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Assemblée générale annuelle

Le mardi 2 juin 2009, 17h


Salle DR-200, pavillon Athanase David
Université du Québec à Montréal

Rapport annuel 2008-2009

par

Michèle Bertrand
Présidente
Rapport annuel 2008-2009

Mesdames et Messieurs,
Membres et amis de l’ACNU-Grand Montréal

C’est un honneur pour moi de vous présenter le bilan de la section du Grand Montréal de
l’Association canadienne pour les Nations Unies depuis notre dernière rencontre, le 21 mai 2008.

L’ACNU-Grand Montréal est une organisation non gouvernementale. Elle est indépendante des
gouvernements et basée sur le bénévolat. Elle fait partie d’un réseau national et mondial
représentatif de la société civile partenaire des Nations Unies. Dans le Grand Montréal, elle offre un
lieu unique d’échange et de discussion avec ceux et celles que les questions onusiennes intéressent.
Nous avons besoin du plus grand nombre de membres, de partenaires, de collaborateurs et
d’interlocuteurs pour développer nos réseaux et tenir des activités de qualité stimulant la prise de
conscience des grands enjeux internationaux.

À ce titre, la quête de ressources est un perpétuel recommencement. Pour réaliser un programme


plus ambitieux, pour établir de nouveaux partenariats, pour offrir des activités diversifiées, nous ne
pouvons passer sous silence le besoin de ressources additionnelles. Le bénévolat, seul, ne suffit pas.
Nous sommes bien conscients des difficultés de financement que rencontrent les ONG comme
l’ACNU. La crise financière en cours, la diminution dramatique des subventions des
gouvernements, et en particulier du ministère des Affaires étrangères du Canada pour l’ACNU, la
concurrence des organisations entre elles pour attirer membres et donateurs : voilà autant de
facteurs qui influent sur notre fonctionnement et sur notre capacité de nous engager dans de
nouvelles voies ou de poursuivre celles dans lesquelles nous sommes engagés. Et l’annonce récente
du déficit du gouvernement du Canada n’est pas pour nous rendre optimistes sur ce plan. Nous ne
pouvons compter sur l’ACNU nationale comme source de revenus. Il nous faut essentiellement
viser l’autofinancement de nos activités.

En mai 2004, nous vous proposions un cadre stratégique et un programme d’activités que nous
n’avons eu de cesse de bonifier, au meilleur de nos moyens, selon les orientations retenues au fil
des ans. Si l’année 2006-2007 a été une année de repositionnement et l’année 2007-2008 une année
de consolidation, l’année 2008-2009 en a été une de développement et de réalisations.

C’est un bilan positif que nous vous présentons.

Et ce bilan nous permet d’entrevoir, avec des ressources appropriées bien entendu, un déploiement
fort intéressant au cours des prochaines années. Grâce au succès de nos activités et des partenariats
établis et sur le point de l’être, nous sommes en droit de croire que nous sommes en voie d’acquérir,
et même que nous avons acquis, une certaine notoriété dans le réseau montréalais. Seul organisme
dans le Grand-Montréal dont la raison d’être est l’ONU, l’ACNU-Grand Montréal a pris la place
qui lui revient. Et nous devons prendre les moyens pour nous faire connaître davantage autant du
grand public que des institutions spécialisées et des décideurs.

Nous avons encore beaucoup à faire et nous faisons appel à tous pour y arriver.
Notre mission
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Nous avons entrepris l’automne dernier une réflexion sur nos orientations. Réflexion qui a porté
fruit. Car cela nous a permis de recentrer certaines de nos orientations et de préciser des attentes.

Sommairement décrite notre mission est de « Fournir un espace d'information et de discussion pour
encourager un plus grand engagement de la société civile du Grand Montréal vis-à-vis l'action des
organes principaux, des commissions et des agences spécialisées des Nations Unies. » C’est ainsi
que, par le dynamisme de ses membres et en partenariat avec les acteurs locaux, nationaux et
internationaux, et tout en exerçant un esprit critique, l'ACNU-Grand Montréal entend faire
connaître les idéaux et les programmes de l'ONU et examiner le rôle du Canada et de la société
civile au sein de celle-ci.

