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Introduction :
I. Généralités :
1. Définition :
2. Historiques des routes au Maroc :
3. Situation du projet :
4. Objectif du projet :
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8. Assiette :
9. Emprise :
CONCLUSION…………………………………………………………
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Remerciements :
A mes chers parents à qui je dois la vie.
A ma famille qui m’a toujours encouragé et soutenu. A mes amis avec lesquels j’ai eu le
plaisir de partager ma vie estudiantine. A mes enseignant Mr. Ohajou Mohand et Mr.
Outefga Tarik qui m’ont prodigués leur savoir et conseils.
Introduction :
Le développement d’un pays, d’une province ou ville est basé sur la quantité et la qualité de
ces infrastructures en particulier les infrastructures routières qui réhabilitées et entretenues
permanant en fin d’assurer la libre circulation des personnes et de leurs biens. Mais
aujourd’hui, on existe à un blocage des échanges socioéconomiques suite au mauvais état
de ces infrastructures. Face à cela Nous allons également définir la route moderne comme
étant « un espace correctement aménagé pour recevoir un ou plusieurs courants de
circulation construite dans le respect des règles.
Le mot route vient du mot latin « viarupta » qui signifie « voie frayée » c’est donc une voie
de communication terrestre permettant de relier un point à une autre, un village à un autre.
Permettre aussi la circulation des véhicules à roues. Ce terme s'applique plutôt aux voies
importantes situées en rase campagne. Dans les pays vastes et peu peuplés.
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La gestion et la responsabilité du réseau sont partagées entre l’Etat, les communes et les
municipalités.
Les dégradations de chaussées ne cessent pas du fait des durées de vie des routes qui
touchent à leur fin. Elles sont donc constamment renouvelées. Peu de nouvelles routes sont
crées. C’est pourquoi intervient à présent le terme de déconstruction des anciennes
chaussées avec des objectifs d’économie des matériaux, tout en cherchant à être le plus
compétitif du côté des entreprises.
Dans ce contexte, ce projet de fin d’études à donc pour but d’analyser les techniques de
valorisation les projets de routes. Ces techniques se sont développées et deviennent de
mieux en mieux maîtrisées par les entreprises de travaux publics.
I. Généralités :
1. Définitions :
La topographie routière : cette topographie est liée aux travaux des voiries, ce type de
topographie s’agit de faire un regard furtif du terrain, elle est nécessaire pour la
connaissance des terrains dont en veut réalisera la voie, ces limites ces reliefs …
Dans le domaine routier, La topographie est une phase indispensable des études routières,
elle est basée sur des opérations de mesure, de calcul et de dessin afin de reproduire sur le
papier des détails du terrain, la topographie constitue la phase importante de l’étude
technique des tracés et doit reproduire aussi fidèlement que possible la bande du terrain ou
se développe le tracé projeté et ses variantes et doit tenir compte des exigences de la
construction des projets routiers et principalement l’aspect géométrique des tracés routiers.
Projet routière : Le projet routier s'applique aux voies importantes situées en rase
campagne. Il offre à chacun la possibilité d'être relié aux autres. Il consiste de réalisation
d’trajet pour des intérêts déférents.
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Le réseau routier marocain est constitué de l'ensemble des voies de
communication terrestres permettant le transport par véhicules routiers, et en particulier,
les véhicules motorisés.
Dix ans plus tard, l'objectif est dépassé et plus de 2 700 kilomètres de routes ont été
réalisés. Le premier tronçon va de Casablanca à Rabat. C’est le point de départ de l’axe
stratégique qui, en passant par Fès et la trouée de Taza, rejoint Oujda au bout de 700
kilomètres.
Dès le début des années 1920 Casablanca, El Jadida(Mazagan), Safi et Essaouira (Mogador)
sont reliées entre elles par une route littorale qui sera prolongée plus tardivement vers
Agadir.
De chacun de ces ports, on peut rejoindre directement Marrakech qui se trouve au centre
d’un réseau en étoile mais, bien qu'alors la ville la plus peuplée du Maroc, elle ne sera reliée
à Fès par une route principale qu'à la fin des années 1930
Le Maroc redevient indépendant officiellement le 2 mars 1956 à la suite des accords établis
avec la France puis il reprend le contrôle de la zone de Tanger, alors une des premières
réalisations est la construction en 1957 de la route reliant sur 63 km Taounate à Kétama,
traversant le cœur du massif du Rif et opérant ainsi la jonction entre les anciennes zones
française et espagnole du protectorat.
