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‫‪.

‬الجنوب ّ‬
‫خط االستواء‪ ،‬في الجهة المعاكسة التجاه اإلتجاهات األربعة‪ ،‬ويقع أعلي هو أحد الشمال‬
‫‪ .+‬القطب الشمالي أقصى الشمال هو‬
‫‪ :‬يوجد شمالين‬
‫‪ .‬األول شمال مغناطيسي (للبوصلة) أما الثاني فهو الشمال الجغرافي وهو الشمال الحقيقي‬
‫‪.‬المسافة الحقيقية بينهما عند القطب الشمالى هي ‪ 1900‬كم‬
‫يتغير الفرق بينهما نتيجة لتغير في مغناطيسية األرض حيث يتحرك الشمال المغناطيسى في قوس حول الشمال الحقيقى يغير‬
‫اتجاهه كل خمسة وعشرون الف سنة‬
‫‪.‬حاليا كل سنة يزداد الفرق ب ‪ 0.8‬درجة‬
‫يعني (‪ )déclinaison‬هي الزاوية المحصورة بين محور الشمال المغناطيسي و الشمال الجغرافي‬

‫‪‬‬ ‫(السمت) ‪L’azimut‬‬


‫حيث السمت يكون على ارض الواقع‪ AB‬مع االتجاه ‪ A‬هو الزاوية التي يصنعها الشمال بالنسبة للنقطة ‪AB‬السمت التجاه‬

‫حيث ‪ AB‬و اتجاه الرصد ‪(Y‬السمت االحداثي)‪ :‬هو الزاوية االفقية المحصورة بين محور التراتيب الموجبة ‪gisement‬‬
‫يكون على الخرائط ‪gisement‬‬
‫و العالقة بينهما نظريا تعطى بالعالقة التالية‪:‬‬
‫‪G = A + DM‬‬
‫‪G :gisement‬‬
‫‪A :l’azimut‬‬
‫‪DM: déclinaison magnétique‬‬
DM est la déclinaison magnétique. Elle est indiquée sur la carte pour une année donnée,
avec la variation annuelle. Pour obtenir la déclinaison magnétique pour l'année en cours, il
faut donc additionner la déclinaison magnétique indiquée à la variation annuelle multipliée
par la différence entre l'année indiquée sur la carte et l'année en cours :
DM = DM’ + [var x (Aactuelle - Acarte)]

 DM’ est la déclinaison magnétique indiquée sur la carte pour une année donnée
(généralement, l'année de réalisation de la carte)
 var est la variation annuelle de la déclinaison magnétique, indiquée sur la carte
 Aactuelle est l'année actuelle
 Acarte est l'année de la carte
Pour convertir un gisement relevé sur la carte en azimut à suivre sur le terrain, on utilisera la
formule inverse :
A = G - DM
Les données doivent être exprimées dans la même unité (généralement, en degrés)

Coordonnées sphériques
On appelle coordonnées sphériques divers systèmes de coordonnées de l'espace qui
généralisent les coordonnées polaires du plan. Un point de l'espace y est repéré par la distance à
un pôle et deux angles. Ce système est d'emploi courant pour le repérage géographique :
l'altitude, la latitude, et la longitude sont une variante de ces coordonnées. Plusieurs systèmes de
coordonnées sphériques sont également employés en astrométrie.
Il existe différentes conventions concernant la définition des angles. Cet article utilise la
convention P(ρ,θ,φ), utilisée en mathématiques, où θ désigne la longitude et est compris entre 0
et 2π, et φ désigne la colatitude et est compris entre 0 et π.
Dans cette convention de coordonnées sphériques, la position du point P est définie par la distance ρ et par
les angles φ (colatitude) et θ (longitude). Cependant, pour un repère direct il faut que φ et θ soit inversé sur
le schéma.

