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INTRODUTION

Dans ce travail nous présentons le développement de la téléphonie au Mexique depuis le


processus de la constitution de TELMEX en 1947. D’abord avec l'intégration de 2
entreprises transnationales, ensuite comme entreprise de l'initiative privée auprès d'un
capital mexicain en 1958, après comme entreprise publique en 1972 et finalement son
processus de privatisation en 1990. Face au processus de modernisation technologique des
années quatre-vingt, nous essayons de montrer que le syndicat de TELMEX a pu survivre,
en réussissant à conserver d'un côté son personnel syndical et, par l'autre, en influant
positivement sur certains plans de l'expansion téléphonique avec de nouvelles relations de
travail.

1- LA CONSTITUTION DE TELMEX
Le 13 décembre 1947 l'entreprise téléphonique du Mexique (TELMEX) a été créée par la
fusion de l'infrastructure et l'équipe d'Ericsson avec MEXTEL (Première compagnie de
téléphonie mexicaine fondée en 1882 dépendent du Western Electric Telephone Company).
La gestion téléphonique continuait d’être dans les mains étrangères mais sous une autre
dénomination. Par la suite, « l'État mexicain a octroyé des facilités pour que, le 20 août
1958, des entrepreneurs mexicains acquièrent la totalité des actions de Téléphones du
Mexique qui était dans un pouvoir des deux transnationales, Ericsson et l'ITT (International
Telephone and Telegraph Co.). Le capital national de l'époque est arrivé à contrôler
l'entreprise.»1 Quatre ans plus tard l'introduction de la technologie de « Micro-onde » au
Mexique en 1962 a affecté des travailleurs dans différents départements. Le réseau de
longue distance était intégré par câbles aériens qui connectaient différentes villes du pays,
avec un système de poteaux installés parallèlement aux routes et à partir de cette année.
Les poteaux ont commencé à disparaitre avec l’ensemble des travailleurs qui s'en
occupaient, c'est-à-dire ceux qui installaient les câbles de longues distance et de sa
maintenance. « Ils ont été les premières affectés. D’une manière indirecte les opérateurs ont
été affectés, puisque le l’automatisation avec la longue distance ne requérait plus son
intervention. Les lignes de « micro-onde » et satellitaires ont rendus les câbles en cuivre
obsolètes pour la longue distance, sauf dans les centres urbain. » 2 Le 20 juillet 1970 a été
inauguré le nouveau système automatique dénommé de longue distance "Lada 95", le
premier dans son type en Amérique latine; la première connexion a été faite entre Toluca et
Washington, D.C.3 En 1967 95 % du système fonctionnait par « micro-onde » et 5 % en
ligne physique.4

1 2

Magazine “Voces”, octubre 1982, No. 250 Cáliz C.A.M en Álvarez B.A, 1990. Page., 165.(La
clase obrera y le sindicalismo mexicano) 3
http://www.ahciet.net/historia/pais.aspx?id=10145&ids=10677 4 C.A.M en Álvarez B.A,
1990. Page., 170. (La clase obrera y le sindicalismo mexicano)
2. Participation de l’Etat et modernisation
2.1 L'ÉTAT A ACQUIS 51 % DES ACTIONS DE TELMEX. Avec une croissance de
l'industrie et des villes, il y a eu une plus grande demande duservice téléphonique pour
TELMEX d’autres petites compagnies. « Ce qui a requis l'intervention de l'État en 1972, le
gouvernement a acquis 51 % des actions de TELMEX, en se convertissant en partenaire
majoritaire de l'entreprise. »5 La croissance de TELMEX s'est accélérée. En arrivant en
1981 à produire 8 lignes téléphoniques pour 1000 habitants. Cette croissance s'est aussi
reflétée avec l'absorption d’autres petites compagnies téléphoniques qui fonctionnaient à un
niveau régional. À la fin des années 70, durant l'expansion de l'entreprise, est arrivée la
technologie digitale, qui a produit une restructuration totale de TELMEX, au contraire de la
technologie de «microonde » qui pendant les années 70, avait seulement touchée le
département de longue distance. TELMEX a réalisé un appel d’offre pour la technologie
digitale en 1980, qui a été remporté par INDETEL et Ericsson. En 1982 l'installation de
centrales digitales commence. En 1985 avec le tremblement de terre qui a touché une
grande partie du pays a endommagé les centraux téléphoniques, c’est alors qu’ils ont été
obligés d’accélérer le Programme de Numérisation avec de nouvelles équipes.6 Ce
programme ne se considérait pas comme un changement simple de technologie, c'était une
vraie restructuration. Il était requis un changement de toute l'infrastructure et une
substitution des centraux téléphoniques analogiques par la nouvelle équipe « numérique »,
des travailleurs plus qualifiés pour l’entretient, avec également un usage généralisé de
l'ordinateur non seulement pour la commercialisation du service, mais aussi pour la
présentation du service même à unniveau local et de longue distance. La restructuration
signifiait, de plus une rénovation des processus de travail et des changements
organisationnels de l'entreprise. 2.2. LA MODERNISATION DE TELMEX ET LE
PROCESSUS FLEXIBILISATION DU TRAVAIL. L’un des premiers effets de la
modernisation dans TELMEX c'était le déplacement des travailleurs syndiqués. Ce
déplacement s'est accentué avec l'arrivée de la nouvelle technologie, avec une nouvelle
équipe et de nouveaux travaux, « l'entreprise a été plus persistante dans l’appel aux sous-
traitants, en général aux fournisseurs; ainsi que la fibre optique, les centraux numériques
entre autres. Et ce parfois même avec un personnel étranger dans la direction des travaux.
» 7 Il y a un engagement de sous-traitant accentué dans l'étape de la technologie digitale.
Francisco Hernández Juárez (un dirigeant du Syndicat de Téléphonistes de la République
5 6