Les réalisations qui suivront de 1957 à 1962, soit plus de 900 km de routes dans le sud de
l’Atlas (régions d’Agadir, Ouarzazate, Errachidia, Bouarfa) seront réalisées à l'aide de gros
engins de terrassement.
En 1973 est créée la Direction des Routes et de la Circulation Routière (DRCR), puis l’année
suivante une réorganisation de l’entretien routier conduit à remplacer les cantons par des
brigades mobiles d’intervention.
Du 1990 à aujourd'hui :
Le début des années 1990 est marqué par un intérêt pour les campagnes, jusque là mal
desservies. Le premier programme national des routes rurales (PNCRR) lancé en 1995 a
permis la réalisation en 2003 de près de 9 000 km de routes. Le second, lancé en 2005, vise
la création de 15 000 km de routes rurales.
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Après les années 1990, l’État s’implique davantage. La construction de l’autoroute Rabat-
Tanger débutera en 1993, et celle de l’axe Rabat-Fès en 1995. Au début des années 2000, le
réseau comptait 400 km d’autoroutes.
Le réseau routier national se compose des axes reliant les principaux pôles du pays
permettant d'assurer des échanges d'importance nationale ou internationale jusqu’aux
frontières avec les pays limitrophes. Il est également formé de routes ayant une portée
importante d’aménagement du territoire. En 2004, il était constitué de 11 000 km, soit
environ 20 % du réseau routier total et présente un taux de revêtement d’environ 85 %. Il a
supporté en 2007 un volume de circulation de quelque 39 millions de véh par jour, soit près
de 65 % du volume total de circulation. En outre presque 55 % des routes nationales ont une
largeur de chaussée supérieure ou égale à 62 m et seulement 1 % ont un profil en travers
inférieur à 4 m.
Non
Maître Type de Revêtues Pistes Total
Gestionnaire revêtues %
d'ouvrage route (km) (km) (km)
(km)
Société nationale
des autoroutes
Autoroutes 1831 1831 0,9
du Maroc
(concessionnaire)
Routes
9 806 14 1 431 11 251 19,6
nationales
État
Routes
État 8 855 54 1 169 10 078 17,5
régionales
Routes
16 365 2 095 17 197 35 657 62
provinciales
Routes
Communes Communes 9 000
communales
6
Total
36 799 2 163 28 797 67 759
général
3. Situation du projet :
- Situation géographique : Le projet objet d’aménagement d’une route prend origine au pk
0+ 0.00 km et se développe sur un relief peu-vallonné pour prend fin au pk 4 +0. 664 km,
donc elle se cumule à une longueur de 4.664 km.
Les coordonnées d’origine et de l’extrémité de projet de notre étude qui juste 1.344 km se
situent aux points suivant.
Origine Extrémité
X=265861.353 X=264655.192
Y=108220.512 Y=108390.250
Z= 553.936 Z=552.778
Projet
RP 2019
RP 2012
Le sol se développe le long de trajet, lors des sondages effectuent sur le terrain sont
constituent généralement du Sols meubles et des lentilles argileux aussi avec présence des
sols fin argileux a cause de la densité sèche et humide.
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- Situation juridique : puisque notre projet est une route non classé, alors il appartient
aux collectivités locales.
4. Objectif du projet :
- A un proche avenir, il sera des projets touristiques, résidentielles économique …, dans cette
zone, donc il est important de réaliser se projet routier.
- Lorsque le projet et relier les deux routes provinciaux (2012,2019), donc il faciliter aussi la
circulation au bord de ces deux trajets.
1. Choix de la catégorie :
La catégorie d’un tronçon de route n’a de sens que si ce dernier correspond à au moins 5
minutes de parcours à la vitesse de base considérée pour cette catégorie.
Un tronçon de route ne peut donc être classé en 4ème catégorie que si sa longueur est
supérieure à 3.33 Km.
Par ailleurs, la faible largeur de chaussée et de plate-forme des routes rurales, dictée par
des raisons évidentes d’économie, n’est pas toujours compatible avec un tracé tendu qui
incite à la vitesse.
Un tronçon de route ne peut donc être classé en 3ème catégorie que si sa longueur est
supérieure à 5 Km.
L’usage des normes des catégories exceptionnelles et première – même en relief plat – est
donc interdit pour ces routes d’après le paragraphe 2 de l’instruction sur les caractéristiques
géométriques des routes économiques à faible trafic.
