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La newsletter pour décideurs
[ 8 OCTOBRE 2009 – N° 33 ]

Pas de budget sur un terrain mouvant !

Dans quelques jours, le Premier ministre pro-
noncera sa déclaration de politique – the
State of the Union – devant le Parlement.
Dans celle-ci, il annoncera comment son gou-
vernement, en collaboration avec les gouver-
nements des entités fédérées, réalisera en
2010 et 2011 des économies à hauteur de
respectivement 0,5% et 1,0% du Produit
Intérieur Brut pour mettre notre pays sur la
voie d’un équilibre budgétaire à l’horizon
2015. Il suit ainsi les recommandations du
Conseil supérieur des finances, à savoir ne
pas prendre des mesures d’assainissement qui
tueraient dans l’œuf la reprise économique,
mais évoluer progressivement vers l’équilibre
budgétaire.
Des jours difficiles attendent le Premier
ministre, mais il n’a pas droit à l’échec. Ce
n’est pas pour autant que toutes les mesures
possibles avancées ces derniers jours sont
efficaces et favorables à la prospérité.
Pour réaliser l’objectif fixé, le gouvernement
doit se montrer le plus efficace possible.
réserve pour lequel il faudra d’abord emprun-
ter de l’argent à un taux d’intérêt élevé avant
de pouvoir l’alimenter est un exemple de
mesure non optimale. Les dépenses de soins
de santé doivent croître à un rythme réaliste.
Les calculs montrent toutefois que 800 mil-
lions EUR peuvent être économisés de maniè-
re structurelle, sans que personne ne soit de
ce fait en moins bonne santé. Par contre,
constituer une réserve et faire payer, comme
ce fut trop souvent le cas dans le passé,
l’addition au secteur pharmaceutique est une
solution dangereuse. Plumer un des secteurs
les plus innovateurs et tournés vers l’avenir
revient à tuer la poule aux œufs d’or.
La FEB soutient la lutte contre la fraude fiscale
et sociale, sauf lorsque cette lutte consiste à
rejeter les missions de contrôle des autorités
sur les épaules des chefs d’entreprise. Les
pistes qui ont récemment à nouveau été lan-
cées quant à la responsabilité solidaire des diri-
geants d’entreprise sont un bel exemple d’une
telle solution de facilité. Le surréalisme belge à
son comble, sans aucun résultat budgétaire à
l’horizon ! Par contre, il n’est plus possible
d’expliquer à la population pourquoi, en 2008,
une allocation de chômage de l’ONEM a été
versée à quelque 18.000 personnes 'au travail'.
Empêcher que l’ONEM ne verse encore des
allocations lorsqu’une personne est enregistrée
à l’ONSS comme travailleur… voilà un exemple
Il n’y a pas que le budget 2010 qui doit tenir la
route. Celui de 2011 ne peut pas davantage
être bâti sur un terrain mouvant. Or, si la
concertation interprofessionnelle de la fin de
l’année prochaine ne trouve pas clairement sa
place à l’intérieur du cadre d’assainissement
La FEB soutient la lutte contre la
fraude fiscale et sociale, sauf
lorsque cette lutte consiste à
rejeter les missions de contrôle
des autorités sur les épaules
des chefs d’entreprise.
défini par le gouvernement, il y a de fortes
chances pour que tout ce qui est décidé aujour-
d’hui concernant 2011 repose sur un terrain
particulièrement mouvant. Le passé a montré à
plusieurs reprises qu’en cas de crise, une
concertation salariale qui n’est pas bien enca-
drée induit toujours une perte considérable de
compétitivité dans le chef des entreprises et
ensuite, inévitablement, un dérapage des
finances publiques. Il devrait, cette fois, tout
de même être possible d’éviter ce scénario.
Dans les prochains jours, il faudra faire des
arbitrages difficiles. Mais il y a une chose
qu’il ne faut certainement pas faire : emprun-
ter aux prochaines générations pour payer les
dettes du passé !
PIETER TIMMERMANS,

