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Jean-Pierre N{ARMÛNIER
I)Ûcl.sur c* psych*lr:gi*.[irrseigrr;lrl *rss*cié ll i'[Jnir,t'r:gi|* ti* lJçrd*lrrx Il
10" rue.l.errasson 33g{Jû BORDF:AUX 1'é1, : f}5 56 31 21 6-< c*urriel : nnrmonierjeanpierreli?-loc|rflr
Itducation d'un ser{ ou éducâtion d'un citoXen librc : : le rôle clef de la po*ition parentûl€
Je le (la) rends dépendant(e) de moi, j'essa,ve de prévenir Dès le ptusjeune âgeje lui apprends des conduites
ses désirs, de cornbler ses manques .Je veuri le (la) rnir d'autonomie de la vie quotidienne en particulier je lut I
comblé(e) .Je mets à sa disposition tous les objets demande de contribuer aux tâches à la hauteur de ses I
susceptibles de cornbler son manque. Je lui demande capacités :je le (la) rnets à contribution pour le rangement
continuellement ce qu'elle (il) veut ce qui lui pennet de de ses affaires, et les tâches domestiques en général. Je ne I
mérnoriser de façon précoce que son manque peut tottjours lui demande pas c€ qu'il (elle) veut'
m'afiner.
I
être cornblé paî un élément extérieur. Je lui demande de Je ne lui dernande pas de i
m"aimer.
Je vors mon enlam tel qll ll tele; est avçu bçb ual'durrçù" DlD
Je m'abuse à son srdet el ne !'eux l'oir en lui (elle) qu'un ôiffrcultés, les domaines où il est nécessaire de I'encourager
<< ange D, un ( annur >> un être rnenteillettx et virtuel qui de lui demander des efforts réitérés
Je r."alide ses réussites et ses réalisations quand
je reconnais
rn' appartienl et donl je dois proJiter le plus possible.
qu'elles sont le fruit de ses ef[orts, et blâme ses
manquetnents en 1ui demaldant de les corriger.
Jele{la) dispense d'efforts et me mets en toute occasion à J'inclus son aide et ses efforts comme une ressource
son service pour qu'elle (il) joue et < profite * davantage de farniliale; je lui dernande de I'aide dans des tâches de la vie
la vie quotidienne : je lui confie la responsabilité d'offices et
ririfie qu'elle (il) les accotnplit.
Je le (1a) crois apte à sav'oir ce qui est bon pour lui (elle) et Je ralide les choix et les opinions judicieux qu'elle (i1)
( respecte > ce que je nofirme ses choix. Je pense qu'elle exprime et m'insurge érentuellement alec vigueur el
(il) tirera luirnêrne (elle-même) la leçon de ses erreurs et ténacité coiltre les choix que j'estirne mauvais pour elle
sera à même de les rectifier seul (e).
(lui)je lui explique rues positions et les conséquences
négatives de ceux de ses choix que je désapprouve.
Je ménage ses fatigues consécutn''es à ses plaisirs et veille ie crois en son énergie inépuisable et ne le dispense
à son repos. Je lui apporte des réconforts face à la dureté du d'efforts qu'en cas de maladie réelle, jamais après des
monde. plaisirs.
Jelui indique qu'elle (il) der''ra Toujours subir un monde Jelui indique que le futur lui appartient et que son énergie
dans lequei tout est joué d'avance et où aucun futur n'esl contribuera à clunger le monde'
J'évite les crises, recherche le consensus la paix et le calme. Je sais que les crises d'opposition aigÛes sont des rnoments
Ie négocie tûut avec I'enfant puis I'adolescent. incontournables indiquart des étapes de la croissance.
l15Y{-'f 1Ol''ELlr{tl{lGl ç[r 53
Tean-Fierre MARMONIER
l;*cle:rir *n psychohgi"r l,-hargé cle csurg à l'UnivtrEitê 1,'r.:f:cr Sriel+'rr lloreleasx
10 fue Telîassoû 338t)0 SbilDnaÛX fet. : 05 56
- ?1il 65
courriel : narmorugtElpierref]lneuf.fr
ean-Pierre f',{ARÀ{0NIER
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l0 nre'f.'rrasson 33800 IIORDF,AI iX 1'é1. : 05 56 l1 21 {r5 courriel i nrâffiÈnier.ieanpiÈIlqSllCgili