Sommaire
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 1Histoire
 2Définition et propriétés élémentaires
o 2.1Conventions
o 2.2Lien avec les coordonnées polaires
 3Utilisation
o 3.1Repérage géographique
o 3.2Coordonnées célestes
o 3.3Calculs
 3.3.1Exemple du pendule
 3.3.2Exemple de l'attraction coulombienne
o 3.4Données sphériques
 4Propriétés
o 4.1Propriétés différentielles
 4.1.1Différentielles
 4.1.2Cinématique
 4.1.3Opérateurs différentiels
 4.1.4Tenseurs usuels
o 4.2Relation avec les autres systèmes de coordonnées usuels
 5Généralisation
 6Notes et références

Histoire[modifier | modifier le code]


Article détaillé : histoire des fonctions trigonométriques.

Définition et propriétés élémentaires[modifier | modifier le code]


Conventions[modifier | modifier le code]
rayon-colatitude-longitude
Étant donné un repère cartésien (O, x, y, z), les coordonnées sphériques (ρ, θ, φ) d'un
point P sont définies par :

 ρ est la distance du point P au centre O et donc ρ > 0.


 θ est l'angle orienté formé par les demi-plans ayant pour frontière l'axe vertical et contenant
respectivement la demi-droite [O, x) et le point P. Si H est le projeté orthogonal de P dans le
plan (O, x, y), alors θ peut être défini comme l'angle formé par les vecteurs x et OH.
 φ est l'angle non orienté formé par les vecteurs z et OP, appelé angle zénital ou colatitude.
Par convention, et pour assurer l'unicité de ρ, l'angle θ est compris entre 0 et 2π radians (0° et
360°) et l'angle φ est compris entre 0 et π radians (0° et 180°)1. Cette convention vaut pour le
repérage mais θ et φ peuvent parcourir un intervalle plus important pour une courbe
paramétrée ρ(θ,φ).
La relation de passage aux coordonnées cartésiennes s'écrit :
On utilise cette notation dans la suite de l'article.

rayon-colatitude-longitude
En physique, les notations θ et φ sont généralement interverties1, conformément au
standard ISO 31-11 sur les « signes et symboles mathématiques à utiliser en sciences
physiques et en technologie »2. La distance au pôle est souvent notée r1.

rayon-longitude-latitude

Un point repéré en coordonnées sphériques (rayon/longitude/latitude).

En mathématiques, on emploie également le système des géographes. On nomme les


coordonnées (ρ, θ, δ), où :

 ρ désigne la distance du point au centre du repère (centre de la Terre) ;


 θ désigne la longitude, mesurée depuis l'axe des x généralement entre –180° et 180° (-π
≤ θ ≤ π) ;
 δ désigne la latitude, l'angle depuis le plan équatorial, entre –90° et 90° (-π/2 ≤ δ ≤ π/2).
L'échange entre les coordonnées cartésiennes et les coordonnées sphériques se fait alors
par les formules :

Il est aisé de passer d'un système à un autre car latitude et colatitude sont liées par :

Il est d'usage courant que la latitude soit également désignée par φ, comme la
colatitude.
Lien avec les coordonnées polaires[modifier | modifier le code]
Article détaillé : coordonnées polaires.

Dans le plan vertical (O, z, OP), le système de coordonnées (ρ, θ) est polaire. Dans
le plan horizontal (O, x, y), (ρ,sin(θ),φ) est aussi un système de coordonnées
polaires.
Soit

P' le projeté de P sur le plan xOy

Les coordonnées sphérique du point P sont :

Utilisation[modifier | modifier le code]


Un certain nombre de problèmes possèdent des symétries ; l'utilisation de
coordonnées sphériques avec certaines symétries peut simplifier grandement
l'expression du problème et sa résolution.
Par ailleurs, de nombreuses données peuvent se représenter par des points sur
une sphère. Il est donc important d'avoir un système de coordonnées
permettant :

 de relever la position d'un point (mesure) ;


 de décrire la position d'un point (résultat d'un calcul par exemple) ;
 d'effectuer une analyse statistique sur une population de points.
De telles données sont appelées données sphériques. Il peut s'agir de position
sur un objet sphéroïdal, comme des emplacements sur le globe terrestre. Mais
un point sur une sphère peut aussi représenter une direction — le rayon de la
sphère n'a alors pas d'importance, et l'on peut se ramener à une sphère de
rayon unité.
Repérage géographique[modifier | modifier le code]

Coordonnées géographiques φ (latitude) et λ (longitude).

