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2- La consommation
3- L’épargne
4- L’investissement
5- La croissance économique
6- La redistribution
7- L’inflation
8- Le chômage
9- La monnaie
MESBANE Safae
La production est une activité exercée sous le contrôle et la responsabilité d’une unité
institutionnelle qui combine des ressources en main d’œuvre, capital et biens et services
pour fabriquer des biens ou fournir des services, et résultat de cette activité.
Les processus purement naturels sans intervention ou contrôle humain ne font pas partie de
la production :
Productivité globale : l’accroissement relatif de la richesse qui n’est pas expliquée par
l’accroissement d’un usage des facteurs de production, il rapporte sur le résidu
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Jean-Baptiste Say : La consommation est la destruction par l’usage d’un bien ou d’un service
en une fois ou progressivement afin de satisfaire des besoins.
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produit ou à un
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*Cce intensive : L’innovation de produit, de marché ou d’énergie crée de nouveaux besoins
et étend les marchés élévation de la consommation.
*Cce extensive : augmentation de la production sans nouveaux marchés, l’offre répond à
une demande déjà présente sans innover jusqu’à saturation du marché accroît puis
décroît la consommation Crise.
*Cce externe : On étend les marchés et la consommation augmente mais les revenus
distribués par l’Etat-Providence peuvent être utilisés dans d’autres économies Baisse de la
consommation intérieure.
Les importations atténuent donc l’effet du multiplicateur keynésien.
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Keynes : L’épargne est la fraction du revenu qui n’est pas affectée à la consommation
immédiate.
Classiques et NEC : L’épargne joue un rôle fondamental puisqu’elle détermine le niveau de
l’investissement. Elle consiste à renoncer à une satisfaction des besoins immédiate pour une
consommation future.
I- Les facteurs explicatifs de l’épargne :
*Epargne de précaution : permet de prémunir contre les risques potentiels de la vie
(incendie, frais d’étude des enfants..).
*Epargne de Prévoyance : permet de se prémunir contre un certain nombre de risques
sociaux (chômage, maladie..) ou de se constituer un « complément retraite ».
*Epargne de liquidités : La monnaie constitue une réserve de valeur et un moyen d’échange.
*Epargne de placement : Un moyen d’obtenir des revenus à partir des placements
financiers.
*Epargne de spéculation : Consiste à acquérir des titres en espérant les revendre à la hausse
pour dégager une plus-value.
II- les principaux déterminants de l’épargne :
1- Le revenu –Keynes-
L’épargne n’est que la partie résiduelle du revenu : principe du double step.
Plus le revenu disponible augmente, plus la propension moyenne à épargner est forte : La
part consacrée à l’épargne contractuelle ou aux remboursements d’emprunts augmente
quand on se déplace des faibles revenus vers des revenus moyens puis élevés, puis elle
atteint un maximum avant de retomber avec les hauts revenus.
L’étude du revenu réel comme déterminant de l’épargne implique la prise en compte
d’autres facteurs : fiscalité, chômage, conditions de crédit. On doit donc, nécessairement
s’intéresser à la dynamique du revenu réel dictée par la conjoncture macro d’ensemble.
*Théorie de l’effet cliquet : quant au revenu passé, il explique le maintien du niveau de la
consommation en période de récession ou d’expansion. Confrontés à une dégradation de
leur pouvoir d’achat, les consommateurs préservent leur consommation en épargnant moins
ou en s’endettant. Lorsque l’activité reprend, ils maintiennent leur consommation à son
niveau antérieur et affectant le supplément de revenu courant à l’épargne.
2- Le taux d’intérêt –Classiques et NEC-
Plus le taux d’intérêt est élevé, plus est encouragé le renoncement à une consommation
immédiate.
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NEC : L’intérêt est un prix qui est déterminé par la rencontre de l’offre et de la demande de
capital.
Cette offre et cette demande globales de rencontrent sur le marché des capitaux : L’offre de
capital est une offre d’épargne et la demande de capital est une demande d’investissement.
