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Groupe 4:
Introduction ...................................................................................................................................................... 1
III. 4.3- Etude comparative des modulations optique RZ et NRZ VS le bruit ................................. 18
Partie 01 ..................................................................................................................................................... 19
Partie 02 : ................................................................................................................................................... 26
Annexes :........................................................................................................................................................ 29
Abstract
Les formats de modulation dans les systèmes de communication par fibre optique ont été conçus
pour limiter les effets de diaphonie (multiplexage de longueur d'onde) et pour incrémenter la
capacité de transmission. Les formats de modulations les plus utilisés dans le domaine optique sont
les formats de type RZ et NRZ, connus par l’acronyme OOK=On-off keying, ce codage se fait par
absence/présence d'intensité lumineuse. D'autres méthodes de modulation numérique sont connues,
comme le format PSK, ASK, QAM et FSK que nous aborderons brièvement. Le but de l’activité du
mini-projet consiste à étudier d'un point de vue mathématique les principaux formats de
modulation. On tentera aussi une implémentation sur Matlab d’exemples de formats de modulation
avec illustration des caractéristiques en forme de signal, de spectre et de diagramme de
constellation.
Introduction
Des méthodes de modulation ont été étudiées afin d'améliorer la performance des systèmes
de transmission optique longue distance. Des formats de modulation à deux niveaux ou utilisant
plusieurs niveaux de phase. Après propagation sur grande distance, le rapport signal à bruit devient
une limitation importante. Une autre limitation provient des interactions non linéaires entre la
lumière et la fibre optique qui limitent la puissance maximale que l'on peut injecter dans la fibre
optique.
Une des technique permettant d’améliorer les transmissions non-linéaires consiste à agir sur les
formats de modulation dont plusieurs type seront abordés. Les formats NRZ (Nonreturn to Zero) et
RZ (Return to Zero) sont utilisés massivement grâce à un bon compromis performance / coût /
complexité. De nouvelles possibilités sont ouvertes à des formats de modulation qui offrent à la fois
une bonne résistance à l’ensemble des effets de propagation dans la fibre, une complexité réduite,
un coût de mise en œuvre et d’exploitation raisonnable que nous aborderont par la suite.
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modulations les plus répandus dans un tableau et de différencie leur signal temporelle, spectrale et
diagramme de constellation.
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II. 1- Modulation d’amplitude ASK : Amplitude Shift Keying :
k = 1, M = 2 et Df = π
k = 2, M = 4 et Df = π /2.
Toutes ces modulations sont des modulations vectorielles.
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Parmi les modulations numériques linéaires les plus utilisées sont PSK et QAM.
On peut représenter le diagramme vectoriel, montrant les trajectoires possibles des phaseurs :
Souvent on représente dans le plan IQ le diagramme de constellation, sur lequel sont marqués
seulement les valeurs du signal aux instants d’échantillonnage :
Afin d’obtenir un tel diagramme de constellation, le signal Ii, appliqué à l’entrée de la branche I du
modulateur vectoriel, doit être antipolaire. Donc il faut opérer une conversion unipolaire /
antipolaire conformément à la correspondance :
Un modulateur BPSK est donc composé d’un convertisseur unipolaire/antipolaire (di/Ii) et, comme
Q(t) = 0, seulement de la branche I d’un modulateur vectoriel.
Dans le domaine fréquence, comme pour le AM-P, on retrouve autour de fp la densité spectrale de
puissance (DSP) du signal modulateur mis en forme. La largeur de bande du signal BPSK :
BBPSK = (1+r)∙D
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où r représente le facteur de roll-off, et ϕi – la phase correspondante. Donc l’efficacité spectrale
maximum vaut 1 bit/s/Hz.
II. 2.2- Modulation QPSK :
Quadrature Phase Shift Keying est une modulation PSK par groupes de deux bits (dibits) : k = 2,
M= 4, donc on a quatre niveaux de modulation. Chaque phase de la porteuse modulée correspond à un
débit, donc à un symbole quaternaire.
Bits à transmettre 00 01 10 11
Bits à transmettre 00 01 10 11
Amplitude E E -E -E
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Dans certaines applications (voir plus loin) on utilise QAM avec un nombre plus élevé de
niveaux de modulation :
La déviation de fréquence :
Le signal FSK :
s(t)=cos(2p.(fp ± Df).t
Il n’y a aucune contrainte quant au rapport entre la déviation de fréquence ∆f et le débit binaire D.