http://www.cnnexpansion.com/empresas/telefonos-de-mexico-s-a-de-c-v Magazine STRM,


1988, Page, 5 7 Félix F. R en Gutiérrez G.E, 1989. Page, 139 (Reconversión industrial y
lucha sindical)
Mexicaine STRM a été élu en 1976 et la dirigeant pendant 33 ans jusqu'en avril 2010)8. Il
reconnaissait que, en 1989, autour de 28,000 travailleurs étaient sous-traités par les filiales
de TELMEX. On remarque, ainsi, une tendance de baisser lentement le nombre de
travailleurs syndiqués. L'entreprise a commencé une stratégie dé-crédibilisation du syndicat
en mettant en avant un mauvais service téléphonique. Dans les années 80 c'est un fait
reconnu pour tous les utilisateurs que le service téléphonique au Mexique était cher
etmauvais. L'entreprise avançait la rigidité du travail et des problèmes de corruption dans le
syndicat qui causaient le mauvais fonctionnement du service téléphonique. F. Hernández
Juárez a reconnu que cette offensive de TELMEX, "l'entreprise a toujours essayé de nous
dénoncer tout le temps comme les vilains, a voulu nous disqualifier et nous provoquer." En
Mars 1989, TELMEX a exigé avec force une modification de la relation rigide du travail. Il
demande de modifier quelques clauses du Contrat Collectif de Travailleurs et dans les 57
conventions départementales. Dans un document projeté au Syndicat STRM, on disait que
"le retard des entreprises dans introduction de la nouvelle technologie découle en grande
partie de l'impossibilité de concrétiser des réponses agiles et responsables avec
l'organisation syndicale"9. A cette époque une relation de dialogue est ouverte entre
TELMEX et le STRM. Le syndicat agréé participe au processus de modernisation, mais en
insistant sur le dialogue bilatérale des relations. Le STRM a proposé la création de la
commission de modernisation en 1985. En 1986 s’ajoute une clause dans le contrat, N°193
au Contrat Collectif, dans laquelle l'entreprise s'est engagée à programmer avec le syndicat
les phases de la modernisation téléphonique et à ne pas licencier de personnel.10 Une
réussite surprenante dans le contexte mexicain, à une époque où la crise des syndicats les
a affectés et parfois fait disparaitre. Les années successives ont intégré d'autres
programmes d'amélioration de service (PIMPES). Ce processus a culminé à la signature de
la "Convention de Concertation" pour lamodernisation et l'amélioration du service
téléphonique. Entre TELMEX et le STRM, le 14 avril 1989 le contrat de travail a été assoupli,
en affectant des clauses importantes. De la part des dirigeants nationaux de STRM, le grand
triomphe syndical a été souligné dans la reconnaissance publique d'une négociation
bilatérale entre une entreprise et un syndicat et dans la conservation de l'emploi pour tous
les téléphonistes. Au lieu de ceux-ci de nombreuses concessions ont été faites. (Approfondi
dans la partie "4")