Articles détaillés : coordonnées géographiques et géoïde.


Les coordonnées géographiques, utilisées pour se repérer sur la surface de
la Terre, sont une variante des coordonnées sphériques. Elles utilisent les
coordonnées h (altitude), l (latitude) et λ (longitude), qui sont reliées aux
coordonnées sphériques par :

où ρg(l, λ) est la distance au centre de la Terre du point du géoïde situé dans


la direction (l, λ). Lorsque l'ellipsoïde de révolution est utilisé à la place du
géoïde, h est alors la hauteur géodésique ou hauteur ellipsoïdale, encore
nommée hauteur au-dessus de l'ellipsoïde; elle diffère de l'altitude d'environ
+/-100 m au plus. La hauteur ellipsoïdale est une grandeur purement
géométrique, l'altitude est une grandeur physique. La grandeur h est la
distance mesurée le long de la normale à l'ellipsoïde entre ce dernier et le
point considéré.
Coordonnées célestes[modifier | modifier le code]

Coordonnées équatoriales : déclinaison et ascension droite.

Article détaillé : coordonnées célestes.

Les coordonnées célestes, utilisées pour repérer les astres sur le ciel,
utilisent cette même variante avec ρ fixé (projection sur la voûte céleste).
Par exemple, le système de coordonnées équatoriales, utilisé pour repérer
les objets hors du système solaire, utilisent la déclinaison (correspond à l) et
l'ascension droite (correspond à λ, exprimée en heures, avec 1 h = 15°).
Calculs[modifier | modifier le code]
Les coordonnées sphériques sont d'emploi courant dans trois cas :

 mouvement à distance fixe d'un point donné, comme dans le cas d'un
pendule ;
 mouvement à force centrale, notamment dans le potentiel de Coulomb ;
 problèmes présentant une symétrie sphérique.
Exemple du pendule[modifier | modifier le code]
Article détaillé : pendule.

Exemple de l'attraction coulombienne[modifier | modifier le code]


Articles détaillés : équation de Schrödinger et harmonique sphérique.

Données sphériques[modifier | modifier le code]


Les données sphériques sont donc des relevés de directions d'une droite
dans l'espace. Si cette droite est orientée, on parle de vecteur
unitaire (puisque l'on suppose une sphère de rayon unité), ou simplement
vecteur ; si elle n'est pas orientée, on parle d'axe. Un vecteur est un rayon
de la sphère unité et peut être représenté par un point P de la sphère. Un
axe est un diamètre de la sphère et peut être représenté par un des deux
points diamétralement opposés, P ou Q.
Exemple de données3 :
Un système de coordonnées cartésiennes permet de déterminer la position d'un point dans
un espace affine (droite, plan, espace de dimension 3, etc.) muni d'un repère cartésien. Le
mot cartésien vient du mathématicien et philosophe français René Descartes.
Il existe d'autres systèmes de coordonnées permettant de repérer un point dans le plan ou dans
l'espace.

Sommaire
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 1Abscisse sur une droite affine


 2Coordonnées cartésiennes dans le plan
o 2.1Cas de la base orthonormée
 3Coordonnées cartésiennes dans l'espace
o 3.1Repères orthonormés
 4Coordonnées cartésiennes en dimension n
 5Cinématique dans l'espace
 6Coordonnées cartésiennes dans l'espace-temps
 7Introduction historique par Descartes
 8Notes et références
 9Annexes
o 9.1Articles connexes
o 9.2Bibliographie

Abscisse sur une droite affine[modifier | modifier le code]


Sur une droite affine , un repère est la donnée de :

 Une origine , c'est-à-dire un point distingué de ;

 Un vecteur de la droite vectorielle directrice . Ce vecteur porte deux informations :

 Une orientation : un point est à droite de lorsque le vecteur est

positivement colinéaire à ,

 Une unité : un point est à la distance de lorsque .