La modulation peut être réalisée par la commutation de deux porteuses non cohérentes de
fréquences f0, respectivement f1, et de phases quelconques. Le signal FSK apparaît comme étant le
résultat de l’addition de deux porteuses modulées OOK (On-Off Keying – modulation ASK avec un
signal NRZ unipolaire de niveaux A et 0) par des signaux correspondants à deux séquences
complémentaires.
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Dans le cas d’une telle commutation, lors des passages d’un bit à l’autre, il y aura des sauts de
phase de valeurs aléatoires entre – π et π. Ces sauts de phase mènent à des lobes latéraux pas
négligeables de la DSP du signal FSK.
Par modulation OOK on retrouve, centrée sur la porteuse, la DSP en sinc2(fT) du signal modulateur
(NRZ unipolaire). Si ∆f >> D la largeur de bande du signal FSK peut être approximée par BFSK ≈
2∙(∆f+D) et dans ce cas le seul inconvénient des sauts de phase est l’atténuation relativement lente
des lobes latéraux de la DSP.
Par contre, des sauts de phase de valeurs aléatoires entre –π et π représentent un inconvénient de
taille dans le cas où les fréquences f0 et f1 ne sont pas beaucoup plus élevées que le débit binaire D :
ils causent une importante gigue des transitions du signal démodulé.
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affaiblies sur la ligne.
Les perturbations subies par un signal sont proportionnelles à la largeur de sa bande de
fréquence.
La transmission est dite en bande de base si elle ne subit aucune transposition de fréquence
par modulation. Les fréquences initiales du signal émis sont donc préservées.
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III.4.1.1- NRZ UNIPOLAIRE
Le codage NRZ unipolaire est le moyen le plus simple de coder une information : il consiste tout
simplement à transformer les 1 en +I et les 0 en 0 (I étant une valeur de intensité d'une manière
synchrone).
La figure suivante (Figure 3.1) montre une séquence binaire codée en NRZ unipolaire.
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- Présence de la composante continue: DC (c'est indiqué par la ligne spectrale à 0 Hz).
- Il contient des composants en basses fréquences, qui causent un “déclin du niveau de Signal”.
- Il n'apporte aucune capacité de correction des erreurs.
- Il ne possède pas de composante pour la récupération d’horloge pour faciliter la
synchronisation.
- IL n'est pas transparent.
- Une chaine longue et consécutive de « zéros » engendre une perte de synchronisation.
La figure suivante (figure 3.3) montre une séquence binaire codée en NRZ polaire.
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( )
Fréquence Normalisée
Figure 3.4 DSP d'un symbole codé en NRZ polaire
Avantages:
- Simplicité de la mise en œuvre.
- Aucune composante DC.
Inconvénients:
- L’existence d’une valeur non-nulle de la DSP à la fréquence « zéro ». ce qui cause "le
déclin du niveau de signal"
- N'ayant aucune capacité de la correction des erreurs.
- Il ne possède pas de composante pour la récupération d’horloge pour faciliter la
synchronisation.
- N'est pas transparent.
Applications
- Normes V24, RS421, RS422, RS485
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La DSP d'un symbole codé en NRZ bipolaire est:
2
sin fT b
ee (f ) V T b
2
(sin fT b )
2
fT b
La représentation de la DSP d'un symbole dans ce code est montrée dans la figure suivante
(Figure 3.6)
( )
Fréquence
FréquenceNormalisée
Normalisée
Avantages:
- Aucune composante DC.
- Bande passante moins occupée que celle des codes NRZ unipolaires et polaires.
- Ne souffre pas de déclin du niveau de signal.
- Possède la capacité de la découverte d’une seule erreur.
Inconvénients:
- Il ne possède pas de composante pour la récupération d’horloge pour faciliter la
synchronisation.
- N'est pas transparent.
Applications
- Anciennes liaisons téléphoniques numériques comme les systèmes de téléphonie numérique
PCM.
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"1" est représenté par : -V si le bit précédent est +V
+V si le bit précédent est -V
La figure suivante (Figure 3.7) montre une séquence binaire codée en NRZM.
III.4.2.1- RZ UNIPOLAIRE
On considère que les symboles associés aux deux caractères "0" et "1" sont :
- un niveau 0 pour le caractère "0"
- un niveau +I pendant T/2 suivi de 0 pendant la même durée pour le caractère "1"
La figure suivante (Figure 3.8) montre une séquence binaire codée en RZ unipolaire.