Keynes : Le taux d’intérêt est le prix de l’usage de la monnaie. Le taux d’intérêt est le prix qui
équilibre les courbes d’offre et de Dde de monnaie.
Si l’offre de monnaie dépend de la quantité de monnaie mise à disposition par les autorités
monétaires, la Dde dépend de la « préférence pour la liquidité « des agents.
C’est prk fondamentalement chez Keynes, le tx d’intérêt est le prix de la renonciation à la
liquidité.
Trappe à liquidité : Un phénomène proposé par Keynes et dont le but est d’expliquer
les caractéristiques observées quand la banque centrale devient incapable de
stimuler l’économie par la voie monétaire. Dans un contexte de récession, une des
méthodes de relance est la diminution du tx d’intérêt et la hausse de la masse
monétaire. #Les agents réagissent à leur prévision du tx d’intérêt par rapport à un tx
considéré comme normale. Ainsi, la demande de monnaie pour motif de spéculation
est d’autant plus importante que le tx d’intérêt est bas. Lorsque le tx d’intérêt est
faible, les agents prévoient qu’il va nécessairement augmenter et veulent donc
détenir de la monnaie, le cours des obligations étant amené à diminuer.
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En toute logique, les gains patrimoniaux doivent conduire à une diminution de la part du
revenu disponible consacrée à l’accumulation d’actifs (épargne) et à une augmentation de
leur consommation courante et future.
Cet impact de la valorisation des actifs sur la consommation des ménages est l’effet richesse.
III- L’épargne et la croissance :
Adam Smith : Seule l’accumulation du K et la division du L sont facteurs de Cce L’épargne
est ainsi préférée à la consommation car elle est facteur d’investissement. Or, c’est la
demande de biens de production qui permet de produire plus. Ricardo confirme ce rôle de
l’épargne.
Les néoclassiques : La consommation dépend des prix, donc la demande en biens de
consommation évolue en fonction des prix. Si ceux-ci baissent, le volume global de la
consommation augmente. Or la baisse des prix est conditionnée par des gains de
productivité dans l’entreprise, c’est-à-dire par l’investissement. Consommation est
facteur secondaire par rapport à l’investissement.
L’épargne entraîne de la croissance qui est à son tour facteur de l’épargne, établissant un
cercle vertueux : l’épargne est facteur de Cce. Cette dernière va se traduire par une hausse
des embauches au sein des e/ses et une hausse des investissements. Une hausse des
revenus, du niveau de vie Une hausse des revenus et une baisse de la propension à
consommer. Hausse d’épargne Cce.
Les classiques : L’épargne donne lieu à des investissements qui sont financés par de la
monnaie exogène une augmentation de la capacité de production des e/ses et une
hausse du progrès technique (Schumpeter & Kondratieff) Atteinte de nouveaux marchés
en établissant une offre appropriée L’épargne génère donc l’offre Cce.
IV- L’épargne et l’investissement.
1- Le principe de sacrifice –Les classiques-
L’épargne est préalable à l’investissement : Dans une situation de plein emploi des
ressources, les nations n’ont d’autres choix que d’épargner pour investir. Ce choix est donc
inter temporel, le sacrifice du bien être présent étant récompensé par un bien-être et un
revenu supérieur dans le futur à travers l’invest.
Dans le prolongement de la loi de Say, l’offre crée sa propre demande, il ne peut y avoir de
crise de surproduction découlant d’une insuffisance de la Dde si les marchés fonctionnent
correctement, ils devraient conduire à un équilibre de l’offre et de la demande de capitaux
dur le marché financier Equilibre entre épargne et investissement.
2- Le principe de dépense –Keynes-
L’épargne est une conséquence de l’invest : L’épargne est le résidu de la consommation, elle
se constitue naturellement sous sa forme thésaurisée et n’a pas besoin d’être récompensée
par un tx d’Intérêt. Le tx d’intérêt rémunère la renonciation à la liquidité, or beaucoup
épargnent sous forme liquide dans des comptes à vue non rémunérés L’épargne n’est pas
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un choix délibéré visant une rémunération Keynes fait donc de la dépense et non de
l’épargne la source de l’enrichissement.
