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Introduction
I. Problème traité et analyse phénoménologique
II. Modèle Physique
1- Equations de Navier-stokes
2- Hypothèses et approximations
3- Intégration des équations de Navier-stokes
III. Modèles mathématiques
1- Méthode des différences finies
2- Méthode des éléments finis
3- Méthodes des volumes finis
IV. Schéma de Lax-Wendroff
Ouverture et Conclusion
Références
INTRODUCTION
Ces dernières années, des efforts considérables ont été consacrés à la modélisation d'un
écoulement à canal ouvert unidimensionnel. L’écoulement à surface libre est régi un
système d’équations aux dérivées partiels appelées les équations de Saint-Venant (Cunge et
al 1980). De telles équations ne peuvent pas être résolues analytiquement. Ainsi, un certain
nombre de méthodes numériques de résolution de ce système d'équations ont été proposées
jusqu'à présent.
En conséquence, on rencontre, lors du développement d’un modèle numérique des
écoulements à surface libre, des difficultés majeures qui résultent autant de la complexité
physique du milieu que des calculs numériques. Ainsi :
La complexité géomorphologique du fond exige souvent une grille de calcul de haute
résolution. La condition de stabilité numérique impose alors un pas de temps de
calcul très petit. Par ailleurs, il est probable que l’instabilité numérique soit
provoquée par les variations rapides de bathymétrie du fond. De toute évidence, pour
une simulation sur une longue durée qui peut aller jusqu’à plusieurs années, le coût
du calcul sera élevé.
En général, les informations sur les frontières ouvertes sont insuffisantes. Des
traitements numériques spéciaux doivent être développés afin d’assurer que le
problème soit bien posé.
L’écoulement fortement convectif, probablement avec la présence d’un front de choc,
provoque essentiellement des oscillations numériques ou des diffusions artificielles
qui sont dues au traitement des termes d’advection dans les équations qui gouvernent
le transport de la masse d’eau, par une méthode standard d’approximation. Le choix
d’un schéma numérique approprié au problème d’advection pose donc un problème
préalable qu’il faut d’abord résoudre pour éviter ces inconvénients.
Lors du développement d’un modèle numérique, le choix d’une méthode de
discrétisation est primordial. Il existe trois méthodes principales de discrétisation des
équations aux dérivées partielles (EDP) :
Méthodes aux différences finies (MDF);
Méthodes aux éléments finis (MEF) ;
Méthodes des volumes finis (MVF) ;
I. PROBLEME TRAITE ET ANALYSE PHENOMENOLOGIQUE
Dans les rivières, les estuaires, et les zones côtières, les écoulements sont caractérisés
par :
une grande complexité topographique et morphologique
des frontières d’écoulement très ouvertes
un passage d’une zone sèche à une zone mouillée et inversement. On rencontre ce
problème soit dans les écoulements turbulents soit dans la propagation des ondes
dues à la rupture d’un barrage, ou encore dans la diversion des crues.
une forte advection, voire une pure advection dans le cas de rupture de barrage sur
un fond plat et glissant (sans frottement)
une échelle variable dans l’espace (d’une dizaine à quelques milliers de mètres) et
dans le temps (de quelques minutes à quelques mois, voire quelques années)
Ces différents problèmes de l’hydraulique sont des écoulements à surface libre, qu’on
peut étudier par la résolution des équations de Saint-venant comme on a clarifié dans
l’introduction. Pour ce faire définissant tout d’abord la schématisation du problème
générale.