Ce que nous nous proposions de faire et ce que nous avons fait depuis un an

Voici donc ce que nous nous proposions de faire et ce que nous avons fait depuis un an. En tout
premier lieu, nous avons mis en place des outils pour nous assurer une base solide de
fonctionnement :

o La refonte du règlement général qui était due de longue date. Ce nouveau règlement, présenté à
votre approbation, répond mieux à nos besoins. La création, d'une nouvelle catégorie de
membres corporatifs devrait nous ouvrir la voie à de nouvelles avenues de financement. Ce qui
nous a conduits à la création d’un comité de vérification, dans l’expectative d’une campagne de
financement.

o Les partenariats : Nous avons cherché à Montréal des partenaires ayant des champs d’intérêts
proches des nôtres de façon à combiner nos efforts dans la réalisation de certaines activités, à
nous ouvrir de nouvelles perspectives et à multiplier les retombées :
Une entente de partenariat institutionnel a été conclue avec la Chaire Raoul-Dandurand
en études stratégiques et diplomatique de l’UQAM. Elle vise l'organisation d'activités
publiques et la diffusion d'informations et de la connaissance dans les domaines
d'intervention des Nations Unies.
Une toute nouvelle collaboration s’est amorcée à l’automne avec le Centre collégial de
développement de matériel didactique, le CCDMD. Cette collaboration porte sur
l’enregistrement des conférences organisées par l’ACNU-Grand Montréal et leur
diffusion par le Centre sur son site Web dédié aux conférences numériques. On y trouve
les quatre dernières conférences et celle de ce soir par M. Sami Aoun sera mise en ligne
prochainement.
Nous avons aussi des partenaires à la diffusion tel le Conseil des relations internationales
de Montréal, le CORIM, et le Conseil international du Canada, section de Montréal, le
CIC –Montréal, qui diffusent tous deux l’annonce des conférences organisées par
l’ACNU-Grand Montréal.

o La recherche de financement et la rationalisation des dépenses: Nous n’avons pas échappé aux
effets de la crise financière. Notre recherche de financement a apporté de modestes résultats
pour nos activités en général. Le succès de nos activités implique certaines dépenses que nous
pouvons difficilement éviter. Par ailleurs, nous envisageons la possibilité de communiquer avec
les membres essentiellement par courriel ou par diffusion sur le site Web. Mais les
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répercussions de cette approche sur la réponse des membres devront être soigneusement
examinées avant de la mettre en œuvre.

Il est à noter que nos partenaires nous permettent des économies considérables, pour ne citer
que quelques-uns : l’UQAM pour l’utilisation des salles, le CCDM pour l’enregistrement et la
mise en ligne des conférences. Il est aussi à noter que nous avons reçu un appui financier
appréciable de la part du ministère de la Défense et de la Chambre des notaires du Québec pour
la tenue d’un grand événement public le 4 mai dernier.

o Le Groupe-conseil et de réalisation de l’ACNU-Grand Montréal. Annoncé lors de la dernière


assemblée générale, il regroupe des personnes qui appuient la mission de la section et qui sont
disposées à la conseiller et à participer à la mise en œuvre de ses activités, à divers niveaux. Il
s’agit de personnes désireuses de collaborer étroitement avec nous, en mettant à contribution
leur expertise et leurs talents. Il compte déjà quelques anciens administrateurs et de nouveaux
collaborateurs.

o Les membres honoraires de l’ACNU-Grand Montréal : Conscients des services rendus de


longue date à l’ONU et à l’ACNU par trois de nos membres, et en témoignage de notre
gratitude pour tout ce qu’ils ont accompli et pour leur engagement envers la communauté
internationale et les Nations Unies, nous avons eu l’honneur de les nommer au titre de membre
honoraire. Il s’agit de :
 Madame Beatrice Bazar, ancienne présidente de l’ACNU et de l’ACNU-Grand Montréal – le
26 mai 2008
 Monsieur Paul Gagner, militant de longue date et ancien président de l’ACNU-Grand
Montréal – le 26 mai 2008
 Madame Thérèse Paquet-Sévigny, qui a été de 1987 à 1992 Secrétaire générale adjointe aux
Nations Unies à New York, responsable du département de l’information – le 28 octobre
2009
Nous comptons toujours sur leurs précieux conseils.

Et, en même temps, nous avons poursuivi nos activités ce qui a eu pour effet d’augmenter notre
visibilité.

o Le programme de conférences, tables rondes et autres activités : Dans la foulée des années
passées – nous en sommes ce soir à la 25e conférence publique depuis 2005 – et à la huitième
en 2008-2009. Ces conférences et tables rondes de grande qualité ont attiré des auditoires de
plus en plus nombreux sur des thèmes ou sujets aussi variés que : la préservation de la
biodiversité par les grands jardins botaniques; la transformation des Nations Unies à l’ère de la
mondialisation; la crise alimentaire mondiale; la pomme de terre; la lutte contre la faim et la
malnutrition dans le monde; l’expérience du Brésil dans le maintien de la paix en Haïti; la
responsabilité de protéger. Je remercie Gilles Gingras, Michel Duval et Robert Letendre qui
n’ont ménagé aucun effort.

o La tenue d’un grand événement public : Nous avons organisé une grande conférence publique le
4 mai dernier, de concert avec la Chaire Raoul-Dandurand. Plus de 350 personnes ont assisté à
cette conférence donnée par l’ancien secrétaire général adjoint des Nations Unies,

