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ANALYSE POLITIQUE SYSTEME RESUME

SYSTEMES POLITIQUE

Maroc :

1. Un système politique extrêmement centralisé et fonctionnant à l'aide de multiples


réseaux : le makhzen
2. Evolution du comportement du Maroc dans la crise du Sahara Occidental: le
double jeu
3. Les bases des revendications marocaines sur le Sahara occidental
4. Enjeux de l'issue du dossier pour le Maroc _ des intérêts dans le statut quo
5. L'ouverture au début du règne de Mohammed VI n'a pas duré
6. Parallèlement, certains facteurs dans la situation interne au Maroc semblent
remettre en cause la stabilité qu'on lui prête

1. De l'intérêt au groupe d'intérêt


1. Quelle nécessité de former des groupes représentatifs d'un intérêt
particulier dans une démocratie ?
2. Entre latence et mobilisation se pose le problème de l'action collective
2. Les groupes d'intérêts : conflits d'influence au sein du pouvoir et entre eux
1. Une inégale représentation des intérêts
2. Le groupe d'intérêt : une définition inhérente au pouvoir politique

Résumé

Le terme « groupe d’intérêt », ou lobby en anglais, est vaste et regroupe aujourd’hui


associations, entreprises, chambres, syndicats, ordres professionnels, fédérations, ONG,
Eglise… Ce sont des entités qui cherchent à représenter des intérêts de sections
particulières de la société en vue de faire valoir leur point de vue auprès des élus et des
institutions, et ainsi d’influencer des décisions politiques.

La France a longtemps ignoré ce qui s'apparentait de près ou de loin à une structuration


de la société civile (elles sont un niveau d’interaction médian entre les autorités ou
pouvoirs publics et les citoyens) sous forme de groupes d'intérêts. Officiellement et
constitutionnellement exclus du processus de décision, leur activité est néanmoins
tangible.

SYSTEME DEMOCRATIQUE

1. La démocratie comme intrinsèquement pacifiste


1. Démocratie, justice et conflits
2. La question de la culture politique démocratique
3. Légitimité démocratique et paix durable
2. La démocratie prévient les conflits
1. « Les démocraties ne se font pas la guerre entre elles »
2. Le renforcement de la démocratie ou le développement de la paix dans le
monde
3. La démocratie permet de sortir de la guerre
3. Le mythe de « la fin de l'histoire »
1. La démocratie est-elle universelle ?
2. Les dangers de la démocratie imposée et la question de la guerre juste
3. Impérialisme et militarisme démocratiques

Résumé

À l’idée d’une sécurité collective assurée par l’équilibre des puissances qui animait la
diplomatie du 19ème siècle et qui présidait encore aux décisions de l’ONU jusqu’à la fin
de la guerre froide, a succédé la thématique de la « sécurité démocratique » conçue
comme un moyen à la fois plus sûr et moins coûteux d’assurer la sécurité de tous. Le
présupposé présume donc que le développement de la démocratie est un facteur de paix
dans le monde.
Il faut alors s’attacher à déconstruire cette proposition. En effet, pourquoi associer
démocratie et paix ?
Avant de répondre à cette question, il est nécessaire de définir ces deux termes. S’il y a
plusieurs définitions différentes, voire concurrentes de la démocratie, il est cependant
possible d’en fournir une, classique et largement acceptée. En grec ancien, la démocratie
vient de « demos », le peuple, et de « kratos », le pouvoir : une démocratie est donc le
pouvoir du peuple par lui-même. De nos jours, la démocratie est toutefois plus une
démocratie représentative qu’une démocratie directe.
La paix, quant à elle, est le plus souvent définie négativement, comme l’absence de
guerre. Mais cette interprétation paraît insuffisante. Loin d’être le résultat de la
soumission ou de l’apathie générale, la paix véritable suppose positivement la concorde
ente les hommes.
Plusieurs questions se posent alors : l’extension du système de la démocratie
représentative appuyé sur des élections libres et régulières est-elle nécessairement un
facteur de paix ? A ce moment là, faut-il imposer la démocratie par la force