Si les normes de la deuxième catégorie doivent être adoptées, celles-ci doivent respecter
les recommandations du paragraphe 3-3 de l’instruction sur les caractéristiques
géométriques des routes de rase campagne : les alignements droits doivent être coupés par
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des courbes de grand rayon espacées de 3 à 5 Km et opérant un changement de direction
d’au moins 3°.
En revanche, il n’y a aucune réserve pour l’application de la 3ème catégorie, de la hors
catégorie et de la norme REFT. Et l’on peut adopter l’une ou l’autre selon les contraintes à
éviter et le niveau de service escompté.
Ceci dit, l’expérience vécue à travers le PNRR1 a montré que la Hors catégorie n’est
presque jamais utilisée pour les routes où la vitesse de base projetée est de 40 Km/h. Ces
routes sont toujours traitées dans le cadre de la norme REFT.
Il est peut être grand temps de supprimer la hors catégorie et de la remplacer par la norme
REFT et d’appeler cette dernière : 4ème catégorie.
C’est dire que l’on doit songer à une refonte de l’Instruction sur les Caractéristiques
Géométriques des Routes de Rase Campagne dans le sens de supprimer la catégorie
exceptionnelle et de remplacer la hors catégorie par la norme REFT et de l’appeler 4 ème
catégorie.
Le refonte de l’ICGRRC est d’autant plus justifiée qu’elle serait l’occasion de la
moderniser sur le plan présentation et ordonnancement des chapitres, de lever les
ambiguïtés, d’ajouter les illustrations explicatives et de supprimer les paragraphes traitant
les carrefours qui font l’objet d’une directive indépendante.
Alors selon les instructions de rase compagne en déduire que notre projet et classée
dans la 4ème catégorie.
Enfin, il y a lieu de signaler que les routes rurales servent essentiellement à des
déplacements locaux et se caractérisent de ce fait par des trafics faibles.
Le trafic n’est donc plus un critère déterminant pour le choix de la catégorie de la route,
puisqu’il est faible pour toutes ces routes.
Le choix de la catégorie est donc conditionné par le relief (plat, vallonné, montagneux et
désertique) et les contraintes locales (traversée de localité, évitement de zones particulières,
etc. …).
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• Améliorer localement la géométrie horizontalement et verticalement afin d’obtenir une
géométrie conforme à la norme adoptée.
La conception, l'entretien et l’exploitation de l’infrastructure routière sont des facteurs
d'amélioration de la sécurité routière.
Définition du tracé en plan : Le tracé en plan est une projection de la route sur un plan
horizontal de l’axe de la chaussée, il est constitué d’une succession de droites, raccordés par
d’arcs de cercle. Il doit permettre d’assurer les bonnes conditions de sécurité et de confort.
Définition du profil en long : Le profil en long est la projection de l’axe de la route sur
un plan vertical. Il est constitué d’une succession d’alignements droits raccordés par des
courbes à rayons parabolique.
CARACTERISTIQUES NORMES
4ème catégorie (REFT) 4ème catégorie (REFT)
REMARQUE :
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Dans le tracé en plan la règle de la norme REFT stipulant l’obligation de raccorder deux
courbes circulaires par un alignement droit d’une longueur minimale de 20 mètres, quels
que soient leurs rayons est abrogée.
3. Distance d’arrêt :
Vb (km/h) 40 60 80 100
D.a.d (m) 32 60 96 140
D.a.c (m) 24 48 80 120
Remarque :
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La distance d’arrêt est changée selon la météo et la masse du véhicule
Deux véhicules circulent dans le même sens, à la même vitesse. Le premier freine au
maximum.
A quelle distance le second peut suivre pour éviter la collision ?
Théoriquement puisqu’ils roulent à la même vitesse, ils s’arrêteront à la même distance qui
est la distance de freinage.
L’espacement entre les deux véhicules sera simplement parcouru durant le temps de
réaction.
E=V/5.L
Avec :
V : la vitesse du véhicule. Km /h
L : la longueur du véhicule. m
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Les gestions des réseaux sont :
1. Structure de chaussée :
La chaussée : au sens structural, est l'ensemble des couches de matériaux disposées
pour supporter la circulation des véhicules sur le terrain préparé. La chaussée est dite
rigide si elle comporte une dalle en béton de ciment ; elle est dite souple dans le cas
contraire. (Dans notre cas nous avons une chaussée souple).
La forme : est la surface du terrain préparé sur laquelle est édifiée la chaussée et
parfois les accotements quand ils sont rapportés.
Elle peut être encaissée ou dérasée.
