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Posted: Sat, 20 Jun 2009 09:58:32 PDT
• Le Canada est devenu une nation de propriétaires
Posted: Thu, 18 Jun 2009 14:32:33 PDT
• Les jours de la récession sont comptés !
Posted: Wed, 17 Jun 2009 06:08:52 PDT
• Immobilier: Montréal épargnée par les baisses de prix
Posted: Wed, 17 Jun 2009 05:39:06 PDT
«En mai, 55% des Québécois jugeaient que les conditions actuelles
étaient favorables à l'achat d'un bien important tel qu'une propriété,
comparativement à 38% en avril», a indiqué Michel Beauséjour, chef
de la direction de la CIGM, dans un communiqué.
Taux d'intérêt
Les agents immobiliers, pour leur part, se frottent les mains. Ils
avaient craint d'assister à une grande dépression du marché
immobilier montréalais quand la crise financière a éclaté en septembre
dernier. Leur inquiétude semble maintenant dissipée.
«Le regain que j'ai constaté en mai, c'est par rapport à l'automne
dernier, où ç'a été pourri, a dit Carl Poulin, agent à La Capitale du
Mont-Royal. Je n'ai pas senti la crise depuis le début de 2009.»
Gains généralisés
Le délai de vente s'est par ailleurs allongé dans toutes les catégories
d'habitations. Il a fallu 79 jours en moyenne pour vendre une maison
unifamiliale (64 l'an dernier), 89 jours pour un condo (83 l'an dernier)
et 92 pour un plex (72 l'an dernier).
Prix médian
Le Québec résiste
• Les taux hypothécaires vont remonter... un peu
Posted: Wed, 17 Jun 2009 05:31:00 PDT
(Montréal) Les taux hypothécaires ont amorcé le mois dernier une
remontée qui va sans doute se poursuivre tout au long de l'année et
de l'an prochain, sans atteindre des sommets vertigineux pour autant.
Les taux consentis par les institutions aux épargnants vont aussi
augmenter, mais ils resteront anémiques. Telles sont les hypothèses
formulées par l'équipe d'économistes de Desjardins.
Cela n'a rien de surprenant, si on considère que les taux sur les prêts
hypothécaires de cinq ans avaient atteint leur creux historique de
5,25% au début du printemps.
Taux directeur
Ce scénario est fondé sur les hypothèses que la reprise attendue en fin
d'année sera molle et que la Banque du Canada devra garder très
faible son taux directeur, car les risques que le taux d'inflation
revienne bientôt à sa cible de 2,0% sont très faibles.
Desjardins attribue la remontée récente des coûts hypothécaires à
moyen et long terme à la poussée équivalente des taux obligataires
sur les marchés financiers, en particulier ceux des États-Unis. Les
investisseurs manifestent des inquiétudes devant les besoins de
Washington pour financer un déficit qui équivaut cette année à 13% de
la taille de la première économie du monde.
Les CPG de trois et cinq ans seront à peine plus prometteurs avec des
rendements escomptés jusqu'à 2,75% et 3,35% à la fin de l'an
prochain.
• Les ventes sont en hausse pour la première fois depuis les sept derniers mois
Posted: Tue, 16 Jun 2009 14:19:02 PDT
Sur le plan géographique, tous les secteurs ont vu leurs ventes augmenter en mai 2009 comparativement
au même mois l’an dernier. La Rive-Sud a été le secteur le plus dynamique avec une hausse des
transactions de 13 %. Le nombre de ventes conclues sur la Rive-Nord a augmenté de 8 %, alors que l’île
de Montréal, le secteur de Vaudreuil-Soulanges et Laval ont affiché une croissance de respectivement 7
%, 5 % et 4 %.
Au 31 mai 2009, le nombre d’inscriptions en vigueur était en hausse de 6 % par rapport à la même date
l’an dernier.
• Les ventes de maisons grimpent à Montréal
Posted: Tue, 16 Jun 2009 06:01:43 PDT
(Montréal) Pour la première fois depuis sept mois, les ventes de propriétés résidentielles sont en
hausse dans la région métropolitaine de Montréal.
Ce sont les ventes de maisons unifamiliales qui ont mené le bal avec une bond de 13%, pour
atteindre 2959 propriétés vendues.
«La confiance des consommateurs qui a atteint son plus haut niveau depuis juillet 2008 explique en
grande partie cette croissance des ventes. En mai, 55 % des Québécois jugeaient que les conditions
actuelles étaient favorables à l'achat d'un bien important tel qu'une propriété comparativement à 38
% en avril», souligne Michel Beauséjour, directeur de la Chambre immobilière du Grand Montréal.
Selon lui, trois facteurs influencent le marché immobilier : «la confiance des consommateurs, les
taux d'intérêt, qui sont à un niveau historiquement bas, et la création d'emplois.»