II. MODELE PHYSIQUE
1. Equations de Navier-Stokes
Les équations régissant la dynamique des fluides sont composées de l’équation de
continuité, qui exprime la conservation de la masse du fluide étudié, et des équations de
quantité de mouvement, qui résultent en fait de la relation fondamentale de la dynamique
des fluides. Elles sont regroupées dans le système :
𝝏𝑼 𝝏𝑽 𝝏𝑾
+ + =𝟎
𝝏𝒙 𝝏𝒚 𝝏𝒛
𝝏𝑼 𝝏𝑼𝟐 𝝏𝑼𝑽 𝝏𝑼𝑾 𝟏 𝝏𝒑
+ + + =− ∗ + 𝛎𝚫(𝐔) + ϝ𝐕
𝝏𝒕 𝝏𝒙 𝝏𝒚 𝝏𝒛 𝝆 𝝏𝒙
𝝏𝑽 𝝏𝑽𝟐 𝝏𝑼𝑽 𝝏𝑽𝑾 𝟏 𝝏𝒑
;
+ + + =− ∗ + 𝛎𝚫(𝐕) + ϝ𝐔
𝝏𝒕 𝝏𝒚 𝝏𝒙 𝝏𝒛 𝝆 𝝏𝒚
𝝏𝑾 𝝏𝑾𝟐 𝝏𝑾𝑽 𝝏𝑼𝑾 𝟏 𝝏𝒑
{ 𝝏𝒕 + + + =− ∗ + 𝛎𝚫(𝐖) − 𝐠
𝝏𝒛 𝝏𝒚 𝝏𝒙 𝝆 𝝏𝒙
𝝏𝑼 𝝏𝑼𝟐 𝝏𝑼𝑾 𝟏 𝝏𝒑
+ + =− ∗ + 𝛎𝚫(𝐔) avec : 𝒑(𝒙, 𝒛) = 𝝆 ∗ 𝐠 (𝐙𝒔 − 𝐳)
𝝏𝒕 𝝏𝒙 𝝏𝒛 𝝆 𝝏𝒙
𝒁𝒔 𝒁𝒔
𝝏𝑼 𝝏𝑼𝟐 𝝏𝑼𝑾 𝟏 𝝏
∫ ( + + ) 𝒅𝒛 = ∫ (− ∗ [𝝆 ∗ 𝐠 (𝐙𝒔 − 𝐳)] + 𝛎𝚫(𝐔)) 𝒅𝒛
𝒁𝒇 𝝏𝒕 𝝏𝒙 𝝏𝒛 𝒁𝒇 𝝆 𝝏𝒙
D’après la règle de Leibniz encore on a:
𝒁𝒔 𝝏𝒁𝒇
𝝏𝑼 𝝏𝒉𝒖 𝝏𝒁𝒔
∫ ( ) 𝒅𝒛 = − 𝑼(𝒙, 𝒁𝒔 ) ∗ + 𝑼(𝒙, 𝒁𝒇 ) ∗
𝒁𝒇 𝝏𝒕 𝝏𝒕 𝝏𝒕 𝝏𝒕
𝒁𝒔
𝝏𝑼𝑾
∫ ( ) 𝒅𝒛 = 𝑼(𝒙, 𝒁𝒔 ) ∗ 𝑾(𝒙, 𝒁𝒔 ) − 𝑼(𝒙, 𝒁𝒇 ) ∗ 𝑾(𝒙, 𝒁𝒇 )
𝒁𝒇 𝝏𝒛
𝒁𝒔
𝝏𝑼𝟐 𝝏 𝒁𝒔 𝟐 𝝏𝒁𝒔 𝝏𝒁𝒇
∫ ( ) 𝒅𝒛 = ∫ 𝑼 𝒅𝒛 − 𝑼𝟐 (𝒙, 𝒁𝒔 ) ∗ + 𝑼𝟐 (𝒙, 𝒁𝒇 ) ∗
𝒁𝒇 𝝏𝒕 𝝏𝒙 𝒁𝒇 𝝏𝒙 𝝏𝒙
On pose 𝒖′′ = 𝑼 − 𝒖
𝝏 𝒁𝒔 𝟐 𝝏 𝒁𝒔
∫ 𝑼 𝒅𝒛 = ∫ (𝒖 + 𝑼 − 𝒖) ∗ (𝒖 + 𝑼 − 𝒖)𝒅𝒛
𝝏𝒙 𝒁𝒇 𝝏𝒙 𝒁𝒇