SYSTEMES INTERNATIONAL

1. Le droit international bafoué en ex-Yougoslavie : pour la cause de la démocratie


ou par celle de l'hégémonisme des États-Unis ?
1. La crise des Balkans : controverse sur la légitimité de l'intervention de
l'OTAN
2. Le triomphe de l'hégémonie des États-Unis à travers l'OTAN ?
2. La question de l'élargissement : des hauts et débats
1. L'enjeu de la démocratie
2. Une relation avec la Russie qui peine à trouver son équilibre
3. Une place incertaine dans un nouveau contexte stratégique : des ambitions à
redéfinir
1. Quelle vocation militaire ?
2. Quelle répartition des tâches dans la gestion des crises ?

Résumé

Créée en 1949 pour impliquer les Etats-Unis dans la défense de l’Europe occidentale face
à la menace soviétique, l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) est un
produit de la guerre froide. Elle a servi de cadre pendant quarante ans à une double
mission : l’une politique, de défense collective ; l’autre militaire, consistant à définir entre
l’Europe occidentale et l’Amérique la conduite à tenir vis-à-vis de l’URSS et de ses alliés.
La fin de la guerre froide a été pour l’OTAN un succès historique ; en même temps, elle a
pour l’essentiel mis fin à ces deux missions, ouvrant pour l’OTAN, devenue « l’Alliance
unique » une période de redéfinition et de remise en cause, ainsi résumée par M. Arbatov,
haut responsable soviétique en 1989 : « Nous allons vous rendre le pire des services,
nous allons vous prouver d’ennemi ». Pourtant, si la disparition du pacte de Varsovie
remet profondément en cause la légitimité de l’OTAN, elle parvient à rester une pièce
essentielle de la sécurité européenne et trouve, dans les années 1990, un nouveau rôle
au-delà de ses fonctions historiques. Celui-ci s’inscrit dans trois directions : intervention
dans les Balkans, élargissement à l’est et réforme menée en conjonction avec le
développement des ambitions européennes dans le domaine de la défense. Vivement
remise en cause sur ces trois points, l’OTAN semble désormais osciller entre son but
clairement affiché de défense de la paix et de la démocratie en Europe et dans le monde,
et la volonté sous-jacente de promouvoir les intérêts occidentaux sur la planète.

L’avenir de l’OTAN se situe-t-il dans le rôle de « l’ange de la paix » dont la tâche serait de
s’opposer aux fauteurs de troubles en Europe et ailleurs, ou dans celui d’un « gendarme
du monde », prêt à enfreindre le droit international partout sur la planète pour défendre
les intérêts occidentaux?

La réponse, si tant est qu’il y en est une, est en réalité bien plus complexe que chacune
de ces deux alternatives, et la réflexion doit être menée au regard du bilan mitigé des
interventions militaires de l’Alliance et de ses évolutions dans le monde post-bipolaire
qui soulignent la nécessité de redéfinir son rôle dans le nouveau contexte stratégique.

SYSTEME DE L’OTAN

1. Avec l'ouverture à l'Est, l'OTAN a retrouvé une légitimité nouvelle comme garant
de la stabilité et de la sécurité européenne...
1. Un enjeu à court terme : réussir la transition démocratique à l'Est
2. Un enjeu de long terme : la mise en place d'un système européen anti-
versaillais
2. ... Mais cette ouverture, du fait des problèmes qu'elle soulève, est devenue un
enjeu majeur qui conditionnera la nature et le rôle futurs de l'OTAN...
1. La question russe au centre du débat
2. Les modalités de l'ouverture rendent nécessaire de repenser le rôle et le
fonctionnement de l'OTAN
3. ... Et qui se trouve instrumentalisée par les différents Alliés : hégémonie
américaine ou Identité Européenne de Défense et de Sécurité ?
1. Cette ouverture peut aussi bien être un outil de renforcement de
l'hégémonie américaine...
2. ... Qu'un moyen d'assurer la formation d'une réelle Identité Européenne de
Défense et de Sécurité

Résumé

Nous verrons qu'avec l'ouverture à l'est, l'OTAN a retrouvé une légitimité nouvelle
comme garant de la stabilité et de la sécurité européenne mais que cette ouverture, du
fait des problèmes qu'elle soulève, est devenue un enjeu majeur qui conditionnera la
nature et le rôle futurs de l'OTAN et qui se trouve instrumentalisée par les Alliés dans le
cadre de la réflexion sur la répartition des compétences et pouvoirs entre les Américains
et les Européens.

