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ABEL HOVELACQUE

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SUR LA PRONONCIATION

ET LA TRANSCRIPTION
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ABEL HOVELACQUE

NOTE
SUR LA PRONONCIATION

ET LA TRANSCRIPTION

DE

DEUX SIFFLANTES
SANSKRITES

Prix : 25 centimes

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PARIS
MA1SONNEUVE ET 0°, LIBRAIRES-ÉDITEURS
i5, quai Voltaire

1869
9524- — Paris, Typographie Alcan-Lévy, boulevard de Clichy, 62.

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NOTE
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LA PRONONCIATION ET LA TRANSCRIPTION
DE

DEUX SIFFLANTES SANSERITES

Aucune difficulté ne saurait être élevée concernant la


transcription et la prononciation de la sifflante dentale, cor
respondant aux explosives t, d, à la nasale n, à savoir
ÇT : on la désigne graphiquement par s, on la prononce
comme notre sifflante dentale forte ou muette , à savoir
notre s de sur, notre ç de maçon, notre c de cire.
L'on sait que les dentales pures du sanskrit admirent en
certaines occurrences une nuance regardée par certains au
teurs comme cérébrale ou emphatique, mais en réalité
nuance toute linguale : la langue recourbée se porte vers la
partie la plus reculée du palais. Cette sorte d'articulations
est assez difficile pour nous, Européens; aussi, comme le
remarque Schleicher, au Compend., p. 17, les dento-lin-
guales admettent chez nous la même prononciation que les
_ 4 —

dentales ordinaires. De la sorte t, d, th, dh, n peuvent sans


inconvénient sérieux être rendus comme t, d, th, dh, n. La
logique nous contraint à transcrire par s la sifflante de
cette classe, à savoir Gf, et à la prononcer comme s si l'on
prononce t, d, n comme t, d, n. Dans l'enseignement reçu
il n'en est pourtant pas ainsi. Bopp transcrit cette sifflante
par un s surmonté d'une sorte d'esprit rude, et nous dit
qu'elle se prononce comme le ch français, le sh anglais, le
sch allemand, le LU slave. Desgranges la rend par ch,

M. Benfey, par sh; Schleicher la représente par s, signe
emprunté à la transcription du slave et répondant à eh, sh,
sch plus haut cités. Ce mode de prononciation, et par suite
de figuration graphique, est, je n'hésite pas à le dire, com
plètement faux. La sifflante en question est dento-linguale,
et voici qu'avec ch, sh, s, etc., l'on en fait une palatale
chuintante ! Notre ch, en effet, parallèle à notre j, au i
zend et slave, n'est pas autre chose qu'une palatale chuin
tante; si donc le groupe st, par exemple, est prononcé shl,
la phonétique se trouve grossièrement blessée : nous atten
dons rigoureusement deux dento-linguales, et l'on nous
donne une chuintante, puis une dento-linguale. Dans la pro
nonciation distinguons assurément, si la chose nous est pos
sible, t, d, ri, s de t, d, n, s, mais au moins distinguons-
les lingualement ! Ce que dans la transcription nous faisons
pour t, d, n vis-à-vis de t, d, n, faisons-de également pour
la sifflante, et en face de s transcrivons *, — puis, ce que
dans la prononciation nous faisons pour les explosives et la
nasale dento-linguales, faisons-le également pour la sif
flante : distinguons-nous les premiers d'avec f, d, «?...
alors distinguons également, mais ungualement, la sif
flante : ne les distinguons-nous pas?... que rien alors
ne se trouve distingué. Certes, il vaut mieux, il vaut
mille et cent mille fois mieux donner à s la valeur
de notre * que de notre ch. — A l'égard de la transcrip
tion il est inutile, je pense, de chercher à justifier le signe s :
l'analogie le réclame absolument, tout comme 11 , du mo
ment qu'un point souscrit est déjà pour les explosives
dentales le signe graphique de la lingualisation. Ce sys
tème a été adopté par M. Chavée, dans sa Lexiologie indo
européenne.
Il n'y a pas à s'étonner de l'apparition du mode vicieux
de prononcer en chuintante la sifflante dento-linguale. Cet
ordre, ainsi que je l'ai dit plus haut, est fort malaisé à arti
culer ; pourtant sa nasale et ses explosives doivent être dis
tinguées de sa sifflante : ou bien les premières ne sont point
différenciées d'avec les dentales pures, ou bien, si l'on veut
établir la diversité, l'on arrive à un satisfaisant et exact
résultat sans crainte d'être entraîné par l'organe en une
fausse voie. Il en est différemment pour la sifflante ; ici il
faut bien en appeler à l'expérimentation : tentez de pronon
cer lingualement un s, vous reconnaîtrez de suite combien
il y a de difficulté à s'arrêter au point convenable ; rien de
plus à craindre que l'extrême facilité à passer ici au chuin
tement. — Que cette interprétation, légitime à mes yeux,
semble à d'autres plus ou moins acceptable, les faits n'en
sont pas moins établis, et doivent être rigoureusement et
— 6 —