𝝏 𝒁𝒔 𝟐 𝝏 𝟐
𝝏 𝒁𝒔 ′′ 𝟐 𝝏 𝒁𝒔 𝒁𝒔
∫ 𝑼 𝒅𝒛 = (𝒉𝒖 ) + ∫ 𝒖 𝒅𝒛 + [𝟐𝒖 (∫ 𝑼𝒅𝒛 − ∫ 𝒖𝒅𝒛)]
𝝏𝒙 𝒁𝒇 𝝏𝒙 𝝏𝒙 𝒁𝒇 𝝏𝒙 𝒁𝒇 𝒁𝒇
𝝏 𝒁𝒔 𝟐 𝝏 𝟐
𝝏 𝒁𝒔 ′′ 𝟐 𝝏
∫ 𝑼 𝒅𝒛 = (𝒉𝒖 ) + ∫ 𝒖 𝒅𝒛 + [𝟐𝒖(𝒖𝒉 − 𝒖𝒉)]
𝝏𝒙 𝒁𝒇 𝝏𝒙 𝝏𝒙 𝒁𝒇 𝝏𝒙
𝝏 𝒁𝒔 𝟐 𝝏 𝟐
𝝏 𝒁𝒔 ′′ 𝟐
∫ 𝑼 𝒅𝒛 = (𝒉𝒖 ) + ∫ 𝒖 𝒅𝒛
𝝏𝒙 𝒁𝒇 𝝏𝒙 𝝏𝒙 𝒁𝒇
𝝏 𝒁 𝟐
∫ 𝒖′′ 𝒅𝒛 représente la fluctuation de la composante U de la vitesse autour de
𝒔
Le terme
𝝏𝒙 𝒁𝒇
Ainsi, on obtient :
𝒁𝒔
𝝏𝑼 𝝏𝑼𝟐 𝝏𝑼𝑾 𝝏𝒉𝒖 𝝏 𝝏𝒉𝒖
∫ ( + + ) 𝒅𝒛 = + (𝒉𝒖𝟐 ) + 𝛎𝒅
𝒁𝒇 𝝏𝒕 𝝏𝒙 𝝏𝒛 𝝏𝒕 𝝏𝒙 𝝏𝒙
En appliquant l’hypothèse de pression hydrostatique, nous obtenons :
𝒁𝒔
𝟏 𝝏 𝝏𝐙𝒔
∫ (− ∗ [𝝆 ∗ 𝐠 (𝐙𝒔 − 𝐳)]) 𝒅𝒛 = −𝒈𝒉
𝒁𝒇 𝝆 𝝏𝒙 𝝏𝒙
Pour le terme de diffusion, nous supposons que la masse volumique ne varie pas suivant la
verticale, elle peut alors être sortie des intégrales en utilisant la formule de Leibnitz :
𝒁𝒔 𝒁𝒔
⃗ . (𝛁
∫ (𝛎𝚫(𝐔)) 𝒅𝒛 = ∫ (𝛎𝛁 ⃗ 𝐔)) 𝒅𝒛
𝒁𝒇 𝒁𝒇
𝒁𝒔 𝝏𝒁
𝝏𝒁𝒔
⃗ . ∫ (𝛎(𝛁
=𝛁 ⃗ 𝐔)) 𝒅𝒛 − 𝛎(𝛁
⃗ 𝐔𝒔 ) ⃗ 𝐔𝒇) 𝒇
+ 𝛎(𝛁
𝒁𝒇 𝝏𝒙 𝝏𝒙
𝝏𝒁𝒔 𝝏𝒁
⃗ . (𝛎(𝛁
=𝛁 ⃗ 𝐡𝐮)) − 𝛎(𝛁
⃗ 𝐔𝒔 ) ⃗ 𝐔𝒇) 𝒇
+ 𝛎(𝛁
𝝏𝒙 𝝏𝒙
Les deux derniers termes représentent les contraintes dues au vent à la surface et au
frottement sur le fond. Avec :
𝛎(𝛁⃗ 𝐔𝒇 ) 𝝏𝒁𝒇 = ∫𝒁𝒔 −𝟏 𝝉 𝒈
⃗ ; contraintes sur le fond.