L’épargne spontanée qui apparaît en début d’une période d’analyse peut être affectée à
l’invest, soit avortée ou thésaurisée. La partie avortée entraîne une diminution de l’invest
interne une baisse des niveaux de prix à la consommation Crucialité du rôle du sys
bancaire.
L’épargne ne repose pas seulement sur l’échange de la monnaie mais aussi sur la précaution
pour faire face à des dépenses imprévues et la spéculation pour profiter de hausse des tx
d’intérêts futurs.
3- La NEC :
Les actes d’épargne et d’invest sont le fait d’agents différents. Les ménages pour l’épargne
et les entreprises pour l’investissement. Les deux actes dépendent du taux d’intérêt.
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Définition : Investir, au sens large, c’est consentir un coût immédiat en échange d’une
satisfaction ou d’une production future.
3- FBCF : tout ce qui permet d’augmenter le niveau de production de l’e/se.
C’est l’acquisition nette d’actifs fixes, corporels ou incorporels issus d’un
processus de production réemployé pendant au moins un an dans d’autres
processus de production.
4- La variation des stocks : L’augmentation ou la diminution de tous les biens en
stock. Une augmentation correspond à un investissement et une diminution
correspond à un désinvestissement.
5- Les acquisitions nettes des objets de valeur : Il s’agit de l’acquisition d’objets
qui ont un usage durable mais qui ne soit pas employés pour la production
d’autres biens ou services.
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7- L’investissement immatériel : Ensemble des dépenses que l’e/se consacre à la
formation du personnel, à la R&D ou à la publicité.
8- L’investissement de capacité : Vise les capacités de production de l’e/se par
l’acquisition nouvelles machines souvent pour répondre à une forte haute de
la demande => Création d’emploi.
9- L’investissement de productivité ou de rationalisation : La politique de l’e/se à
maintenir un même niveau de production mais en réduisant les coûts du
personnel en le remplaçant par des machines. (efficience) réducteur
d’emploi.
L’épargne est le seul fondement du financement de l’invest. Mais cette épargne présente
des formes diverses sur le marché éco :
Autofinancement/ Financement interne de l’e/se : A partir des profits dégagés par
l’e/se au cours de son activité productive.
Les banques : Emprunts.
Financement externe de l’e/se : L’épargne provient du marché financier,
investisseurs institutionnels et ménages.
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L’Oscillateur de Samuelson : La conjonction de l’accélérateur et du multiplicateur
peut expliquer les fluctuations économiques. L’instabilité de l’Invest Des cycles
éco et des fluctuations de grande ampleur de la Dde et de la production. Ex : tel est
le cas de la récession française de 1993. La baisse de l’Invest et des exportations a
suscité un mécanisme cumulatif de contraction de l’activité.
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La croissance économique est l’augmentation soutenue pendant une ou plsrs périodes
longues d’un indicateur de dimension, pour une nation. - François Perroux-
La Cce éco est le souci majeur des décideurs publics des pays industrialisés et aussi les pays
en voie de développement. Elle permet de résoudre plsrs probs d’ordre social, éco ou
politique.
o La récession éco : le ralentissement du rythme de la Cce éco.
o Crise éco : Dégradation brutale de la situation éco. Elle se caractérise par une baisse
importante et durable de l’investissement et de la consommation.
o Cce intensive : La cce due à une meilleure efficacité de production.
o Cce extensive : La ce qui découle de simple augmentation des facteurs de production.
o Cce potentielle : La cce maximale qu’un pays peut atteindre en mobilisant tous ses
facteurs de production sans inflation.
o Cce effective : La cce réellement réalisée par une économie.
o Out put gap : Décalage conjoncturel.
o Expansion : Une phase de Cce éco à court terme.
o Progrès : L’ensemble des améliorations dans les domaines éco et sociales qui
accompagnent la Cce.
o Ralentissement éco : Où la Cce du PIB diminue mais reste positive.
o Dépression éco : La forme la plus grave de la crise éco. Elle se caractérise par une
baisse importante et durable de la production et de la consommation.