scrupuleusement observés; le dilemme, je le répète, est


inéluctable : ou bien ne distinguez point* de sJ si t, d, n
sont prononcés, par vous comme les dentales ordinaires, ou
bien, si aux explosives et à la nasale en question vous 'don
nez légitimement leur nuance linguale, donnez alors à s
cette même nuance, mais gardez-vous par-dessus tout de la
changer d'ordre, au mépris des principes les plus élémen
taires de la phonétique; en un mot, gardez-vous d'en faire
une chuintante !
J'arrive à l'ordre des palatales chuintantes : en face de
é, j, n nous avons la sifflante JJ\: sans présumer en aucune
façon sa valeur auditive, l'on peut établir comme principe
théorique de transcription s pourvu du signe « minute » , à
savoir s'. Des tentatives ont été faites en ce sens (je ne
parlerai pas ici du système de sir W. Jones, qui use à la
vérité de ce signe, mais, fort inconséquent, rend par exem
ple notre n par A). Il est reçu de s'en tenir au signe ç : je le
regrette, mais reconnais qu'il y a ici bien moins d'incon
vénient que dans s, ch, sh pour s. Tenons-nous en donc à
ce ç. Quant à sa prononciation, il est manifeste qu'elle doit
être chuintante : et pourtant que fait-on habituellement ? On
lui donne la même valeur qu'à s, absolument comme en
français : en un mot, ici encore on méconnaît l'ordre légi
time; tout à l'heure, d'une dento-linguale on faisait une
chuintante; maintenant, d'une chuintante on fait une den
tale! J'ai dit «habituellement», car quelques auteurs bien
inspirés protestent contre la fausse prononciation. Bopp,
qui s'adresse ici à la sifflante ordinaire surmontée du signe
— 7 —
minute, dit, dans sa Grammaire comparée, que la sifflante
en question est prononcée comme un s accompagné d'une
faible aspiration : cela ne dit pas grand'chose, mais enfin,
reconnaît et proclame nettement une distinction. M. Ben-
fey écrit, dans sa Kurze sansk. Gramm. : « Ça est un scha
plus doux que sha », p. 3. De son côté, M. Oppert dit :
« C'est un s produit par les dents supérieures. M. Lepsius
croit, et non sans raison, que ce son se rapprochait du ch
allemand de ich. » Schleicher est formel : il convient de
«prononcer ç en quelque sorte comme ch dans sichel; la
valeur de s dur qu'on lui attribue conventionnellement est
fausse et inadmissible, ç n'a rien à faire avec s.» Compend.,
p. 17. Déjà, dans les Beitraege, Schleicher avait insisté sur
ce point ; c'est au tome I, p. 110. Peu importe que dans quel
ques mots sanskrits un ç remplace un s (Compend., p. 177,
Anm.), cela n'infirme absolument en rien la distinction de
ces deux sifflements. — D'après ce qui vient d'être dit l'on
voit qu'il y a deux sortes de sifflantes palatales chuintantes
fortes : c'est à savoir notre ch français et le ch allemand
tel qu'il se fait entendre dans « ich, nicht». Eh bien, plutôt
que de détourner de son ordre le ç sanskrit et de lui donner
la valeur de la dentale s, j'estime qu'il vaut infiniment
mieux lui attribuer celle de sa cochuintante sh anglais,
ch français, si tant est qu'on ne lui donne pas, ce qui serait
après tout fort regrettable, sa véritable valeur : en faire un
sh, ch, sch, s, c'est laisser supposer un à peu près par im
puissance organique ; en faire un s, c'est commettre une
faute grave, et assurément des plus grossières.
— 8 —

Je laisserai de côté une autre sorte de sifflement que l'on


trouve en sanskrit à la fin des mots en différentes occurren
ces; dans ces quelques lignes j'ai cherché uniquement à
donner une base à la double thèse que voici :
1° Transcrire par sch, chj sK s la sifflante Gf•s, et la pro-
noncer d'après l'articulation impliquée en ces signes gra
phiques, est radicalement inadmissible : la saine prononcia
tion est dento-linguale, la saine transcription est le signe *;
2° Transcrire VJ par ç est acceptable, mais lui donner la
valeur auditive de s est radicalement inadmissible : la saine
prononciation est celle du ch allemand de « ich, sichel. »
Sur ce point j'ai pu invoquer, du reste, l'enseignement de
plus d'un auteur.

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