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Lakhdar Brahimi. Elle a été filmée par l’UQAM et paraîtra sur le canal Savoir à l’automne. Le
lendemain, le 5 mai, se tenait à l’OACI une table ronde à laquelle participaient, sur invitation,
une trentaine de personnes, dont des hauts fonctionnaires du gouvernement du Canada. Nous
avons reçu une contribution de 5000$ du ministère de la Défense nationale – du Forum sur la
sécurité et la défense – et une contribution de la Chambre des Notaires du Québec de 1500$.
Nous les en remercions. Nous remercions aussi la Chaire Raoul-Dandurand pour cette
collaboration exemplaire. La conférence inaugurait le séminaire d’été sur l’approfondissement
des missions de paix de l’ONU organisé par la Chaire du 4 au 15 mai 2009, l’ACNU-Grand
Montréal étant partenaire institutionnel dans ce séminaire. Les rapports de ces deux activités
seront mis en ligne prochainement sur notre site Web. Je tiens à souligner l’apport exceptionnel
de Michel Duval dans l’organisation de cet événement. C’est grâce à lui que M. Brahimi a
accepté de venir à Montréal. M. Duval, alors ambassadeur et représentant permanent adjoint du
Canada à l’ONU, a travaillé avec M. Brahimi, Secrétaire général adjoint chargé des missions
spéciales d'appui aux efforts de prévention et de maintien de la paix, à la mise en œuvre du
rapport du Groupe d'études sur les opérations de maintien de la paix, déposé en juillet 2000.

o Un nouveau site Web : Nous lançons aujourd’hui un nouveau site Web sur les bases de celui qui
a été mis en ligne en septembre 2004. Depuis 2004, l’ACNU-Grand Montréal a déployé ses
activités et ses liens dans le Grand Montréal et le site Web s’est enrichi de contenu. On y trouve
l’annonce des conférences et activités organisées par l’ACNU-Grand Montréal, des comptes-
rendus des conférences et des textes des conférenciers, le bulletin électronique ACNUExpress.
Avec le temps, le site s’est constitué en centre de documentation avec archives mises
gratuitement à la disposition de ceux et celles qui s’intéressent à l’ONU. Ce site Web a été créé
grâce à la précieuse collaboration d’un administrateur en poste à l’époque et vice-président aux
communications, Renato Cudicio et son équipe de Multiple-Media.com. Cette collaboration ne
s’est pas démentie au cours des quatre dernières années et nous l’en remercions. Cette
collaboration nous a aussi permis des économies considérables pour la gestion du site.

Sur les bases de ce premier site Web www.montreal.unac.org et tout en en préservant les acquis,
nous lançons une nouvelle version 2009 www.acnugrandmontreal.org qui nous offre une plus
grande flexibilité, tant dans le contenu que dans sa gestion, et qui s’enrichira à son tour de
nouveaux documents. Nous souhaitons qu’il devienne véritablement une plateforme de
communication avec les membres et nos alliés et avec la population en général.

o La poursuite de l’ACNUExpress : Ce bulletin électronique publié deux fois pas mois sur notre
site Web est considéré comme un outil d’information et même de formation puisqu’il constitue
des archives des nouvelles de l’ONU et des activités de notre organisation. Il a été initié en 2006
par Serge Marcoux, alors secrétaire de l’ACNU-Grand Montréal, et repris en octobre 2007 par
notre collègue Michel Barcelo, membre du conseil. Nous en sommes au quatrième volume et au
49e numéro paru le dimanche 31 mai 2009. Tous nos remerciements à Michel Barcelo pour
avoir pris la relève et tenu l’édition avec tant de persévérance.

o Un logo et une bannière pour l’ACNU-Grand Montréal : Conscients de l’image que nous
devons projeter – nous avons une nouvelle bannière qui nous donne une présence et une
meilleure visibilité lors d’événements publics organisés par nous et avec d’autres.
o Simulations des Nations Unies Amorce d’une collaboration avec les universités et les Cégeps du
Grand Montréal qui ont à leur curriculum un cours sur les Nations Unies et qui ont participé en

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avril 2009 aux Simulations de l’ONU à New York. Nous sommes particulièrement heureux de
cette amorce de collaboration pour une première année et comptons l’enrichir au cours des
prochaines années.

o Le prix Paul Gagner de l’ACNU-Grand Montréal : Et enfin, le tout culmine aujourd’hui en


quelque sorte avec remise du premier prix Paul Gagner de l’ACNU-Grand Montréal. Ce prix,
créé en décembre 2008, est dû à la générosité de M. Paul Gagner, ancien président de l’ACNU-
Grand Montréal, militant de longue date et membre honoraire de notre organisation depuis
l’année dernière. Ce prix est attaché pour la première année en 2009 aux programmes des
universités et des Cégeps sur les simulations des Nations Unies. Il sera remis ce soir à l'équipe
de la Faculté des sciences politiques et de droit de l'Université du Québec à Montréal (UQAM)
pour sa prestation exceptionnelle aux simulations de travaux de l'Organisation des Nations
Unies qui se sont tenues à New York en avril dernier. Mme Véronique Rondeau qui avait été
désignée par ses pairs pour agir à titre de Chef de délégation recevra ce prix pour la délégation.
L'octroi de ce prix est assorti d'une bourse de 700$.