Constituer au niveau de l’INAMI un fonds de de politique antifraude efficace. ADMINISTRATEUR-DIRECTEUR GÉNÉRAL

A EPINGLER LE CHIFFRE DE LA SEMAINE

> RENCONTRE ANNUELLE FEB - EUROPARLEMENTAIRES >
La valeur de l’euro grimpe

1,48
Les priorités européennes des entreprises belges
La valeur de l’euro a augmenté ces der-
FISCALITÉ > Guichet ‘Obstacles fiscaux’ nières semaines et ces derniers mois face
aux monnaies de la plupart des partenai-
>
SUPPRESSION DES TITRES AU PORTEUR
dollar pour 1 EUR res commerciaux. Il a atteint récemment
Quelle protection pour les investisseurs ?
un nouveau record à 1,48 dollar pour un euro. Cette évolution
entrave la reprise encore fragile dans la zone euro.
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959 www.feb.be > publications > chiffres et faits

[ INFOR FEB 33 — 8 OCOBRE 2009 ]
> FISCALITÉ
Guichet ‘Obstacles fiscaux’
Quel est le point commun entre Magritte,
Kafka et la fiscalité belge ? Le goût du surréa-
lisme kafkaïen ! En dépit d’efforts appréciés,
la fiscalité belge comporte encore beaucoup de
règles et/ou de pratiques administratives qui
représentent des obstacles considérables à
l’entrepreneuriat en Belgique. Afin d’y sensi-
ACTION FEB
> Plan PC-privé : lettre à la
ministre Onkelinx
Les règles fiscales du plan PC-privé ont chan-
gé le 1er janvier. Il en résulte une simplifica-
tion, mais aussi une limitation de l’exonération
fiscale aux travailleurs dont le revenu est rela-
tivement faible. Le Comité de gestion de
l’ONSS a recommandé le 24 avril d’aligner le
volet parafiscal sur le nouveau régime fiscal.
Mais, sachant que la base de calcul des coti-
sations sociales est différente de la base fiscale
et que l’employeur ne peut savoir quel sera le
revenu annuel total du travailleur, il a proposé
de ne pas fixer de plafond salarial dans le volet
social. Face au retard de l’adaptation de la
réglementation de sécurité sociale, la FEB a
adressé cette semaine une lettre à la ministre
des Affaires sociales.
Anneleen Bettens – ab@vbo-feb.be
> La FEB reçoit la confédé-
ration des employeurs
espagnols
Rudi Thomaes, administrateur délégué, et les
membres de la direction de la FEB ont reçu, le
25 septembre dernier, une délégation de notre
biliser les entreprises et les autorités et
d’attirer l’attention sur les problèmes concrets
rencontrés, la FEB a mis en place en 2008, sur
son site web, un guichet où les entreprises
peuvent signaler des exemples concrets
d’obstacles fiscaux, de préférence en y joi-
gnant également une proposition de solution.
Grâce à cette initiative, certaines de ces
règles, parfois édictées dans de bonnes
intentions mais irréalisables dans la pra-
tique, ont pu être supprimées en 2009
(restitution mensuelle des crédits TVA,
suppression de la taxe sur les contrats
d’assurance-crédit, …).
Le but est que les entreprises nous
fournissent encore de nombreux autres
exemples, de manière à ce que nous puis-
sions les inscrire à l’agenda politique et les
résoudre les uns après les autres. En gui-
se d’inspiration, nous avons placé sur notre
site une liste actualisée d’exemples
concrets.