SYSTEME AFRICAIN

1. Un panorama de l'Afrique
1. L'Afrique en quelques cartes
2. Présentation de l'Afrique
3. Une définition géopolitique de l'Afrique
2. Une lecture géopolitique des conflits africains
1. Organisation de l'Afrique
2. Une Afrique, des conflits
3. Géopolitique externe et interne
4. Présentation des conflits
3. Vers une nouvelle géopolitique de l'Afrique
1. L'Afrique dans le monde
2. Les trois espaces territoriaux africains émergents

Résumé

Pour tenter de répondre à cette question, nous tendrons à définir d'abord globalement,
puis géopolitiquement parlant le continent africain.
Ensuite, ayant perçu la diversité des conflits africains, nous chercherons à expliquer
certains d'entre-deux. Nous pourrons dès lors saisir l'importance de ces antagonismes,
véritables maux affectant l'Afrique.
Enfin, dans une troisième partie, nous chercherons à répondre à la problématique posée,
l'Afrique, acteur ou enjeu, en étudiant l'influence des puissances étrangères et le faible
poids économique du continent, avant d'envisager les trois nouveaux ensembles
géopolitiques émergents, qui permettent quelque peu d'harmoniser le paysage
géopolitique de l'Afrique.
Enfin, étant donné que l'Afrique possède plusieurs visages et qu'il est difficile de définir
une certaine unité africaine, nous analyserons le mal commun à ce continent, le sida...

SYSTEME HUMANITAIRE

1. Compte-rendu synthétique
1. Nouvelles formes d'aide humanitaire, nouvelles dérives
2. Les victimes de l'aide humanitaire : les populations civiles
3. Quelles alternatives à l'aide humanitaire ?
2. Critique
1. Aide humanitaire et aide au développement : lé débat
2. L'obsession du détournement
3. La non prise en compte du processus de normalisation de l'aide
humanitaire

Résumé
Dans son introduction, l'auteur évoque la difficulté rencontrée par ceux qui tentent de
critiquer le système humanitaire. S'appuyant sur le principe du « devoir d'ingérence »,
les milieux humanitaires réclament des interventions de plus en plus massives sur les
terrains de crise. Face à la montée en puissance médiatique de l'humanitaire, toute
critique rigoureuse semble être effacée par un discours dominant moralisateur et
culpabilisant, protégeant l'humanitaire de toute remise en cause.
L'auteur commence par démontrer les subtilités du détournement de l'aide humanitaire
dans les économies de guerre en s'appuyant sur de nombreux exemples. Puis il insiste
sur l'échec des différentes parades inventées pour lutter contre ces détournements :
opérations militaro humanitaires, interventions de compagnies militaires privées ou de
contingents en provenance d'autres pays du Tiers Monde, utilisation de l'arme
économique ou édification d'une justice internationale. Enfin, l'auteur envisage une
solution alternative : le retrait de l'aide, ou l'invocation de ce retrait sous forme de
menace, utilisée pour peser sur les interlocuteurs dans les zones de conflit. Il étudie les
conditions rendant possible cet éventuel retrait et les raisons d'un entêtement parfois
meurtrier des ONG ...

SYSTEME SANS FRONTIERES

1. L'émergence d'un humanitaire sans frontière.


1. De la neutralité originelle à la neutralité dénoncée de l'humanitaire.
2. L'affirmation d'un humanitaire concurrent de l'Etat.
2. L'action humanitaire investie par l'enjeu politique.
1. L'humanitaire détourné : auxiliaire puis substitut du politique.
2. L'humanitaire remis en cause par son exploitation.