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- Jean Baptiste Say : « L’offre crée sa propre demande et la monnaie n’est qu’un voile,
les produits s’échangent contre les produits ». La croissance éco ne peut être
obtenue que par la stimulation de la production et non pas de la consommation.
- Karl Marx : L’accumulation du capital permet à ce dernier à se substituer au travail.
Donc on aura un hausse du chômage et une baisse des salaires -> Baisse de la
consommation -> baisse du taux de profit ralentissement de la Cce éco.
2- Harrod et Domar :
L’investissement est à la fois une composante de l’offre( Hausse de l’invest -> Hausse des
capacités de production-> Hausse de l’offre) et de la Dde( L’invest d’une e/se correspond à
une Dde de machine ou d’autres moyens de production auprès d’autres e/ses) (Hausse de
l’invest -> Hausse de Dde). Selon Harrod et Domar, pour que la croissance éco à long terme
soit équilibrée, il faut intervention de l’Etat par les politiques structurelles qui ajustent Offre
et Demande (O=D).
3- Robert Solow :
Dans le modèle de Solow, L’augmentation des facteurs de production explique une part de la
croissance. Toutefois, la plus grande part de la Cce n’est pas expliquée par ces deux facteurs,
mais est due à un facteur résiduel. Il s’agit du progrès technique dont on ne connaît pas
vraiment l’origine mais on le considère comme donné, « tombé du ciel ».
4- Théorie de régulation :
La théorie de régulation de Boyer et Aglietta : la Cce éco suppose Production=
Consommation. On a donc besoin d’une consommation de masse (Redistribution des
revenus) et d’une production de masse (OST).
5- La Cce endogène-
L’hypothèse que les rendements sont croissants et considèrent le progrès technique comme
endogène.
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Capital technique de Paul Romer : Les dépenses de R&D réalisées par une e/se lui
permettent d’accroître sa productivité et innover ; en plus grâce aux externalités, elle
profite également aux autres e/ses-> Progrès technique.
Le capital humain de Robert Lucas : Le stock des capacités humaines
économiquement productives. Le learning by doing permet aux salariés d’accumuler
des compétences et des connaissances-> Hausse de la productivité Progrès
technique.
Le capital public de Robert Barro : L’investissement public en infrastructures favorise
la croissance éco.
« Un homme qui est né dans un monde déjà occupé, s’il ne peut obtenir de ses parents la
subsistance, et si la société n’a pas besoin de son travail, n’a aucun droit de réclamer la plus
petite portion de nourriture, et en fait il est de trop. Au grand banquet de la nature, il n’y a
pas de couvert mis pour lui ».
Définition :
L’ensemble des opérations de répartition secondaire par l’intermédiaire desquelles une
partie des revenus est prélevée sur certains agents économiques ou catégories sociales pour
être reversées au profit d’autres ou eux-mêmes.
Les objectifs de la redistribution :
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Les services publics.
Définition :
L’inflation est une augmentation soutenue du niveau général des prix. Elle concerne une
hausse durable du niveau moyen des prix plutôt qu’une hausse passagère de qlqs prix
spécifiques.
Les ménages Les e/ses : L’Etat : Politique de L’env : L’Etat : Formation E/ses :Productio
(hausse de la hausse non soutien à l’activité Facteurs insuffisante. n inssufisante.
consommatio autofinancée éco financé par le accidentels.
n) de leur invest. déficit budgétaire
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Le coût des MP : Les prix des MP pèsent sur le niveau des coûts de production selon le
degré de dépendance des économies= inflation importée.
Le coût des interventions publiques : L’Etat influence les coûts par le biais de la fiscalité
ou encore de sa politique tarifaire.
Les spirales inflationnistes : Hausse des coûts du L supérieure aux gains de productivité ->
Hausse des coûts de revient des prdts -> Hausse des prix de vente -> Baisse du pouvoir
d’achat des salariés -> Pression à la hausse des salaires.