La couche de base et, si elle existe, la couche de fondation ont pour objet
essentiel de résister aux charges verticales et de répartir convenablement sur le
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terrain les pressions qui en résultent ; l'ensemble de ces couches constitue le
corps de chaussée.
Alors la structure de chaussée est fait comme suivre. (Selon le cas du projet)
La route est placée sur le terrain qui est naturel avant tous travaux, ou préparé après
exécution des terrassements.
2. Chaussée :
C’est la surface aménagée de la route, sur laquelle circulent normalement les
véhicules. C’est la surface revêtue sur laquelle les véhicules se rouler.
On peut distingue :
Chaussée rigide, chaussée semi rigide, et chaussée souple.
Au Maroc en générale la largeur du chaussée est varie comme suite :
3. Accotement :
Les accotements sont les deux bandes latérales de la plate-forme qui bordent
extérieurement la chaussée. Ils peuvent être dérasés ou surélevés.
Ile assurent une butée aux couches de la chaussée, ils permettent d’assurer aussi le
stationnement des véhicules et le passage occasionnel lors des dépassements.
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4. Plat forme :
La plate-forme est la surface de la route qui comprend la ou les chaussées, les
accotements.
5. Fossé :
Ce sont les excavations aménagés de part et d’autre part de la plateforme. Ils sont
destinés à assainir la plateforme en collectant les eaux de ruissellement et drainées par
la chaussée et les accotements. Ils sont creusés dans le terrain pour l'écoulement des
eaux.
Fossé trapézoïdal :
Fossé triangulaire (c’est le type de fossé que nous choisir de notre projet) :
6. Remblais, déblai :
Si la route est construite au dessus de terrain naturel, on dit qu’elle est en remblai, si elle
est construite au dessous de terrain naturel, on dit qu’elle est en déblai.
Les remblais : Un remblai est une couche de matériaux rapportés sur le terrain naturel
d’une épaisseur suffisante pour obtenir le niveau définitif.
Un remblaiement est indispensable dans le cas suivants :
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- la profondeur du décapage est supérieure h l’épaisseur du dallage futur et de sa
fondation.
- le terrain doit être mis à l’abri des inondations.
- le dallage doit être placé au niveau de la plate-forme des camions ou des wagons.
Les déblais : consiste à abaisser le niveau du terrain par enlèvement des terres.
C’est le sol retiré du terrain naturel par creusement d’une fouille ou extraction en pleine
masse. Le déblai quant à lui permet d’enlever de la terre pour bien niveler le sol. Il est très
utile pour mettre en place une structure dite portante. Il existe deux types de déblai pour
retirer suffisamment de terre et assurer un terrassement parfait des sols :
– Le déblai d’excavation utilisé pour les travaux de terrassement sur plus de 25 cm
d’épaisseur.
– Le déblai en tranchée servant à réalisations des réseaux et fondations
REMARQUE :
Profil mixte de terrassement routier : est un coup dont les remblais et les déblais sont
intersecté dans un point appelé aussi point fictif.
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7. Talus :
C’est la pente, ou inclinaison, donnée aux parois des terres pour éviter leur éboulement. Il
dépend de la nature du terrain ; c’est un Partie de route comprise entre l'accotement et le
fossé extérieur. On distingue les talus de remblais et les talus de déblais :
- Les talus de remblais sont généralement réglés à une pente de 3 H / 2 V.65%
8. Assiette :
C’est la surface de terrain occupée par la route et ses annexes.
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9. Emprise :
L'emprise de la route est la surface du terrain appartenant à la collectivité et affectée à la
route, ainsi qu'à ses dépendances.
L'emprise coïncide généralement avec le domaine public.
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IV. Les Etapes fondamentaux d’études d’un projet routier :
1. Reconnaissance du terrain :
A l’aide des cartes et des photos aériennes existantes. Les cartes (1/25000, 1/10000,
1/5 000) font apparaître la surface du terrain avec les détails planimétriques essentiels, et
son relief est exprimé par des courbes de niveau.
L’exploitation des cartes et photos aériennes permet une étude préalable du tracé de route.
A ce stade exploratoire des profils en long sont dessinés en utilisant les courbes de niveau et
en suivant plusieurs itinéraires. Les profils en long sont étudiés sommairement et comparés
entre eux, on indique sur chacun des profils les points essentiels du terrain ayant de
l’importance pour le choix du tracé (routes, canaux, rivières, ravins, voies ferrées, etc.
rencontrés ou traversés).