Trois autres équipes montréalaises soit celles du Département de sciences politiques de


l'Université de Montréal, de la Faculté de droit de la même université et de l'École de Gestion de
l'UQAM ont aussi obtenu de très bons résultats. Un chèque de 100 $ sera remis à chacune de
ces équipes.

o Nous nous promettions de mettre en place une structure organisationnelle – nous sommes en
voie de le faire. Il nous faut un soutien technique et administratif pour mener à bien la suite des
choses et à cette fin de nouvelles ressources.

Ce que nous nous proposons de faire pour développer nos acquis et ouvrir à de nouvelles
initiatives

Une campagne de financement


Une campagne de recrutement orchestrée et ciblée
La recherche de membres corporatifs et de commanditaires pour s’assurer d’un financement
stable
La recherche d’administrateurs et de collaborateurs
La mise en place de ressources en communication, en gestion informatique, en secrétariat et
administration, ce qui nous manque cruellement à ce jour.

Et nous pourrons développer :

o Le programme d’activités, conférences et tables rondes qui seront connues au cours des
prochains mois, mais dont nous pouvons dès maintenant esquisser certains éléments qui devront
bien entendu être confirmés. Nous comptons aborder les sujets suivants :
la situation au Congo, en collaboration avec la Chaire Raoul-Dandurand
le patrimoine mondial de l’UNESCO en collaboration avec un partenaire
les objectifs du millénaire de l’ONU, possiblement en collaboration avec un partenaire
un Forum sur les possibilités d’emploi à l’ONU et dans les organisations internationales –
pour rééditer le succès de mars 2008 à l’UdM

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le SIDA/V.I.H. et l’OMS, en collaboration avec un partenaire
l’environnement et les changements climatiques

o Nous prévoyons l’organisation d’un événement majeur et d’une grande conférence publique sur
un des grands thèmes de l’ONU, comme ce fut fait cette année pour la conférence de M.
Brahimi. L’organisation d’une telle activité implique des ressources et des collaborations
importantes.

o Nous comptons développer une véritable collaboration avec les universités et Cegeps du Grand
Montréal qui ont à leur curriculum un cours sur les Nations Unies et qui participent aux diverses
simulations annuelles de l’ONU. Ce tout nouveau créneau amorcé cette année est riche de
possibilités.

On trouvera sur le site Web les informations sur nos activités et les appels de collaborations. Dans
un esprit d’économie et de dynamisme, nous souhaitons en faire notre principal outil de
communication avec les membres et le grand public. Nous vous invitons donc à le consulter
régulièrement. Nous vous invitons aussi à nous proposer des thèmes ou des sujets pour des
conférences ou des communications que vous voudriez voir paraître sur le site.

Ce rapport est bien plus un rapport du comité exécutif et du conseil, que de la présidence, car, sans
la collaboration des membres du conseil, ce rapport ne serait jamais aussi complet. Je ne saurais
passer sous silence l’appui inconditionnel de l’UQAM et du vice-recteur Charron qui nous accueille
dans son université ce soir et qui héberge notre bureau à ORBICOM, le Réseau des Chaires en
communications de l’UNESCO dont il est le secrétaire général.

Je tiens à remercier tous les membres du conseil d’administration pour la confiance qu’ils m’ont
accordée au cours de l’année et pour leur collaboration. Et plus particulièrement le vice-président,
Gilles Gingras, le secrétaire, Robert Letendre, le trésorier, Michel Sirois, Michel Duval pour sa
précieuse participation au programme des conférences, Nicole Trudeau pour la refonte du règlement
général, Francois Carrier pour la mise en place du nouveau site Web et Michel Barcelo pour
l’ACNUExpress.

Je tiens aussi à remercier pour leur précieuse collaboration au cours des dernières années les
membres du conseil qui ont quitté leur poste au cours de l’année : Renato Cudicio, Mario Lavoie et
Riham Omar Sayed.

Je vous invite tous à assister à la conférence de M. Sami Aoun qui, j’ai le plaisir de le signaler, a
prononcé le 26 mai 2006 l’une des toutes premières conférences organisées par l’ACNU-Grand
Montréal et, aujourd’hui, la 25e. Il nous entretiendra de l’ONU et du Liban

Je vous remercie.

Michèle Bertrand, OAQ


Présidente
Association canadienne pour les Nations Unies – Grand Montréal

Le 2 juin 2009

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