le concept « Penser la complexité » et esprit critique
lien 1 : Penser la complexité est la base de l’esprit critique. La complexité existe objectivement dans tous les aspects de notre vie. Penser à la complexité est nécessaire et obligatoire. La complexité nous donne beaucoup de choix et de modes de penser. Dans le processus de choisir et de penser, c’est où l’esprit critique naître. Penser la complexité, il nous donne la motivation de l’esprit critique et la condition de l’esprit critique.
Lien 2 : Le management a tendance à nier la complexité des situations. La
recherche de cohérence et declarté, la volonté d'éliminer les paradoxes et les ambigüités tendent à « éliminer » la complexité des situations économiques et humaines. Cela nous demande de l’esprit critique pour choisir de l’importance. Nous pouvons le sentir par des grandes principes de la pensée comme le scientisme, l’utilitarisme économique,etc.
Lien 3 : L'esprit critique se reflète dans différents choix au face de la
complexité. Pour les managers de l’entreprise, les uns cherchent à rationaliser (Fordisme, Lean management) quand les autres cherchent à libérer (entreprise libérée). Les uns cherchent à agir à court terme, tandis que les autres s'inquiètent du long terme. Ce sont des résultats de penser la complexité.
2. le concept « Les automatismes du cerveau » et la décision
lien 1 : Dans la structure interne de notre cerveau, il y a des zones de décision d’intelligence inconsciente, l’hippocampe. Son rôle est de stocker dans sa banque de données internes toutes nos expériences passées. C’est ainsi que nos actes sont déterminés en partie par l’intermédiaire de nos souvenirs.
lien 2 : Les faiblesses des automatismes du cerveau, c’est l’effet
d’amorçage : la manipulation de l’inconscient. L’effet d’amorçage est un phénomène auquel nous sommes soumis constamment et auquel notre cerveau s’y soumet inconsciemment. Par exemple, nous dépensons davantage en pensant préalablement à un chiffre élevé.
lien 3 : il y a des routines de pensées inconscientes en raison des
automatismes du cerveau. Ce sont des schémas construit à partir de l’association d’images et d’émotions qui se répètent jusqu’au moment où ils s’arrêtent brusquement. À cet instant, notre cerveau devient aveugle à toutes nouvelles idées.
3. le concept « Biais cognitifs » et la quantophrénie
lien 1 : la quantophrénie critique de l’excès d’usage mathématique en sociologie, pathologie qui consiste à vouloir traduire systématiquement les phénomènes sociaux et humains en langage mathématique. Nous pouvons le considérer comme une partie du biais cognitif. Tous les phénomènes ne peuvent pas être quantifiés.
Lien 2 : Un biais cognitif est un schéma de pensée trompeur et faussement
logique. Cette forme de pensée permet à l’individu de porter un jugement, ou de prendre une décision rapidement. Les biais cognitifs influencent nos choix, en particulier lorsqu’il faut gérer une quantité d’informations importantes ou que le temps est limité. Il est juste le contraire de la quantophrénie.
Lien 3 : le biais cognitif a un grand effet sur l’expérience utilisateur. Il aide
des designers à concevoir un produit innovant, un service, une application ou encore un site web répondant aux besoins des utilisateurs. Il est donc possible d’exploiter les biais cognitifs de façon stratégique. Il peut coopérer avec la quantification pour créer un futur plus intelligent.
4. le concept « Bonheur » et l'apprentissage
lien : tout d’abord, nous ne savons pas qu'est ce qui nous garde en bonne santé et heureux tout le long de notre vie, donc il nous faut le chercher. Le processus de le chercher, c’est aussi un processus de l’apprentissage. Nous apprenons toujours des choses nouvelles, ça nous permet de savoir plus ceux qui nous intéressent. L’apprentissage permet notre bonheur.