Résumé

C'est après la deuxième guerre mondiale que cet espace s'étend aux populations civiles
victimes des conflits. Alors s'ouvre un registre de la scène internationale qui va subir une
véritable explosion. Comment l'humanitaire a-t-il évolué ? Quels en sont les acteurs ?
Après tant d'utilisation et de déformation, recouvre-t-il le même sens qu'à l'origine ?
Par conséquent, il est intéressant d'étudier dans un premier temps comment est apparu
l'humanitaire sans frontière et ses caractéristiques, pour analyser par la suite comment
cet espace a été investi par de nouveaux acteurs et de nouveaux enjeux...

SYSTEME ACTION HUMANITAIRE

1. Qui fait l'humanitaire et pourquoi ?


1. Historique de l'action humanitaire
2. Les acteurs de l'humanitaire
3. Champ d'action et formes de l'action humanitaire
2. Des besoins parfois mal compris
1. Les dilemmes de l'humanitaire
2. L'action humanitaire détournée
3. Le « mauvais humanitaire »
3. L'humanitaire : notre bonne conscience ?
1. Rôle et manipulation des médias
2. Effets secondaires et négatifs
3. L'humanitaire sert-il à nous déculpabiliser ?
4.

Résumé

Au sens premier, l’adjectif « humanitaire » désigne toute action, ou toute institution qui
vise au bien de l’humanité. Cette définition possède une dimension morale qu’on retrouve
dans l’idée de philanthropie souvent associée à celle de l’humanitarisme. Le philanthrope
est en effet celui qui, par amour (philos) de l’humanité (anthropos), va œuvrer pour le
bien de son prochain.
Dans un sens plus moderne, on appelle action humanitaire l’ensemble des initiatives
prises par une association pour secourir une population ayant besoin d’une aide
d’urgence, aide fortement médicalisée, et survenant à la suite d’un conflit ou d’une
catastrophe naturelle (épidémie, famine, tremblement de terre etc.).
Certes, l’action humanitaire ne se réduit pas aux seules interventions à caractère médical,
et toutes les grandes associations caritatives peuvent revendiquer ce label si l’on entend
par cet adjectif une action bénévole en vue d’aider des personnes en difficulté. Pourtant,
l’usage veut qu’on réserve le titre d’action humanitaire en priorité aux situations
d’urgence médicale.
La complexité du débat théorique sur la définition et la délimitation de l’action
humanitaire, nous offrons un aperçu de la difficulté que peut représenter ce même débat
sur le plan pratique. En effet, si l’aide humanitaire est fille de générosité et de
désintéressement, elle représente de très gros enjeux moraux, politiques, humains,
sociaux, économiques etc., qui peuvent la rendre très fragile et parfois même la
dénaturer.
Le cœur du débat humanitaire, qui nous intéresse ici, repose sur le fait de savoir
pourquoi les idéaux si nobles qu’elle défend sont si fragiles. En d’autres termes, qu’est ce
qui fait que l’action humanitaire, alliant l’altruisme et la nécessité de répondre à la
détresse des plus démunis, entraîne presque inévitablement déviances, abus et
détournements?
Pour tenter de trouver des éléments de réponse à cette question, il convient d’abord de
comprendre pourquoi l’humanitaire est ce qu’il est aujourd’hui, à la lumière de son
histoire, ce qui nous permettra par la suite de voir combien il est difficile, dans des
milieux dangereux, corrompus, et devant l’impuissance politique à trouver des solutions,
de comprendre les besoins des populations et d’éviter tout dérapage. Enfin notre
troisième partie, où nous aborderons les thèmes de la conscience, de la morale et de la
générosité, aura une approche plus philosophique du problème.

SYSTEME ET PROJET HUMANITAIRE

1. Les projets humanitaires


1. Qu'est-ce que l'humanitarisme
2. Qui peut entreprendre un projet humanitaire
3. Cadre juridique d'une association humanitaire et d'une fondation
2. Le financement
1. La distinction entre les 3 grands types de financement
2. Association et éthique
3. Etudes de cas
1. Médecins du monde
2. PAM
3. Handicap international
4. Croix Rouge
Résumé