Jean Baeten – jb@vbo-feb.be
www.feb.be (Dossiers/Fiscalité)
De g. à dr. : José Maria Lacasa (CEOE),
Rudi Thomaes (FEB) et Diane Struyven (FEB).
fédération sœur espagnole, la CEOE, conduite
par son secrétaire général, José Maria Lacasa.
Cette rencontre fut l'occasion d'un échange de
vues sur les dossiers actuels qui préoccupent
le monde des entreprises belge et espagnol,
dans les domaines social, juridique, fiscal, éco-
nomique et européen (ex. chômage, brevet
communautaire, crise financière, paquet TVA,
financement des entreprises et changements
climatiques). Par ailleurs, il a été beaucoup
question de la présidence de la troïka 'Espagne
– Belgique – Hongrie' et des priorités du mon-
de des affaires dans cette perspective. Parmi
celles-ci, on épinglera la nécessité de renfor-
cer le potentiel de l'UE par la mise en œuvre
de réformes (ex. marché du travail) dans le
>
SUPPRESSION DES TITRES
AU PORTEUR
Quelle protection pour les
investisseurs ?
À la suite des turbulences fin de l’année der-
nière sur les marchés financiers, les investis-
seurs se sont inquiétés de la protection légale
prévue dans le cadre de placements auprès
d’institutions financières en Belgique. En cas
de défaillance (telle que la faillite) de
l’institution financière, l’investisseur pourra
exiger de son banquier la restitution des titres.
Cependant, suite à la suppression des titres au
porteur et à leur dématérialisation, les droits
des investisseurs ne portent plus sur des titres
physiques mais sur une inscription en comp-
te-titres. La restitution aura donc lieu de
manière ‘virtuelle’ par une inscription sur un
nouveau compte-titres de l’investisseur. En
effet, la valeur représentée par ces titres déma-
térialisés n’est en aucun cas influencée par
leur dématérialisation et n’est pas non plus
affectée par la faillite éventuelle de l’institution
financière auprès de laquelle ces valeurs sont
inscrites en compte.
On peut ajouter que, dans les cas tout à fait >
cadre de la Stratégie post-Lisbonne de 2010
qui devra être assortie d'un engagement natio-
nal plus fort. Enfin, la séance fut clôturée par
la signature, entre les deux fédérations, d'un
protocole de collaboration en vue de l'EBS
(European Business Summit) des 30 juin et
1er juillet 2010, qui marquera la passation du
flambeau, par l'Espagne, de la présidence de
l'UE, à la Belgique.
Diane Struyven – ds@vbo-feb.be
© D. Rys
> Le président Lula invité de
la FEB
La FEB a organisé ce 5 octobre un Forum éco-
nomique Belgique-Brésil à l’occasion de la visi-
te en Belgique du président Luiz Inácio Lula da
Silva. En présence de SAR le Prince Philippe
et du ministre des Affaires étrangères Yves
Leterme, divers officiels et CEO belges et bré-
siliens de premier plan y ont évoqué de nou-
velles opportunités commerciales et
d’investissement dans les deux pays. Thomas
Leysen, président de la FEB, y a notamment
félicité le Brésil pour l’organisation des JO de
© D. Rys
2016 et a souligné le rôle majeur que le Brésil
peut jouer dans la relance économique mon-
 [ INFOR FEB 33 — 8 OCOBRE 2009 ]
> RENCONTRE ANNUELLE FEB - EUROPARLEMENTAIRES