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fT b k
2 2
V 2T b sin( 2 ) V 2 sin( )
2 (f k )
ee (f )
16 ( fT b ) 16
k
k Tb
( )
2 2
La figure suivante (Figure 3.9) illustre la représentation de la DSP d’un symbole codé en RZ
unipolaire ( )
Fréquence Normalisée
Avantages:
III.4.2.2- RZ POLAIRE
On représente dans ce code les deux caractères 0 et 1 de la façon suivante:
- Pour le caractère « 0 »: un niveau -I pendant la première demi-période (Tb/2) suivi
de 0 pendant la deuxième demi-période.
- Pour le caractère « 1 »: un niveau +I pour 1 pendant la première demi-période suivi
de 0 pendant la deuxième demi-période.
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La figure suivante (Figure 3.10) montre une séquence binaire codée en RZ polaire.
fT b
2
V 2T b sin( 2 )
ee (f )
2 ( fT b )
2
( )
Avantages:
- Simplicité dans mise en œuvre.
- Aucun composant DC.
Inconvénients:
- L’existence d’une valeur non-nulle de la DSP à la fréquence « zéro ». ce qui cause "le déclin du
niveau de signal".
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- N'ayant aucune capacité de la correction des erreurs.
- Ne fait pas de détachements tout chronométrage composant pour synchronisation facile.
Cependant, l'horloge peut être extraite en rectifiant le signal reçu.
- Occupe deux fois la bande passante de celui du code NRZ Polaire.
- Nécessite de maintenir la polarité (repérer les fils).
fT b
2
V 2T b sin( 2 )
ee (f ) fT (sin fT b )
2
4 b ( b
)
2
- Page 16 -
( )
Fréquence Normalisée
Avantages:
- Aucune composante DC.
- Occupe moins de largeur de bande que celles des codes RZ unipolaires et polaires.
- Ne souffre pas du déclin de signal (convenable pour transmission sur AC les lignes ont
associé).
- Possède la capacité de découvrir une seule erreur.
- L'horloge peut être extraite en rectifiant (une copie de) le signal reçu.
Inconvénient:
- N'est pas Transparent
La figure suivante (Figure 3.14) montre les DSP du différent code (RZ unipolaire, NRZ
unipolaire, RZ bipolaire, NRZ bipolaire et différentiel)
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Figure 3.14 DSP des codes RZ unipolaire, NRZ unipolaire, RZ bipolaire, NRZ bipolaire et
différentiel
Dans la première partie, nous allons étudier l’effet de bruit blanc gaussien sur la
transmission d’une trame d’informations, en utilisant les deux formats de modulation, RZ et NRZ,
afin d’évaluer le TEB en fonction du SNR. Dans cette partie en s’aidant d’un programme Matlab,
en présentant les diagrammes de l’oïl et de constellation à l’émission et à la réception, la
représentation temporelle des signaux et la représentation des densités spectrales de puissance.
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Partie 01
On se basant sur le synoptique du programme suivant :
4
3
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- Les deux figures ci-dessus présentent le tracé temporel du signal d’information à transmis en
formats NRZ(en haut) et RZ (en bas).
- Les deux figures ci-dessous présentent le tracé de le densité spectrale de puissance du signal
d’information à transmis en formats NRZ(en haut) et RZ (en bas).
On voit bien que Le spectre de ces deux formats comporte, un lobe principal et des lobes
secondaires deux fois plus étroits. Le lobe principal du spectre du format NRZ a une largeur égale à
deux fois la fréquence d’information du signal optique c’est-à-dire .La meme chose pour le
spectre du format RZ .Cependant, la largeur du lobe principale du format RZ est égale à .On
remarque que le RZ occupe une bande spectrale deux fois grande que le NRZ cette remarque est
très importante car elle définit combien d’utilisateur peut partager la bande de la fibre avec tel et tel
format.
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- Les figures ci-après présentent les diagrammes de l’œil et les diagrammes de constellation
du signal avant l’émission avec les deux formats RZ et NRZ.
On voit bien que l’ouverture du diagramme de l’œil est parfaite (ouverture maximale) et les points
dans le diagramme de constellation sont bien positionnés.
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Etape 03 : à la sortie du canal (en réception)
- A la réception, après la propagation du signal dans le canal, il se superpose avec un bruit blanc
gaussien (qui est en générale généré par les amplificateurs de puissance), comme illustre la
figure ci-dessous. En premier temps, le SNR est fixé, .