Le terme « humanitaire » est source de confusion. Il n’existe pas de définition unique de


ce qu’est une action humanitaire. Par ailleurs des Etats mènent eux aussi des opérations
humanitaires. En fait le terme « humanitaire » regroupe des réalités très différentes :
trop souvent limité aux actions, d’urgence, il comprend par ailleurs l’appui au
développement pour les populations les plus vulnérables (au Nord comme au
Sud).(...)L'aide humanitaire est une forme de solidarité, généralement destinée aux
populations pauvres, sinistrées ou prises dans une guerre, qui peut:
-Répondre à des besoins divers (faim, santé, reconstruction après un sinistre, éducation,
protection des enfants, mise en place de réseaux d'eau et de communication...). On
distingue souvent à ce sujet l'aide d'urgence de l'aide permanente.
-Prendre diverses formes (dons d'argent, envoi de marchandises et équipements de
première nécessité, envoi de personnel faisant des interventions sur place). Elle peut
provenir de diverses sources.

SYSTEME ONG

1. Histoire de l'humanitaire et des évolutions de ses missions


2. La professionnalisation des ONG humanitaires : entre gestion et stratégies
3. Les risques de dérives

Résumé

Selon Marcel Merle, une ONG est : « tout groupement, association ou mouvement
constitué de façon durable par des particuliers appartenant à différents pays en vue de la
poursuite d’objectifs non lucratifs ».
Selon Jacques Lebas (ex-président de Médecins du Monde) l’humanitaire renvoie au «
geste même de secourir, d’aller vers l’autre et de l’aider ». Plus généralement, Philippe
Ryfman établit une typologie des notions relatives à cette appellation : le mouvement,
l’acteur, l’opérateur, le temps, l’espace humanitaire, le bénéficiaire, le respect de
l’éthique et la référence à des valeurs et des idéaux.
Il faut bien distinguer les ONG humanitaires qui agissent dans les situations d’urgence,
des ONG de développement dont les actions sont à long terme.

SYSTEME ET GUERRE

1. L'origine du débat : humaniser la guerre


1. Les idéaux humanitaires : un combat pour humaniser la guerre
2. Les pacifistes critiquent cette volonté de rendre la guerre tolérable
3. L'action humanitaire : une réelle nécessité
2. Reconnaître les pièges pour éviter de prolonger les conflits
1. Le détournement de l'aide humanitaire : des guerres qui durent
2. Le danger de la neutralité
3. Le problème de la "guerre humanitaire"

Résumé

Depuis le début de l'action humanitaire moderne (c’est-à-dire la naissance du Comité


International de la Croix Rouge, CICR) la question du rôle des O.N.G. sur le champ de
bataille a été un important sujet de polémiques opposant les idéaux humanitaires aux
idéaux pacifistes. En effet, l’argument principal des pacifistes s’appuie sur le fait que
l'action humanitaire aurait, particulièrement au cours des guerres à forte présence
humanitaire et de bien des manières différentes, indirectement contribué à la
prolongation des conflits.

SYSTEME ONG

1. Les ONG : des acteurs présents dans les relations internationales


1. Leurs actions sur le terrain
2. Leurs partenariats avec les organisations internationales
2. Les ONG : des acteurs soumis aux Etats dans les relations internationales
1. Les Etats : le coeur des relations internationales
2. Les ONG : des acteurs fragiles

Résumé

« Sera considérée comme organisation non gouvernementale (ONG) toute organisation


dont la constitution ne résulte pas d'un accord intergouvernemental y compris les
organisations qui acceptent des membres désignés par les autorités gouvernementales,
pourvu que de tels membres ne nuisent pas à la libre expression des organisations »,
telle est la définition des ONG donnée par le conseil économique et social de
l’Organisation des Nations unies.
Ce sont des organisations privées à but non lucratif qui opèrent hors du cadre de
l’administration publique, mais qui peuvent coordonner leurs programmes avec ceux des
services publics. Ces organisations peuvent représenter la société civile ou des groupes
spécifiques de celle-ci. Elles peuvent critiquer les gouvernements des pays d'où elles
proviennent, elles peuvent aussi compléter ou participer aux travaux d'élaboration de
projets ou de résolutions. Au moment du vote, elles n'ont cependant pas de pouvoirs
décisionnels, du moins dans le contexte des Nations Unies et de la plupart des
organisations internationales.

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