- Le dessein sommaire du projet avec l’indication des pentes et rampes principales, hauteurs
des principaux déblais.
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4. Projet d’exécution :
On procède à l’implantation des piquets sur le terrain de l’axe de la voie (sommets
d’alignements droits) en prenant graphiquement sur le plan les éléments nécessaires, en
utilisant des repères naturels tel que des angles de constructions, bornes, etc.
Le profil en long définitif est levé sur le terrain après le piquetage de l.axe. Les cotes de
nivellement et les distances indiquées sont donc exactes et ne résultent plus d’interpolation.
Les profils en travers sont également levés. Les cotes du projet sont calculées au cm près à
partir d’éléments exacts, et les profils peuvent être dessinés de façon précise. On mesure
ensuite sur le terrain les angles formés par les alignements. Ces angles précis permettent
d’étudier les courbes de raccordement des alignements, de fixer les points de tangence des
courbes, leur rayon si elles sont circulaires et de calculer l’angle au centre. Ces données
permettent de calculer ensuite les éléments nécessaires à leur tracé sur le terrain.
Les paragraphes suivants traitent les divers procédés d’implantation des courbes circulaires.
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Les étapes de réalisation d’un tracé en plan /conception plane (logiciel piste) :
Ensuite, en ouvrir le semis des points dans le logiciel piste, mais d’abord il faut que le
fichier et dans un format acceptable, c’est-à-dire en l’enregistre sous selon tous les
formats et en rajouter .XYZ dans le nom de fichier.
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Déterminer l’axe :
Dans cette étape en crée un fichier Excel dont on va citer les commandes de logiciel piste.
Cette méthode est très facile par rapport à les méthodes traditionnelles.
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Dans l’état final en obtient la forme ci-dessus.
La Clothoïde est une spirale, dont le rayon de courbure décroît d’une façon
Continue dès l’origine où il est infini jusqu’au point asymptotique où il est nul.
La courbure de la Clothoïde, est linéaire par rapport à la longueur de l’arc. Un clothoïde
symétrique il est séparé de l’arc avec la même longueur L.
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Eléments du clothoïde :
L : Branche de clothoïde
A : Angle au sommet principal
A’ : Angle au 2ème sommet (sommet secondaire)
O = centre du cercle
R = rayon du cercle
OR = origine de la clothoïde
FR = extrémité de la clothoïde
ΔR = mesure du décalage entre l’élément droit et l’arc de cercle
Xm = abscisse du centre du cercle
ϕ = angle des tangentes
X = abscisse de FR
Y = ordonnée de FR
TK = tangente courte
TL = tangente longue
Avec :
L = (V/3.6).(d + 2.5)/4 V : vitesse de base d = dévers 4 taux de variation en %
A = Variation des gisements des droites ou observé par un instrument
Topographique.
A’ = A + 2τ
R = rayon choisi en fonction de la catégorie.
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ΔR = L2/24R
Xm ≈ L/2
ϕ =[(100.d2)/(3.Π.R.L)]x3
X ≈ L/2
Y = L2/6R
TK, TL (application loi de sinus)
SL = corde = 2R. Sinus (ϕ/3)
ω = ϕ/3
Alors dans notre projet on essayé de faire deux clothoïde. (Voire annexe tableau d’axe en
plan)
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Raccordement circulaire simple :
Permet de calculer l’Angle des tangentes, le Rayon du secteur circulaire, la longueur des
Tangentes, le Développement (la longueur de l’arc) et la longueur de la Bissectrice.
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Enfin, maintenant on peu réaliser l’axe en plan de notre projet.
Afin de tapez dans la barre des commandes de piste. Commande : AXE AX P1 AUTO
T1
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Donc l’axe de notre route est bien former et en placer dans leur endroit exact.
2. Profil en long :
Définition :
Le profil en long d’une route est une ligne continue obtenue par l’exécution d’une coupe
longitudinale fictive, C’est la projection de l’axe de la route projetée sur un plan vertical, il
indique la valeur des pentes et des rampes, ainsi que des rayons des sommets des côtes et
des points bas. Donc il exprime la variation de l’altitude de l’axe de la voie en fonction de
l’abscisse curviligne.
Le profil en long est toujours composé d’éléments de lignes droites raccordés par des
cercles.
Le but principal du profil en long est d’assurer pour le conducteur une continuité dans
l’espace de la route.
Le calage de la ligne rouge doit se faire tout en respectant les points suivants :
- Les normes et les caractéristiques géométriques en profil en long.
- Rechercher un équilibre entre le volume des remblais et les volumes des déblais.