3.-LE PROCESSUS DE PRIVATISATION DE TELMEX


La signature de la Convention de Concentration fut une étape préparatoire pour le
processus de privatisation de l'entreprise étatique. Malgré la tradition mexicaine sur la
propriété de l'État dans des aires stratégiques de l'économie, on a commencé à présenter le
cas de TELMEX comme une privatisation indispensable "par la situation d'inefficacité" et
comme quelque chose de normal et dans les tendances générales de l'Amérique latine.
Dans les années 1987 et 1988, les entrepreneurs de TELEMX et d'autres entreprises
importantes ont commencé à manifester la nécessité de contrôle de l'initiative privée sur les
téléphones. Malgré cela
8 9

Journal “La Jornada”. Judi 1er octobre de 2009. Vázquez R.P, “El cotidiano”, No. 31, 1989:
59 10 Dans le CCT sur http://telefonistas.org/docs/cct.htm
l'entreprise étatique de TELMEX elle était un succès avec un bon niveau de bénéfice et par
conséquent il n'avait pas de nécessité de subventions.11 La proposition de la privatisation
était soutenue dans deux faits : Les grandes déficiences de la communication
téléphoniquenationale, la demande des entrepreneurs et aussi de la population générale. La
nécessité urgente de favorise la modernisation numérique, étant donné que l'État n'avait pas
les fonds requis. (une somme dépassant 10 milliards de dollars). Le président de la
république Carlos Salinas de Gortari a donné l'annonce officielle de l'offre de TELMEX à
l'initiative privée, le 18 septembre 1989. Le président a annoncé "que TELMEX ne pouvait
pas continuer d'être inefficace et a donné des instructions pour vendre les actions
appartenant à l'État." 12 Fait qu'il faut remarquer, c'est qu'en 1989 TELMEX avait fait un
bilan de la plus grande augmentation des bénéfices et des ventes de son histoire; entre
janvier et juillet 1990, au moment de la privatisation, les utilités de TELMEX ont crû dans
167.9 %, au degré d'être l'entreprise la plus rentable à un niveau mondial dans la branche
des télécommunications. Dans cette mesure, il serait difficile de projeter que ce n'était pas
possible que TELMEX, comme entreprise majoritaire de l'État aurait pu obtenir les
autofinancements pour croître et se modernisent dans les années 90.13 Le 9 décembre
1990, après les enchères publiques, « le Secrétariat de Hacienda y Credito Publico»
(ministre du Budget et des comptes publics) notifie publiquement la vente de 20.4 % du
capital social de TELMEX (actions AA) qui rendu possible le contrôle de toute l'entreprise,
avec une valeur totale de 7 300 millions de dollars. 3 types d'actions s'établissent, le type A
(investisseurs indépendants avec un droit de vote) avec un total 19.6 %, le type AA (une
propriété de conglomérats avec un droit de voteappartenant à l'État) avec 20.4 % et le type
L (sans droit de vote) avec 60 %. Cette distribution a favorisé au Groupe Carso (appartenant
à Carlos Slim) et d’avoir le contrôle de l'entreprise en possédant un minimum d'actions. 14
La distribution des actions de TELMEX: PROPIETAIRES Groupe Carso France Cable and
Radio (Telecom) South western Bell de EU Autres socio de Carso Total POUCENTAGES
5.2 5.0 5.0 5.4 20.4

Source: De la Garza, E. (1997)


11 12 13

Pérez Pérez, Gabriel Tunal Santiago, Gerardo. "Modernización productiva y flexibilidad


laboral en Telmex"

Journal Expansion, No. 559 du 20 de febrero 1991: 41 De la garza, 1997

14 http://www.shcp.gob.mx/Search/Results.aspx?k=TELMEX&s=Contenido%20Portal
4. LES CHANGEMENTS DANS LES RELATIONS DE TRAVAIL ET L'INFLUENCE DU
SYNDICAT.
Durant dernières décennies, les relations de travail à TELMEX se sont substantiellement
transformées à partir de la modification de trois éléments fondamentaux. En premier lieu, on
remarque les changements dans le corps du contrat collectif de travail (CCT), en particulier
de les clauses qui règlent les droits du syndicat d'intervenir et de surveiller la gestion des
processus productifs. En deuxième lieu, la formation de Commissions Nationales en dehors
du Contrat. En troisième lieu, la négociation de divers accords ou de conventions pour
l'amélioration des indices de productivité, de qualité, d'efficacité, formation professionnelle et
des rémunérations au personnel syndiqué.15