- Le problème est que le bruit se superpose avec le signal utile (effet destructif et constructif), le
récepteur doit être capable de détecter la puissance de l’impulsions lumineuse et décider si elle
s’agit d’un ou d’un .
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- Comme le bruit est additif, on observe bien aussi une fluctuation causé par le bruit sur le
spectre de puissance du signal, bien sur le bruit influe sur les signaux quelques soit le format
utilisé.
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- La figure précédente représente le diagramme de constellation à la réception pour les deux
formats de modulation RZ et NRZ. Les symboles sont distribués autour de ‘1’ et ‘0’ et au
milieu de ‘0’ et ‘1’.Si on prend un seuil de décision égale à 0.5, on voit par exemple
beaucoup de symbole autour de 0.5 dans le NRZ par rapport à celui de RZ. Le récepteur ne
pourra plus savoir si un symbole se situe à 0.5 s’agit d’un ‘1’ ou d’un ‘0’, c’est ce qu’on
appelle l’IES « interférence entre symboles».
- Le RZ est plus robuste devant le bruit que le NRZ.
- La figure ci-dessus montre les diagrammes de l’œil obtenus à la réception, le rouge pour le
format RZ et le vert pour le format NRZ. On observe que l’ouverture du diagramme de l’œil
du format RZ est bonne devant celle du format NRZ (diagramme de l’œil fermé). Par
exemple avec le format RZ un seuil de 0.5 présente un nombre des erreurs plus faible
qu’avec le format NRZ.
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Etape 4 : calcul du BER
- La figue ci-dessus présente le tracé du BER en fonction du SNR .On observe que pour des
SNR faibles (inférieur ), c’est-à-dire la puissance du bruit est grande que celle du
signal, le TEB est grand. On observe bien que le tracé du BER du format RZ est en dessous
de celui du format NRZ et donc, le format RZ présente moins d’erreur que le format NRZ.
- On constate que le format RZ est plus robuste que le NRZ devant des SNR faibles.
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Partie 02 :
Dans cette partie, les résultats de simulation sont fut sous Optiwave et traités avec Matlab.
Facteur de Qualité
Puissance [dBm] NRZ RZ
-10 0 0
-9 0 0
-8 1.7064e+000 0
-7 2.0166e+000 0
-6 2.3877e+000 1.6353e+000
-5 2.7998e+000 1.8587e+000
-4 3.3099e+000 2.0848e+000
-3 3.8452e+000 2.3474e+000
-2 4.5482e+000 2.6473e+000
-1 5.2623e+000 2.9713e+000
0 6.2054e+000 3.3328e+000
1 7.3057e+000 3.7426e+000
2 8.6337e+000 4.1557e+000
3 1.0537e+001 4.7130e+000
4 1.2357e+001 5.3045e+000
5 1.3515e+001 6.0840e+000
6 1.3710e+001 6.9633e+000
7 1.2860e+001 7.8756e+000
8 1.2142e+001 9.3471e+000
9 1.1602e+001 1.1504e+001
10 1.0620e+001 1.3735e+001
11 9.3000e+000 1.5529e+001
12 6.7859e+000 1.4600e+001
13 4.8269e+000 1.3768e+001
14 3.3317e+000 1.5079e+001
15 3.1205e+000 1.2996e+001
- Page 26 -
:
Donc pour cette modulation « NRZ » et avec ce type de système, les meilleurs performances
de transmission seront obtenues avec une puissance ’entrée de .
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- l’augmentation de la puissance moyenne vers des valeurs supérieur à , cause une
diminution du facteur de qualité, et donc une dégradation du signal. Cet effet s’explique
l’indice de réfraction de la fibre, qui est sensible à l’intensité lumineuse. Si la puissance du
laser est trop importante, on aura des phénomènes non‐ linéaires engendrés par les
caractéristiques internes de la fibre.
Donc pour cette modulation « NRZ » et avec ce type de système, les meilleurs performances de
transmission seront obtenues avec une puissance ’entrée de .
On constate que la modulation NRZ demande moins de puissance (donc en énergie) que la RZ
(car il lui faut seulement une puissance de pour avoir un facteur de qualité Q>6, tandis que
pour la modulation RZ il faut une puissance plus grande de ). La puissance optimale n’est
pas la même dans les deux cas (pour , et pour .
Bilan :
NRZ résiste mieux au bruit additif dû aux amplificateurs à faible puissance. RZ résiste mieux au
bruit additif dû aux amplificateurs à forte puissance.
Conclusion :
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Annexes :
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