⃗⃗⃗𝒇 𝒅𝒛 = − 𝟐 𝒖. 𝒖
𝝏𝒙 𝒁𝒇 𝝆𝒉 𝑪𝒉
⃗𝐔 ) 𝒔 𝝏𝒁𝒔 ⃗⃗⃗
𝝉𝒔
𝛎(𝛁 = ; Contraintes en surface libre
𝝏𝒙 𝝆
Ainsi, en sommant les différentes équations on obtient les équations de Saint-
venant suivantes :
𝝏𝒉𝒖 𝝏𝒁𝒔
+ =𝟎
𝝏𝒙 𝝏𝒕
{𝝏𝒉𝒖 𝝏𝒉𝒖𝟐 𝝏𝐙𝒔 𝝉𝒔𝒙 𝝉𝒇𝒙
+ = −𝒈𝒉 + 𝑨𝑯 ∆(𝒉𝒖) + −
𝝏𝒕 𝝏𝒙 𝝏𝒙 𝝆 𝝆
Forme conservative des équations de Saint-venant :
Les variables dépendantes dans les équations de Saint-Venant peuvent être choisies selon
les formulations suivantes :
formulation « vitesse-hauteur d’eau » : profondeur d’eau h et vecteur de vitesse 𝒖 ⃗
comme variables dépendantes ;
formulation « débit-hauteur d’eau » : profondeur d’eau h et vecteur débit 𝒒 ⃗ =
(𝒒𝒙 𝒒𝒚 ) = (𝒉𝒖, 𝒉𝒗),comme variables dépendantes ;
formulation « vitesse-dénivellation » : dénivellation de la surface libre 𝒁𝒔 et vecteur
⃗ comme variables dépendantes ;
vitesse 𝒖
formulation « vitesse-dénivellation » : dénivellation de la surface libre 𝒁𝒔 et vecteur
⃗ comme variables dépendantes ;
vitesse 𝒒
La formulation « vitesse-hauteur d’eau » de ces équations sous forme conservative est :
𝝏𝑼 𝝏𝑭
+ =𝑺
𝝏𝒕 𝝏𝒙
𝒉𝒖 𝒏𝟐 ∗𝒖𝟐
Avec : 𝑼 = (𝒉𝒖) ,𝑭 = ( 𝒖𝟐 ) , = (−𝒈𝒉(𝑺𝟎 −𝑺 )) , 𝑺𝒇 =
𝟎 𝒇 𝒉𝟒/𝟑
𝟐
III. Modèles Mathématiques :
Computational Fluids Dynamics (CFD) s'est développée à partir des domaines de
recherche de la dynamique des fluides et de l'informatique. Pendant de nombreuses
années, les ingénieurs ont tenté de comprendre les caractéristiques des écoulements de
fluides dans l'espoir de pouvoir prédire avec précision les propriétés qui composent chaque
trait. Avec l'émergence de la puissance de calcul disponible, l'étude de l'écoulement des
fluides est devenue plus facile et plus efficace. Ceci a provoqué une augmentation
importante dans la recherche de techniques numériques pour résoudre réellement les
équations qui sont connues pour représenter la dynamique des fluides.
Dans sa forme la plus élémentaire, CFD prend des équations mathématiques
représentant le flux des fluides, généralement sous la forme d'équations aux dérivées
partielles, et les remplace par des nombres qui permettent d'avancer dans l'espace et dans
le temps. Trois étapes principales sont nécessaires pour y parvenir: le modèle théorique, le
modèle mathématique et le modèle de calcul. Le modèle théorique est l'étape initiale dans
laquelle une théorie est conçue avec la capacité de prédire tous les comportements d'une
certaine situation; c’est ce qu’on a traité dans la partie précédente à fin d’élaborer les
équations décrivant le problème. L'étape du modèle mathématique représente ces théories
dans les équations mathématiques. Enfin, le modèle de calcul est créé, dans lequel des
méthodes de discrétisation sont utilisées pour approximer ces équations à des points
discrets dans le temps et dans l'espace, ce qui permet de développer des algorithmes pour
résoudre les équations mathématiques.
Pour convertir un modèle mathématique, comme les équations d'eau peu profonde,
en un modèle de calcul, une méthode de discrétisation est nécessaire pour que les valeurs
dans le domaine puissent être approximées. Il existe trois approches principales: la
méthode des différences finies, la méthode des volumes finis et la méthode des éléments
finis. Chaque méthode permet de diviser le problème en un ensemble de valeurs discrètes
dans l'espace et dans le temps. La méthode des éléments finis n'est pas recommandée pour
les EDPs hyperboliques car elle est conçue à l'origine avec des équations paraboliques et
elliptiques.