Dans ce cas, l'abscisse du point est l'unique réel tel que : .


Il y a donc une correspondance entre les points d'une droite affine et l'ensemble des réels.
Remarque : Il existe des systèmes de graduation non régulière mais le repère n'est plus appelé
cartésien (voir échelle logarithmique).

Coordonnées cartésiennes dans le plan[modifier | modifier le code]


Dans un plan affine, les coordonnées cartésiennes sont sans doute la manière la plus naturelle

de définir un système de coordonnées. Un repère (cartésien) du plan affine est la donnée


conjointe de :

 un point d'origine .

 deux vecteurs et non colinéaires du plan vectoriel directeur .

Les axes de coordonnées sont les droites affines et . Ces droites admettent des

graduations respectives fournies par et les vecteurs et .

Par un point , on est en droit de tracer :

 une droite parallèle à qui coupe en d'abscisse ,

 une droite parallèle à qui coupe en d'abscisse .

Le couple de réels est uniquement déterminé par le point , on l'appelle

les coordonnées de dans le repère :

 Le réel est appelé l'abscisse de ;

 Le réel est appelé l'ordonnée de .


Réciproquement, à tout couple , correspond un unique point de coordonnées

d'abscisse et d'ordonnée . C'est le point d'intersection des deux droites suivantes :

 La droite parallèle à passant par le point de d'abscisse ;

 La droite parallèle à passant par le point de d'abscisse .


Cette construction peut être interprétée comme la mise en place d'un parallélogramme de

sommets et .
En termes vectoriels, on obtient l'identité suivante :

Ce qui permet de faire une correspondance entre le calcul sur des coordonnées et le calcul
vectoriel.

Cas de la base orthonormée[modifier | modifier le code]


Article détaillé : Base orthonormée.
Les bases orthonormées n'ont de sens que dans les plans affines euclidiens. Dans un plan

affine euclidien, une base est dit orthonormée lorsque les vecteurs et sont
d'une part de longueur 1 (de norme 1) et d'autre part orthogonaux, c'est-à-dire que le produit
scalaire des deux vecteurs est nul.
Autrement dit, les axes de coordonnées sont deux droites affines orthogonales avec le même
système de graduation.

Dans ce cas, on peut calculer des distances et des orthogonalités en utilisant le théorème de
Pythagore. Voici un formulaire :

 Pour un point de coordonnées , la distance s'écrit :


Dans le dessin ci-à droite, on a placé dans un repère orthonormé les points de

coordonnées et de coordonnées . Le calcul de la distance est


alors :

 Les vecteur et sont orthogonaux si et seulement si .


Le calcul des distances et des angles étant souvent un objectif de la géométrie plane
euclidienne, on privilégie particulièrement les repères orthonormés. À tel point que
certains ouvrages réservent le terme de coordonnées cartésiennes à ce type de
repère, les autres coordonnées étant appelées coordonnées obliques.

Coordonnées cartésiennes dans


l'espace[modifier | modifier le code]
Le principe de construction sera le même. Dans un espace affine de dimension
3, un repère (cartésien) est la donnée conjointe de :

 un point d'origine ,

 et trois vecteurs non coplanaires , , et .

Les axes de coordonnées sont les droites affines concourantes , et


.

Pour un point , on est en droit de tracer :


 un plan parallèle au plan qui coupe en d'abscisse ,

 un plan parallèle au plan qui coupe en d'abscisse ,

 un plan parallèle au plan qui coupe en d'abscisse .

Le triplet de réels est uniquement déterminé par la position du point . Il

s'appelle les coordonnées (cartésiennes) de dans le repère :

 le réel s'appelle l'abscisse.

 le réel s'appelle l'ordonnée ou la profondeur.

 le réel s'appelle la cote ou la hauteur.

Réciproquement, à tout triplet de réels correspond

un unique point d'abscisse , d'ordonnée et de cote . Ce point


s'obtient comme l'intersection :

 du plan parallèle au plan passant par le point de d'abscisse ,

 du plan parallèle au plan passant par le point de d'abscisse et

 du plan parallèle au plan passant par le point de d'abscisse .