Les priorités européennes des entreprises belges

Le 5 octobre, le monde des entreprises belge a rencontré les membres tique international équilibré. Il a été démontré que l’industrie n’est pas
belges du Parlement européen à Bruxelles. André De Munter, directeur un adversaire, mais au contraire un partenaire dans la lutte contre le
f.f. du bureau d’information du Parlement européen à Bruxelles, et changement climatique. On ne peut toutefois accepter n’importe quel
Mathieu Grosch, vice-doyen de la délégation belge au PE, ont introduit accord à Copenhague. Les charges de l’industrie européenne doivent
la rencontre. Rudi Thomaes, administrateur délégué de la FEB, a ensui- rester comparables à celles de ses concurrents du reste du monde. On
te énuméré les priorités européennes des entreprises belges. Il a souli- s’est ensuite penché sur des thèmes tels que l’introduction éventuelle
gné l’importance de la bonne issue du référendum sur le Traité de de recours collectifs européens, l’exclusion des doubles impositions
Lisbonne en Irlande. Il est à espérer que l’UE pourra désormais se transfrontalières et l’introduction d’un brevet communautaire.
concentrer sur la crise et les défis économiques stratégiques de La FEB souligne l’importance du rôle du Parlement européen
l’Europe. Par ailleurs, il est manifeste que les marchés financiers doi- dans le processus de décision européen. Son impact augmentera enco-
vent être réglementés et contrôlés. Le rôle du Parlement européen sera re avec l’approbation du Traité de Lisbonne. Dans la perspective de la
crucial à cet égard. L’UE doit également plaider pour un accord clima- présidence belge de l’UE au second semestre de 2010, une bonne col-
laboration avec les parties pre-
nantes est essentielle. La FEB se
prépare d’ores et déjà de manière
approfondie à cette présidence.
De g. à dr., de face : Philippe de
Buck, directeur général de BUSI- Michael Voordeckers –
NESSEUROPE, Dirk Sterckx,
mv@vbo-feb.be
europarlementaire, et
Rudi Thomaes, administrateur
délégué de la FEB. Mathieu
Grosch, vice-doyen de la
délégation belge au PE, est à
la tribune.
© Dann

> exceptionnels où la restitution des titres

s’avérerait impossible, une garantie est néan-
moins prévue par le Fonds de protection des
diale et dans les négociations à venir rela-
Dépôts à concurrence de 20.000 EUR.
tives au changement climatique. Le prési-
Pour la FEB, il est très important que la
dent Lula a quant à lui lancé un vibrant
dématérialisation n’ait donc pas d’impact sur
appel aux entreprises belges afin qu’elles
la protection des investisseurs.
intensifient leur présence et leurs activités
Nathalie Ragheno – nr@vbo-feb.be
au Brésil.
Olivier Joris – oj@vbo-feb.be www.dmat.be ou info@dmat.be

> COMPÉTITIVITÉ

Le président Lula appelant les entreprises

belges à intensifier leur présence et leurs
activités au Brésil.
De g. à dr. : Celso Amorim, ministre
brésilien des Affaires étrangères, Yves
Leterme, ministre belge des Affaires
étrangères, SAR le Prince Philippe,
Luiz Inácio Lula da Silva, président
brésilien, Miguel Jorge, ministre brésilien
du Développement, de l’Industrie et du
Commerce extérieur, Victorio De Marchi,
Co-chairman of the Board of Directors
of AmBev.
Modération salariale
et innovation :
deux facteurs capitaux
Que faut-il pour que la valeur ajoutée de notre
industrie et de notre secteur des services aug-
mente plus vite que la moyenne européenne ?
Telle est la question essentielle posée par une
étude que vient de publier le Bureau fédéral du
plan. Sur la base de chiffres remontant à
1970, ce dernier conclut que le dérapage des
coûts salariaux a un impact négatif sur la vites-
se de croissance de la valeur ajoutée en
Belgique par rapport à la moyenne européen-
ne. Inversement, une croissance relativement
plus forte de la productivité se traduit en une
[ INFOR FEB 33 — 8 OCOBRE 2009 ]

AGENDA 2e édition de la FEB Social Academy 20 OCTOBRE 2009,

de 14h00 à 17h00
LIEU : FEB, Bruxelles
INFO: Nathalie Petit
Vu le succès de la première édition de la FEB Social Academy, la FEB a le plaisir
T 02 515 09 64
de vous annoncer le lancement d'une deuxième édition de cette formation en F 02 515 09 15
concertation sociale. Elle se déroulera d’octobre 2009 à mai np@vbo-feb.be
2010. Cette nouvelle édition offrira, en sept après-midi, un
aperçu des fondements de base et de toute l’actualité en
matière de concertation sociale.

Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations

croissance relativement plus forte de la valeur > MESURES ANTICRISE

ajoutée. Partant de ces observations, le
Bureau du plan formule deux recommanda-
tions. Premièrement, il importe que, confor-
mément à la loi de ’96, les coûts salariaux
belges ne dérapent pas par rapport à ceux de
nos principaux partenaires commerciaux.
Deuxièmement, il convient de créer un cadre
attractif pour les investissements en recherche
et développement et en innovation. En effet,
seule cette piste peut garantir des gains de
productivité suffisants à l’avenir.
Plus de valeur ajoutée signifie plus de
prospérité et donc une assise plus large pour
le maintien de notre modèle social. L’étude du
Bureau fédéral du plan montre que la réalisa-
tion de cet objectif implique à la fois de gar-
der le contrôle de l’évolution des coûts
salariaux et de concrétiser la transition vers
une économie de la connaissance.
Geert Vancronenburg – gva@vbo-feb.be
Les entreprises utilisent
le chômage de crise pour
les employés
En l’espace d’à peine trois mois, l’ONEM a
reçu un millier de demandes d’entreprises
recourant aux mesures de crise. Plus de 80%
de ces demandes ont trait au chômage de cri-
se pour les employés. Durant les mois d’été,
l’ONEM s’est vu adresser 392 notifications
de chômage de crise, lesquelles concernaient
8.250 employés en juillet et 4.150 en août.
31 allocations ont été payées en juillet et
1.205 en août.
Les données relatives aux paiements ne four-
nissent pas encore une idée correcte de
l’utilisation réelle de la mesure. Du fait de la
date d’entrée en vigueur de la loi de crise (25
juin 2009), de la procédure à appliquer pour
Indicateurs-clés de
l’économie belge actualisés
Le Département
économique de
la FEB vient de
publier l’édition
2009 de son
recueil de chif-
fres-clés. Destiné
aux responsables
politiques et à toute personne intéressée, ce
livret au format pratique offre un rapide tour
d'horizon des principaux indicateurs de
l'économie belge (produit intérieur brut, infla-
tion, marché du travail, finances publiques,
compétitivité et pouvoir d’achat, entrepre-
neuriat et commerce international). Petit
avant-goût : plus de 50% des Belges ne sont
pas disponibles pour le marché du travail ; le
patrimoine financier des ménages a baissé de
106,5 milliards EUR ; en 2008, la dette
publique belge frôlait les 90% du PIB.

avoir accès à la mesure et de la période des

Vous cherchez des salles de réunion vacances, de nombreuses entreprises n’ont
au cœur de Bruxelles ? pu y avoir recours que très récemment ou n’y
La FEB propose un large éventail de salles polyvalentes et modernes, ont pas encore eu recours. De plus, les
à des prix concurrentiels. demandes d’allocations ne sont introduites
qu’un mois après la mise au chômage tempo-
raire effective et le paiement intervient avec
un certain décalage. La ministre de l’Emploi
Joëlle Milquet propose une prolongation des
mesures de crise. Celles-ci contribuent à limi-
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

ter l’impact de la crise, notamment sur le chô-

Infos : Service Events - events@vbo-feb.be - T +32 2 515 09 83 - F +32 2 515 09 15 mage complet.
Les chiffres indiquent que le chômage
de crise des employés est bel et bien utilisé
et qu’il est considéré comme la mesure la
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL plus adéquate. Grâce à la solution tampon
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15
que constitue le chômage temporaire, les
RÉDACTION : Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 – am@vbo-feb.be
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 – tf@vbo-feb.be entreprises sont mieux en mesure de garder
ÉDITEUR RESPONSABLE : Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 – sm@vbo-feb.be
leurs collaborateurs. Aussi longtemps que la
ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba – tél. 03 448 07 57 – nele.brauers@ademaronline.com crise n’est pas derrière nous, ce qui ne sera
CHANGEMENTS D’ADRESSE : FEB – Service mailing – tél. 02 515 09 06 – fax 02 515 09 55 – mailing@vbo-feb.be
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L’Infor est imprimé sur du papier issu de la gestion durable des forêts. La gestion durable des forêts tient compte de
l'écosystème forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indigènes et des travailleurs forestiers*) et est
mesure doit subsister.
responsable d'un point de vue économique.
Bart Buysse – bb@vbo-feb.be