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Les éléments de profil en long :
Le profil en long d’un projet routier est composé de ligne rouge, déclivités et des
raccordements parabolique, comme il est schématisé ci-dessous :
Dans le Profil en Long d’un projet routier, on distingue deux types de raccordements :
Dans la catégorie REFT le rayon minimal absolu du raccordement convexe est : RMA=1000.
Dans la catégorie REFT le rayon minimal normale du raccordement concave est : RMN=500.
Le raccordement parabolique est une Technique qui permet de lier les déclivités de la ligne
rouge d’un profil en long par des rayons de courbure choisis en fonction de la catégorie
adoptée.
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Les étapes de réalisation d’un profil en long /conception longitudinale (logiciel piste) :
Pour réaliser un profil en long il faut tout d’abord calculer les cotes de terrain.
En crée les cotes terrain utilisent le semis TPL du fond plan, comme suite :
On fait une interpolation pour déterminer les altitudes des points contient la chaussée.
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- On utilise le semis des points TPL.
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Nous avons 69 profils, et ils sont tous définis.
Dans notre cas dont la catégorie étudié est REFT ; route économique à faible trafic on a.
Et en peu les calculer en fonction des rayons de courbure de l’axe de projet, voire la figure
suivante.
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Dans le logiciel piste on les détermine come suite.
Dans la table des dévers en citer les branches de clothoïde et les rayons qui correspondent à
chaque dévers.
Lors que on a saisie les rayons et les branches en peu maintenant calculer les devers.
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En tant que les devers et les cotes terrain sont définis et bien calculer, en peu commencer la
conception longitudinale.
Premièrement on convertir notre fichier piste vers un fichier dxf pour le traiter sur autocad.
Donc en passe au logiciel piste faire des paramètres sur lesquelles on va transfère notre
fichier vers autocad.
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Les traitements que nous avons faire sont :
- crée une ligne rouge brut dont il ya justement des alignements droites (pente et rampe)
sur laquelle on va se baser pour déterminer les rayons de notre raccordement parabolique.
- crée les rayons en angle rentrant et saillant, respectent les normes de catégorie.
- crée un fichier excelle et déplacer dans ce fichier les coordonnées des sommets des
raccordements comme des points de notre ligne rouge, aussi avec les rayons des
raccordements.
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Après que le fichier excelle est fini maintenant en peu le convertir à un fichier texte pour le
lire dans le logiciel piste.
C’est le profil du
terrain
LIR
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Donc après que le fichier est fait lire le profil devra donc.
Notre profil en long est complètement fini, on a calculé les cotes terrain par l’interpolation,
puis les divers et finalement nous avons dessiné notre ligne projet qui est la ligne rouge.
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Le tableau ci-dessus est un carnet sur lequel le logiciel est résume tous les caractéristique et
les éléments du profil en long. (Voir le tableau dans les annexes)
- après on sauvegarder notre ligne rouge puis en le tabuler. (Le tableau complet dans l’annexe)
Donc d’ici nous avons finir et compléter la conception longitudinal de notre projet.
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3. Profil type :
Définition :
Vu latéralement de la structure d’une chaussée sur lequel on indique les variantes couches
et leur épaisseur.
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Dans l’étape suivante on va essayer de crée notre profil en travers type sur lequel on va se
baser pour réaliser les profiles en travers.
Créer une
nouvelle p. type
Alors comme nous avons déjà faire le choix de notre profil type, notre plateforme sera donc :
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Dans cette fenêtre en citer les paramètres et les dimensions de notre chaussée, et sachant
que le logiciel piste est choisir un seul coté de la chaussée pour le dimensionner, par suivre il
faire les mêmes paramètres à l’autre coté.
Alors en passe à réaliser les talus dans le cas de déblais et de remblais et aussi lorsque ils
ont mixtes.
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- maintenant on passe à dimensionnera le corps de chaussée dans un coté.
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L’assise c'est-à-dire tous les couche de chaussé et ici on a deux couche principale sont
couche de fondation et couche de base, et la couche de roulement.
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Alors notre profil en travers type est fini :
4. Profil en travers :
Définition :
C’est la projection de l’axe de la route projetée suivant un plan perpendiculaire, il
indique la nature des matériaux, ainsi que les épaisseurs des couches formant le corps
de chaussée. Permettent de calculer les paramètres suivants :
La position des points théoriques d’entrée en terre des terrassements
L’assiette du projet et son emprise sur le terrain naturel
Les cubatures (volumes de déblais et de remblais).