4.1 DES CHANGEMENTS DU CONTRAT COLLECTIF.


Comme nous avons mentionné antérieurement durant la modernisation il y a eu des
changementsimportants au contrat collectif qui a culminé avec la "Convention de
Concertation" où des accords ont été faits pour assouplir le contrat collectif de travail.
TELMEX et le STRM se sont engagées à prendre toutes les mesures necessaires pour la
modernisation et pour une amélioration du service. TELMEX accepte la décision de ne pas
licencier de personnel, mais de pouvoir favoriser la mobilité du personnel ; les travailleurs
accepteraient les directrices données par le personnel de confiance (de l'entreprise). Les
changements les plus importants sont : La suppression les 57 conventions départementales
qui étaient des petits contrats par département qui régulaient les relations de travail au
détail, en établissant la polyvalence et la mobilité des travailleurs entre des postes. Ceux-ci
ont été substitués par les « profils de postes » qui comprenaient seulement 7 aspects
définies dans une forme très générale qui ont permis l'agrandissement des fonctions de
chaque poste. Il y a eu une réduction des 585 catégories à 134 catégories et 31
spécialisations avec 40 niveaux salariaux. La mobilité interne des travailleurs se fait de
forme temporelle ou permanente entre des départements ou différents points du pays
conformément aux nécessités de production. Avec l'appui à d’une nouvelle tabulation et un
système de "profils de postes" rendait beaucoup plus flexible la copie entre des
départements. La suppression des droits syndicaux stipulés dans la clause 193, pactisé en
1989 dans l'époque de modernisation où l'intervention du syndicat était facilitée dans
l'implémentation des changements technologiques. Elle a été pratiquementannulée, le
partage du syndicat dans la modernisation reste dans le doute. L'entreprise à l’obligation
d’informer le syndicat des changements technologiques seulement pour des effets de
diffusion et de formation. L’entreprise recrute le personnel en fonction de la productivité et
les nécessités du service.
15

Espinosa, 1995
Les syndiqués sont obligés de se soumettre aux dispositions et aux charges que dicte le
personnel de confiance, qui supervisera pendant tous ses travaux. Le dirigeant du syndicat
a accepté les changements délicats dans le CCT, mais il a préféré souligner les réussites : «
Nous Avons défendu trois aspects fondamentaux, qui n'existaient pas une mutilation du
CCT, qui il n'y avait pas de rajustements de personnel, et ne pas remettre en cause le
syndicat. Les trois points se sont accomplies et je crois que c'était l'un d'eux raisons pour
lesquelles mes compagnons ont décidé d'accepter les limites de convention »16 Le même
président de la république (Salinas de Gortari) a clairement dit aux téléphonistes, après la
signature de Convention de Concertation, « Comment elle était, avec la structure qu'elle
avait, l'entreprise n'était pas viable. Avec l'accord qu'ils ont obtenu, vous avez sauvé leur
travail l'autre perspective aurait été la fermeture de l'entreprise et la disparition du syndicat.
»17

4.1. LES COMMISSIONS NATIONALES.


Après la modification du contrat collectif en 1990, qui contemplait la formation d'une nouvelle
Commission Mixte de productivité (5 représentants de l'entreprise et cinq du syndicat) à
l'intérieur de la direction de la commission de modernisation. « Lesobjectifs de la
Commission Mixte de productivité de TELMEX étaient : Incorporer à la négociation le
contrôle de qualité. Faire des propositions de normalisation de l'équipe. Établir des formes
participatives d'organisation. Élaborer un programme et une formation et améliorer les
conditions de travail et de vie des travailleurs. Ce travail a culminé au modèle de "qualité de
TELMEX" qui n'est pas mais l'adaptation de la philosophie patronale et de la qualité d’une
relation bilatérale avec un syndicat; une culture de service, des conditions de travail, des
relations avec les clients, d'une participation des travailleurs. etc.. »18 La commission de
modernisation comme les sous commissions (de productivité) est constituée par des
travailleurs choisis par le Comité Exécutif National (CEN) du STRM et un groupe de
conseillers externes (des professionnels indépendants des téléphonistes).