Moins impressionantes que pour les maisons unifamiliales, les ventes de plex ont tout de même
progressé de 3%, alors que celles de copropriétés ont augmenté de 2%.
Le prix de vente médian des maisons unifamiliales a progressé de 3% pour s'établir à 238 000$.
Celui des plex a progressé de 2% à un prix médian de 350 000$, et celui des copropriétés de 3% à
192 750$.
C'est une bonne nouvelle selon Michel Beauséjour qui soutient qu'une hausse de l'activité du
marché immobilier, soutenue par une hausse de prix, «confirme que l'immobilier à Montréal
demeure un bon investissement».
C'est la Rive-Sud qui a été le secteur le plus actif avec une hausse des transactions de 13%. Le
nombre de ventes sur la Rive-Nord a augmenté de 8%, alors que l'île de Montréal, le secteur de
Vaudreuil-Soulanges et Laval ont affiché une croissance de respectivement 7%, 5% et 4%.
Au 31 mai 2009, le nombre d'inscriptions en vigueur sur MLS était en hausse de 6% par rapport à
l'an dernier.
Le nombre des nouvelles inscriptions a cependant chuté de 12% au cours de cette même période.
• Le résidentiel reprend des forces
Posted: Mon, 15 Jun 2009 12:19:15 PDT
L’activité résidentielle canadienne de la revente est revenue aux niveaux atteints avant la
recession. La reprise est attribuable à l’augmentation des marchés les plus dispendieux
au pays, faisant du coup gonfler le prix moyen à l’échelle nationale.
En mai, les ventes résidentielles réelles s’élevaient à un peu moins de 50 000 logements, ce qui
représente un écart de moins de 1% par rapport à l’an dernier, selon les statistiques de l’Association
canadienne de l’Immeuble (ACI).
Ce sont les gains mensuels enregistrés à Toronto (9 %), Calgary (25 %), Montréal (10%),
Vancouver (8 %), et Edmonton (12 %) qui sont en grande partie responsables de la hausse de
l’activité mensuelle.
Le prix moyen des ventes résidentielles a atteint un niveau mensuel sans précédent en mai 2009. Il
se situait à 319 757 $, ce qui représente une hausse de quatre dixièmes de point de pourcentage
par rapport au record précédent atteint en mai 2008. Depuis quatre mois, le prix moyen résidentiel
a repris 16,4%, comparativement au bas niveau enregistré au mois de janvier.
Par ailleurs, le stock de maisons mises en vente a continué de diminuer en mai. Compte tenu de la
hausse importante des ventes et de la tendance des inscriptions à la baisse, l’équilibre entre l’offre
et la demande se rétablit en Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan, en Ontario et au
Québec.
« Les ventes se rapprochent plus des niveaux atteints avant la récession que du point bas atteint
récemment en janvier », affirme le président de l’Association canadienne de l’immeuble, Dale
Ripplinger, un courtier de Regina.
• (Montréal) Un gros coup de frein se confirme dans la construction résidentielle
Posted: Fri, 12 Jun 2009 12:47:45 PDT
Les mises en chantier rechutent fortement ce printemps par rapport aux années précédentes, montrent
les dernières données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).
Mais ces années précédentes furent aussi celles de niveaux d'activités records, tempèrent des économistes et des
Par conséquent, le ressac observé des mises en chantier résidentielles, même d'environ 20% en nombre d'unités, ne
serait pas encore du niveau de «crise» subie dans certains autres secteurs de l'économie.
«On s'attendait à une baisse d'au moins 15% des mises en chantier cette année, après de très bonnes années. La plupart
des entrepreneurs ont ajusté leur niveau d'activité afin d'éviter des surplus de stocks de maisons et de condos neufs», a
dit hier Bruno Nantel, directeur à l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ).
Constat semblable de la part de Marc Pinsonneault, économiste principal en immobilier à la Banque Nationale. «La
construction résidentielle au Québec subit une correction un peu normale après des années records. Par ailleurs, l'offre de
«Jusqu'à maintenant, les constructeurs ont évité de se retrouver avec des surplus de stocks qui nuiraient aux valeurs
Cela dit, est-ce que la baisse des mises en chantier risque de s'accentuer? Ou au contraire, le pire est-il passé, comme le
Ainsi, le taux annualisé de mises en chantier résidentielles dans les principales localités (10 000 résidants et ") au Canada
Autrement dit, la construction résidentielle au Canada en mai avait accéléré au rythme de 128 400 logements en 12
Au Québec, toutefois, ce regain de vigueur de la construction résidentielle en mai serait moins prononcé, de l'ordre de 3%
seulement.
Selon la SCHL, ce gain correspond à 34 200 logements construits en 12 mois dans les principales localités au Québec,
«Ces chiffres reflètent une tendance immédiate du marché, en excluant les facteurs saisonniers comme la relance de la
construction au printemps. Toutefois, d'autres facteurs économiques ou financiers pourraient les influencer beaucoup au
cours des prochains mois», admet Kevin Hughes, économiste principal de la SCHL pour le marché québécois.