Le profil en travers doit être tel qu'il puisse assuré à tout moment l'écoulement du
Trafic actuel et prévisible dans de bonnes conditions de sécurité et de confort, et ainsi
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L’évacuation rapide des eaux de pluie.
Il existe deux types de profil en travers qui sont :
Profil en travers type : est une représentation graphique, contenant et détaillant d’une
Manière précise tous les éléments constituant la route notamment les dimensions de la
Route, ses dépendances la structure de chaussée, sa composante ainsi que les
Épaisseurs.
Profil en travers courant : s’applique au PK indiqué, il reprend et mentionne
Toutes les données caractérisant la section transversale de la route au PK
Considéré, notamment cote terrain naturel (TN), cote de projet .devers de la
Chaussée.
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Alors on va construire les profiles en travers avec le profil type.
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Profil en travers mixte
- Donc tous les profils sont calculer, on a fini l’étude de tracé en plan, le profil en long et
dernièrement les profiles en travers a partir d’un profil type.
Le volume de terrassement
La cubature de chaussée
La perspective ……
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VI. Opérations topographique :
1. Moyens humain, matériels et logiciel utilisé :
Moyens humain :
- Chef de brigade : c’est le responsable de la tache à effectuer, c’est lui qui choisiraient les
méthodes à employée, contrôler les observations, faire les calcules nécessaire …
- L’opérateur : d’érige l’appareille sur les points à levé, et effectuer les lectures
correspondances.
- Port mire : c’est lui qui mis en place sure les points à levé ou à implanter.
- LE NIVEAU DE CHANTIER : pour l’implantation des fonds de fouilles et pour le contrôle des altitudes.
- Les accessoires : les jalons, les trépieds, les rubans, les piquets ….
Les logiciels sur lesquelles on va se baser pour réaliser les tracés sont :
Piste : ce logiciel est plus précis que Covadis, il permet de faire la même tache de covadis.
2. Implantation planimétrie :
Définition : c’est une opération topographique consiste à matérialiser sur le terrain la forme
exacte des bâtiments, des axes d’une routes selon leurs représentations sur les plans.
Il existe plusieurs méthodes pour implanter les points P1, P2,... d’un raccordement. Et parmi
ces méthodes on cite :
Tracé par coordonnées polaires :
Dans le repère (T, X, Y) les coordonnées polaires topographiques d’un point P de l’arc de
cercle sont : P (DhTP ; GTP).
On calcule ensuite :
DhTP = c = 2.R.sin 𝛾 /2
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GTP = GTS + 𝛾 /2= GTA + 200 + 𝛾 /2
Mode opératoire :
Le théodolite est stationné au point T, le zéro du limbe est sur l’alignement ST. Un seul
théodolite est nécessaire et une seule station, par exemple en T.
Pour diminuer les portées, on peut aussi effectuer deux stations aux points T et T’ et
implanter chaque fois un demi-arc de cercle.
Mode opératoire : On procède donc de la manière suivante, les deux operateurs stationnent
au théodolite les points de tangence T et T’. Il convient d’ouvrir ensemble le
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Même angle 𝛽 par exemple de 2 en 2 gr à partir de leur référence respective soit 200gr + 𝛽
pour l’operateur dont la référence est TA, et 𝛽 pour l’operateur dont la référence est T’T.
Les points M, M’, M’’.sont définis à chaque fois par l’intersection des deux visées.
Ce procède est très rigoureux, rapide, ne nécessite aucun calcul, mais repose sur l’emploi
simultané de deux operateurs et de deux instruments ce qui est difficile à réaliser.
Il est nécessaire de connaitre parfaitement le terrain pour choisir judicieusement les repères
d’où on implante par rayonnement (coordonnées polaires), ou par double rayonnement
(coordonnées bipolaires).
DSP1= √Δ𝑋2 + Δ𝑌2 et 𝛼 = GSR – GSP1
On peut vérifier les implantations en mesurant les distances entre les points proches.
Il est nécessaire d’établir pour chaque station une fiche avec les gisements et des distances
entre le repère et chaque point d’axe ainsi qu’un croquis, et les distances de contrôle entre
les points implantés.
3. Implantation altimétrique :
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Si l’implantation est l’ensemble des opérations que l’on effectue en utilisant les mesures
horizontales, l’altimétrie ou nivellement regroupe l’ensemble des opérations effectuées par
des mesures verticales.