1. Méthode des différences finies :
Introduite par Euler au 18ème siècle, la méthode des différences finies est la plus
ancienne méthode de discrétisation des EDP. C'est aussi la méthode la plus simple à utiliser
en ce qui concerne les géométries simples, telles que la ligne uniforme d'une seule
dimension qui sera utilisée pour le projet. La méthode superpose une grille sur le domaine
du problème, en échantillonnant essentiellement les données continues à chaque point de la
grille. Cela remplace les dérivées partielles par des approximations, dont on peut se servir
pour approximer davantage dans le temps....
Les méthodes aux différences finies consistent à discrétiser, moyennant un maillage
de calcul prédéfini, chaque dérivée partielle d’une variable dans l’EDP à l’aide du
développement en série de Taylor de la valeur de cette variable. Les méthodes aux
différences finies apportent, grâce à leur simplicité, la possibilité de construire des schémas
numériques d’ordre élevé à faible coût. Cependant, elles semblent plus difficiles à mettre en
œuvre pour les problèmes à géométrie complexe où la construction d’un seul maillage
structuré est difficile.
𝒏+𝟏/𝟐 𝟏 𝒏 𝚫𝒕 𝟏
𝑼𝒊+𝟏/𝟐 = (𝑼𝒊+𝟏 − 𝑼𝒏𝒊 ) − (𝑭𝒏𝒊+𝟏 − 𝑭𝒏𝒊 ) − (𝑺𝒏𝒊+𝟏 − 𝑺𝒏𝒊 )
𝟐 𝟐𝚫𝒙 𝟒
Puis, on calcule E et H aux points intermédiaires selon t et x :
𝟏
𝒏+𝟏/𝟐 𝒏+
𝑭𝒊+𝟏/𝟐 = 𝑭(𝑼 𝟏𝟐 )
𝒊+
𝟐
𝟏
𝒏+𝟏/𝟐 𝒏+
𝑺𝒊+𝟏/𝟐 = 𝑺(𝑼 𝟏𝟐 )
𝒊+
𝟐
Le schéma de Lax-Wendroff est une technique explicite de FDM, donc pour être stable, il
doit satisfaire le critère de Courant-Friedrich-Lewy (CFL) (Potter 1973) à chaque point de
|𝒖|+𝒄
grille i pour être stable. Le critère CLF est défini comme 𝑪𝒓 = 𝚫𝒕 ≤ 𝟏; 𝒄 = √𝒈𝒉
𝚫𝒙
𝒉𝒖 𝟎
𝒉𝒗 𝝏 𝝏𝒖
𝒉 𝒖𝟐 𝒖𝒗 −𝑭𝒖 + 𝒇𝒗 +
(𝑨𝑯 )
𝑼 = (𝒖) 𝑭 = + 𝒈𝒉 𝑮=( 𝟐 ) 𝑺= 𝝏𝒙 𝝏𝒙
𝟐 𝒗
𝒗 𝒖𝒗 + 𝒈𝒉 𝝏 𝝏𝒗
𝟐 −𝑭𝒗 + 𝒇𝒖 + (𝑨𝑯 )
𝝏𝒚 𝝏𝒚
( ) ( )
Ces équations décrivant le comportement des fluides, sont très rencontrées dans les études
d’hydraulique : maritime (vagues et Tsunami), rupture de barrage et zone d’influence, les
écoulements fluviaux … Ils aident à la prévision comme à la reconstituer des phénomènes
déjà passés
Références :
Cunge J. A., Holly Jr F. M. and Verwey A. (1980) Practical Aspects of Computational River Hydraulics,
Pitman, London.
LeVeque R. J. (2002) Finite volume method for hyperbolic problems, Cambridge University Press, New
York.
Potter D. (1973) Computational Physics, Wiley and Sons, London.
Szymkiewicz R. (2010) Numerical Modeling in Open Channel Hydraulics, Springer, London, New York.
Toro E. F. (1997) Riemann solvers and numerical methods for fluid dynamics, Springer-Verlag, Berlin.
Changna Lu · Jianxian Qiu. (2010) Simulations of ShallowWater Equations with Finite Difference Lax
WendroffWeighted Essentially Non-oscillatory Schemes
Jonathan B. Snively, Embry-Riddle Aeronautical University. (2014) The Lax-Wendroff Method And
Multi-Dimensional Problems.
Richard H.French Open-channel hydraulics.
K.A. Hoffman, S.T. Chiang. (2000) Computational Fluid Dynamics V1.