6- Relation inflation-chômage :
La courbe de Phillips établit une relation inverse entre le taux d’accroissement du salaire
nominal et le taux de chômage.
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Interprétation de la NEC : considère la courbe de Phillips verticale même à court terme
car les agents éco ne sont plus victimes d’illusion monétaire puisqu’ils font des
anticipations rationnelles.
Définition :
Pour être chômeur il faut, 1/ ne pas avoir occupé d’emploi durant la période de l’enquête. 2/
rechercher activement un emploi. 3/ Etre disponible sous 2 semaines. 4/ en âge de travail.
Les causes du chômage :
Progrès technique
Délocalisations
Faible mobilité géographique
Inadéquation entre la qualification et les besoins du marché de travail.
Manque de flexibilité du marché de travail.
Etat de la conjoncture défavorable.
Aider les personnes au chômage : assurer aux chômeurs un revenu de substitution par le
versement d’une allocation chômage et d’un revenu minimum.
Diminuer le nombre des actifs et des demandeurs d’emploi : Ecarter du marché du
travail le plus de personnes possibles (l’allongement de la scolarité, en abaissant l’âge de
la retraite, en encourageant les départs anticipés à la retraite, en proposant des aides au
retour pour les travailleurs immigrés).
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Le développement de la flexibilité : assouplir les contraintes des e/ses concernant le
temps de travail, la fixation des salaires, les réglementations juridiques, les emplois
proposés.
La création d’emplois pour l’insertion professionnelle des jeunes ou des chômeurs de
longue durée : CES (contrats d’emploi solidarité), CIE (Contrat d’initiative emploi), CEJ
(Contrats emplois jeunes), TUC (Travaux d’utilité collective).
Les subventions à l’embauche : Une réduction du coût du travail incite les e/ses à
embaucher.
Les plans de sauvegarde d’emploi : Eviter les licenciements en reclassant les personnes
dans d’autres unités de production, en modifiant la nature des postes de travail, en
créant d’autres types d’activité.
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Le modèle Danois ; la Flex sécurité= flexibilité+ sécurité : désigne un dispositif social
autorisant une plus grande facilité de licenciement pour les e/ses et des indemnités
longues et importantes pour les salariés licenciés.
La monnaie
Effet pigou : Les individus détiennent une encaisse composée d’argent liquide qu’ils jugent
nécessaire et suffisante pour faire face à leurs transactions futures. Si les pouvoirs publics
augmentent la masse monétaire, les encaisses de l’ensemble des agents économiques
augmentent -> Les individus accentuent leurs dépenses -> hausse de la Dde globale ->
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Hausse des prix -> Baisse de la valeur réelle des encaisses. Les agents stabiliseront leurs
dépenses lorsque la valeur réelle des encaisses de la période sera égale à la valeur réelle des
encaisses de la période précédente.
b- La monnaie chez Keynes :
La monnaie n’est pas seulement désirée parce qu’elle permet d’échanger des M/ses, mais
elle est désirée pour elle-même. Nous désirons de la monnaie pour 3 raisons Motif de
transaction, motif de précaution, motif de spéculation).
La monnaie n’est pas neutre, elle joue plsrs rôles : Lubrifiant de l’économie, accélérateur de
l’activité, décélérateur de l’éco. La préférence pour la liquidité a un effet d’éviction sur la
Dde et sur le volume de transactions.
L’effet d’une augmentation de la quantité de monnaie sur la production résulte de la
possibilité de cette dernière de croître et donc de son élasticité par rapport à la demande.
4- L’offre de la monnaie :
Création monétaire : Signifie qu’un banquier accorde un prêt avec de la monnaie qu’il n’a
pas grâce à une simple écriture comptable. La monnaie est créée ex nihilo par simple jeu
d’écriture comptable.
Destruction monétaire : Il s’agit d’une diminution de la masse monétaire lorsque les
agents éco remboursent leurs crédits.
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