Au Mouvement Desjardins, l'économiste Benoît Durocher estime très «temporaire» le léger regain de la construction
«Je ne suis pas convaincu que le pire est passé, surtout avec ce qui se dégrade ailleurs dans l'économie, comme le taux
Jusqu'à quel niveau? Peut-être aussi bas que 110 000 logements sur une base annualisée pour l'ensemble du Canada,
S'il s'avère, un nombre aussi faible signifierait le pire marché de construction résidentielle au Canada et au Québec depuis
Observation semblable du côté de la Banque Toronto-Dominion, qui est très impliquée dans le marché hypothécaire de
Selon l'économiste Millan Mulraine, «en dépit du léger regain observé en mai par la SCHL, la construction résidentielle au
Canada demeure atrophiée de 42% par rapport à l'an dernier, à pareille date. Elle est aussi en recul majeur de 53% par
À la Banque Nationale, l'économiste Marc Pinsonneault est moins pessimiste. «Je m'attends à une année de construction
résidentielle encore dans la bonne moyenne, malgré l'ampleur de la baisse après des années records.»
Au Québec seulement, ça signifierait environ 40 000 mises en chantier comparativement à 47 900 l'an dernier, toutes
«Autour de 40 000 unités, ça serait encore mieux que le creux de 27 800 unités atteint en 2001», a relaté M.
Pinsonneault.
Quant à l'impact du recul des mises en chantier résidentielles sur la main-d'oeuvre en construction? Encore très minimal,
selon Benoît Nantel, de l'APCHQ, parce que les travailleurs de la construction sont «très mobiles» d'un type de chantier à
un autre.
«Le nombre d'heures travaillées en construction n'a pas encore vraiment diminué au Québec. S'il y a moins de
travailleurs dans le résidentiel, ils sont plus nombreux du côté des chantiers institutionnels et d'infrastructures. La
Québec (localités de 10 000 résidants et "), mises en chantier résidentielles totales de janvier à mai inclusivement.
2009 - 12631
2008 - 16716
• Un des plus grands mystères du monde financier: combien vaut le magnat américain
de ...
Posted: Fri, 12 Jun 2009 12:40:49 PDT
Dans un livre publié en 2005, Trump Nation: the Art of being the Donlad, l'auteur Timothy O'Brien, un
éditeur au New York Times, affirmait, selon des sources anonymes, que sa fortune s'élevait entre 150 et
250 millions de dollars US. Pas plus.
Trump, de son côté, estime que son empire vaut au moins 4 milliards de dollars. Il a alors poursuivi en
cour l'auteur du bouquin pour diffamation, rappelle le Wall Street Journal. La star du petit écran, qui a
animé The Apprentice, a avancé que de tels propos avaient nui à sa réputation et lui ont fait perdre des
contrats aux États-unis et sur le marché international.
L'affaire s'est poursuivie lundi, à la cour de justice de Camden, au New Jersey. Pour se défendre, Trump
s'est appuyé sur des déclarations légales, publiées en 2007, concernant ses propriétés.
En novembre 2007, Trump affirmait au Wall Street Journal qu'il avait vendu ses 1282 lots de l'ensemble
immobilier Trump International Hotel and Tower, lancé à Las Vegas avec le magnat des jeux Phil Ruffin. Un
mois plus tard, il déclarait officiellement posséder encore 900 lots. Les avocats se demandent donc s'il
ment ou pas sur ses comptes.
Exagérations ?
Lors de son témoignage en 2007, on lui a demandé s'il avait déjà exagéré sur la valeur de ses propriétés.
«Je crois que tout le monde fait ça. Qui ne le ferait pas? », avait-il alors répondu.
Le célèbre promotteur immobilier avoue ne pas être habile en comptabilité. Mais les comptables sont là
pour ça, avait-il lancé.
Et la Trump Tower, sur la chic 5ème avenue à Manhattan ? Elle rapporterait un revenu opérationnel de 4
millions de dollars. Trump rappelle qu'il occupe deux étages et demi du bâtiment et ne paie donc pas de
loyer. Ce fait doit inclus dans le calcul du revenu, souligne-t-il.
L'homme d'affaires possède-t-il un ordinateur ont demandé les avocats ? Ni ordinateur, ni PDA, a répondu
le principal intéressé. Il préfère le classique papier et stylo et n'utilise même pas le courriel.
Malgré la crise économique, Trump nie vivre des moments difficiles. « Nous avons beaucoup d'argent en
ce moment, nous commençons à acheter de nouvelles choses», a-t-il affirmé dans une entrevue accordée
dimanche au Wall Street Journal.
Selon le magazine Forbes, la fortune de Donald Trump est estimée à 1,6 milliard de dollars.