Δ𝑍𝑀𝑁 = 𝑝 × 𝐷ℎ
𝑍𝑁 = 𝑍𝑀 + 𝑝 × 𝐷ℎ
Δ𝑍𝑀𝑁 = 𝐿𝑀 − 𝐿N
𝐿𝑁 = 𝐿𝑀 − Δ𝑍𝑀𝑁
Après avoir tracé la ligne rouge sur le profil en long, on applique le ou les profils types
choisis. Le volume des terrassements entre deux profils en travers consécutifs s’appelle «
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entre profils ». Il est délimité par les deux plans verticaux des profils en travers, la surface du
terrain et la surface du projet.
L’évaluation de chaque entre - profil constitue la cubature des terrassements.
Il existe plusieurs méthodes pour calculer le volume des entre-profils dont les plus
utilisées sont :
- La méthode de la moyenne des aires (Méthode profils en travers)
- La méthode du profil en long (méthode rapide)
S + S1 S1 + S2 S2 + S3
V = × L + × L1 + × L2
2 2 2
Pour un nombre quelconque de profils, le volume général sera égal au totale des produits de
la surface de chacun des profils par le demi-sommeil des distances d’entre profil.
C’est sous cette forme, qui apporte une simplification dans les calculs et dans la rédaction
des tableaux de métré, qu’elle est généralement employée.
Méthodologie :
1. On trace, à une échelle suffisante, les profils précisant d’une part le terrain naturel, qui est
avant le terrassement, et d’autre part la ligne rouge (projet) à réaliser ou obtenues après
l’exécution soit de remblai ou déblai. Les lignes du projet et du TN permettent de calculer la
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surface des terrassements « au profil », en utilisant systématiquement le profil en travers
type.
-les largeurs concernées par les travaux de terrassement : décapage de la terre végétale,
déblais, remblais.
-les hauteurs de déblais ou de remblai entre les niveaux du terrain naturel et du projet.
-les surfaces correspondantes.
4. Les valeurs ci-dessus déterminées sont reportées dans un tableau (voir plus loin) où
figurent également la distance entre profils en travers consécutifs et celle à appliquer pour le
profil considéré : moyenne de la somme des distances aux profils adjacents.
On calcule, pour le profil considéré et sur sa distance d’application, la surface de terre
végétale, ainsi que les volumes de déblais et de remblais. L’addition des résultats de chacun
des profils en travers donne les quantités totales du projet.
Cette méthode est assez approximative mais les opérations qu’elle implique sont faciles à
comprendre et à vérifier.
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La surface en remblai est : S = lh+ qh²
La surface en déblai est : S = lh + q’h²
Le calcul des volumes d’effectue de la même façon que celle la méthode précédente.
Cette méthode est très rapide, mais elle n’est évidemment que très approchée. Elle suppose
d’abord le terrain naturel horizontal dans le sens transversal, cas que l’on ne trouve que
dans les zones de plaine ; on doit cependant observer que, si la pente transversale est
régulière, il y a sensiblement compensation.
PROFIL FICTIF :
Le profil fictif correspond sur le profil en long au point d’intersection de la ligne du projet
avec la ligne du Terrain naturel. (TN). Les profils fictifs sont considérés comme ayant une
surface nulle.
p.fictif
Z1 Z2
D1 D2
Z1 et Z2 sont les différences de niveaux respectives sur les profils P1 et P2 entre la ligne du
projet et le TN.
Z1 z2
d1 = d2 =
Z1+Z2 Z1+Z2
Géométriquement:
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CONCLUSION :
Cette thèse de fin d’étude a été l’occasion pour nous d’approcher et de mettre en contact
Les professionnels de la route en l’occurrence, les cadres de la direction des travaux publics
De TAHANAOUT, faire des consultations dans le département de cadastre et cartographie.
Rencontrer avec l’ingénieure de société Snl Mr. ABDELOUAHED AIT ICHOU ainsi que les
ingénieurs de BUREAUX D’ETUDE ET QUALITE MAJORELLE , qui tous en été pour nous d’un
très grand apport notamment en ce qui Concerne les thèmes lies directement à la
conception d’un meilleur tracé routier et D’approches méthodiques des phases d’étude.
Ce projet de fin d’étude nous a offert également l’opportunité d’exercer et mettre en
Pratique nos connaissances acquises au cours de notre cursus de formation pour la
Finalisation de notre projet.
Et enfin pour une deuxième fois je tien à remercier toutes les personnages qui sont donner
des idées soit des conseilles, et ils ont me supporter pour réaliser se projet de fin de
formation.
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