4.1.3 DES CONVENTIONS ET UN ACCORD SUR LA PRODUCTIVITE, QUALITE ET DES


INCITATIONS.
Dans les années 90, la transformation des relations de travail dans TELMEX s'est
développée au moyen de l'obtention de diverses conventions et d'accords particuliers. Ils
font remarquer : « La convention sur la Qualité, la Productivité et la Formation pour la
modernisation intégrale de TELMEX, signé en 1990 et le Programme Général Permanent
d'Incitations à la Productivité, signé en mars 1992. » 19 Ces accords cherchaient le
changement de culture de travail, dans le programme d'incitations à la Productivité et la
Qualité de 1992. L'entreprise et le syndicat déterminent un montant maximal annuel destiné
aux incitations par productivité. Divisés endeux types d'incitations : mensuels et annuels. Il a
été établi que 50 % de l'incitation mensuelle se paiera quand on atteindra 90 % des objectifs
et que le total cette incitation se livrerait après
16 17

Expansión, No.516, 1989:56 Expansión, No. 516, 1989:44 18 Pérez Pérez, Gabriel Tunal
Santiago, Gerardo. "Modernización productiva y flexibilidad laboral en Telmex" 19 De la
Garza Toledo 1989
avoir atteint 100 % des objectifs. « Par exemple, dans le domaine d'une entreprise externe
les buts ont été définis dans des limites de lignes réparées par jour. Elle n'impacterait pas
cela au salaire, les prestations ou les retraites. Dans n'importe quel cas, le paiement
d'incitations est calculé sur la base de la performance dans chacune des aires de travail.
»20

CONCLUSION
L'intervention syndicale, d'une manière institutionnalisée dans le processus de
modernisation et productivité, a eu des conséquences importantes dans l’organisation du
travail. Le grand triomphe du syndicat est le maintien de son existence, en conservant la
plupart de ses travailleurs employés avec des salaires élevés, et en maintenant le titre du
contrat collectif. Aujourd’hui TELMEX est considéré par la population mexicaine comme une
des entreprises les plus prestigieuses pour travailler, grâce à sa culture reconnue du travail
dans une atmosphère sûre, garantissant une évolution de carrière. On peut comparer
TELMEX à d'autres entreprises qui ont connus les mêmes restructurations mais ils n'ont pas
obtenu le même résultat. Ferrocarriles de Mexico (Les chemins de fer du Mexique) ou la
Fundidora de Monterrey (Fonderie de Monterrey)pour citer quelques cas nationaux. Ou on
peut citer le cas de France Télécom en France. On pourrait alors penser pourquoi au
Mexique y a-t-il des syndicats seulement dans les grandes entreprises ? Pourquoi les
syndicats disparaissent-ils ? Le système capitaliste influent ils sur l’affaiblissement ou la
disparition des syndicats ? Sans l’homme le plus riche du monde, Carlos Slim, TELMEX
maintiendrait-il sa place sur le marché, et sa force syndicaliste ? BIBLIOGRAFÍA  Gutiérrez
Garza Esthela (coordinadora), 1989 “Reconversión industrial y lucha sindical”  Flexibilidad
laboral y productividad de trabajo. El caso de TELMEX. Ponencia en le Coloquio
International “Flexibilidad laboral y productividad del Trabajo”. Colegio de México y
Universidad de Guadalajara.  Medina Núñez, Ignacio. "Teléfonos de México:
modernización, privatización y nuevas relaciones laborales". Espiral003 (1995): 133-153. 
C.A.M en Álvarez B.A, 1990. Page., 170. (La clase obrera y le sindicalismo mexicano) 
Periódico la Jornada.  Pérez Pérez, Gabriel Tunal Santiago, Gerardo. "Modernización
productiva y flexibilidad laboral en Telmex". Contaduría y Administración 208 (2003): 53-82.
 Sitio web del sindicato. www.strm.org.mx/  Red de Revistas Científicas de América Latina
y el Caribe, España y Portugal. Sistema de Información Científica Redalyc
http://redalyc.uaemex.mx/ o Revista Voces o Revistas Expansión **Traductions des phases
et texte des sources, par CASTILLO Adriana et RIO Simon
20

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