Ces trois plans ainsi que les trois plans de bases , et dessinent un
parallélépipède.

Il y a correspondance biunivoque entre tout point et tout triplet de réels appelés

alors système de coordonnées de .


De même que dans le plan, ces coordonnées se réinterprètent via l'écriture
vectorielle :

Repères orthonormés[modifier | modifier le code]


Article détaillé : Base orthonormée.
Dans un espace affine euclidien de dimension 3, un repère est

dit orthonormé lorsque les vecteurs , , et sont unitaires et deux


à deux orthogonaux. Cette deuxième condition s'écrit :

; ;
Comme dans le plan, il sera nécessaire de prendre un repère orthonormé si
l'on désire travailler sur des distances et des angles. La distance s'écrira
alors:

Coordonnées cartésiennes en
dimension n[modifier | modifier le code]
Les observations précédentes permettent de remarquer un lien entre
couple ou triplet de réels et vecteurs du plan ou de l'espace. Ce lien se
généralise à tout espace vectoriel ou affine de dimension finie sur un
corps K.

Si est une base d'un espace vectoriel sur un corps K alors, pour

tout vecteur , il existe un unique n-uplet élément de Kn tel


que :

.
Ce n-uplet est appelé système de coordonnées cartésiennes du

vecteur dans la base ). La correspondance entre chaque


vecteur et chaque n-uplet permet de construire
un isomorphisme d'espaces vectoriels entre V et Kn.
Pour travailler sur des systèmes de coordonnées de points, il suffit
d'ajouter à la base précédente un point O appelé origine. Les

coordonnées du point M étant celles du vecteur .


Enfin, pour travailler sur des distances, il sera nécessaire de
construire une base orthonormale (dans laquelle tous les vecteurs
sont de norme 1 et chaque vecteur est orthogonal à tous les autres).
La distance OM s'exprimera alors sous la forme suivante :

Cinématique dans
l'espace[modifier | modifier le code]
Les quantités cinématiques,
position, vitesse et accélération sont données par :

Coordonnées cartésiennes dans


l'espace-temps[modifier | modifier le code]
Les coordonnées cartésiennes ont été imaginées par Descartes
au XVIIe siècle et ont été largement utilisées par la suite
en mécanique newtonienne pour décrire l'espace
physique selon trois dimensions (souvent symbolisées par les
lettres x, y, z). La relativité restreinte a constitué une
véritable révolution scientifique, et a amené dès les années
1900 des scientifiques comme Henri Poincaré et Hermann
Minkowski à concevoir l'espace et le temps comme
indissociablement liés, dans ce que l'on appelle l'espace-temps,
théorisé par la notion d'espace de Minkowski. Aux trois
dimensions d'espace s'ajoute ainsi la quatrième dimension
du temps.
Dans cette théorie, Minkowski utilise une représentation
simplifiée de l'espace-temps en coordonnées cartésiennes,
le diagramme de Minkowski, avec une dimension d'espace et la
dimension de temps (symbolisée par ct, où c est la vitesse de la
lumière et t le temps), pour rendre compte de phénomènes tels
que la dilatation du temps, la contraction des longueurs ou
encore la notion de simultanéité, sans utiliser d'équation
mathématique.

Introduction historique par


Descartes[modifier | modifier le code]
L'introduction des coordonnées cartésiennes est faites dans le
livre premier de la géométrie de René Descartes comme un outil
afin de résoudre le problème de Pappus. Il montre en fait dans
ce livre, comment résoudre un problèmes géométrique par un
calcul algébrique, participant à la naissance de la géométrie
analytique1.
« Que le segment de la ligne AB, qui est entre les points
A et B, soit nommé x; et que BC soit nommé y ; et que
toutes les autres lignes données soient prolongées
jusqu’à ce qu’elles coupent ces deux aussi prolongées,
s’il est besoin, et si elles ne leur sont point parallèles;
comme vous voyez ici qu’elles coupent la ligne AB aux
points A, E, G, et BC aux points R, S, T. (...) »
— René Descartes , La géométrie, livre
premier2,3

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