - - - - - - - - - - - -
ENTREPOT N° 3 - - - - - - - - - - - - -
- de 48 h - - - - - - - - - - - - -
TOTAL ENTREPOTS - - - - - - - - - - - - -
- de 48 h - - - - - - - - - - - - -
2000 / 2001 - - - - - - - - - - - - -
© 2002 - LOGISTIQUE.COM