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M’accabler le regard noué dans ce matin sur ce café d’empreinte en prise de mon très cher et mou cerveau lâche et
lâché comme une vierge flèche distendue et léchée d’atmosphère vers
D’hirsutes abandons.
Une histoire ramassée et perdue qui se dit qui se répète et qui bègue et pagaie au large
Des matins cafés.
Divan terrassé de soleil aux murs de table par une détente orthogonale du fond des tasses et des premiers précieux
précipices moments où déconstruction et réveils et veilles auront été brutalisées par courbes droites en présences
courbes et rectifiant l’espace des corps unis limités des sols et s’enlaçant de membres incompris d’absence sommeil
avant café.
Bon jour,
C’est un œil qui se tourne contre cristaux de paupière et la vie qui s’injecte d’une découverte qui se répète : C’est
la même pièce je la connais je l’avais vue je l’avais déjà imaginée. Comme on invente le vague et la vague pour s’en
glisser quand les premiers n’avaient pas besoin de mer.
Parce que les premiers Dragons n’avaient pas besoin d’imagination.
Être là j’aurais aimé j’aurais aimé être là être là tout là j’aurais aimé et entier et là j’aurais aimé être
Comme une mer d’horizon.
Libre de deviner l’envol inconscient d’être là sans avoir à recommencer et voir
Ces yeux.
La mer est en face au le du poète par le pied et le poète trace sa lame dans le sable.
Il se joue de la tendre mer.
Il s’amuse des langues fébriles,
Amuse ses langues tactiles.
Lui défigure le rivage.
La mer lutte le poète et sa lame,
La mer tremble et ses vagues...
Les poumons sauvegardent le travail ; est elle une langue qui s’agite.
Une langue de mort c’est comme racine s’agite,
C’est une langue qui tremble, qui s’excite.
Un fromage qui s’agite de poumon tremble le mort par sa langue.
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Un mort qui ne crois pas en la mort est une subchose trop étrange.
On ne tue pas les morts.
Un mort ça se respecte.
On baffe le poète à longue langue de mer tendre pour le réconcilier avec sa mer.
On baffe un poète pour le réveiller, pour le faire descendre
Puis la mer claque le visage et la nuque.
La mer ne crois pas en la mort et le poète ne crois pas en la mer mais le poète ne veux pas.
Il veut croire en la mer.
Et c’est la révolution.
Le poète croit en la mer,
La mort est une chose qui possède et que ne partagent pas les dieux.
On ne mélange pas la morts et la mer, et la mer maintenant possède le mort.
La mer possède le poète et le poète aime désormais la mer.
L’horizon observe.
Tout les convenus bons morts sont unanimes, et les dieux avec.
Un bon mort est un souvenir efficace, un regret qui travaille l’espace et le décor.
Quand le saint sera mort il y aura sur sa tombe une stèle,
Ou un pieux,
Sertie de phrases et d’autres choses utiles aux morts.
L’horizon observe,
Quelque chose dans le ventre.
Tout, je jette tout.
Je ne veux plus rien voir.
J’arrête tout, je cale tout, colle les drogues et brûle les poubelles.
Drogue les colles c’en est fini, je purifie. C’est :
Je nettoie.
J’éradique. Car :
Je veux voir ce qu’il y a quand il n’y a rien.
Je veux voir ce qui passe quand il n’y a rien.
Et là, ce n’est pas comme si cela voulait dire quelque chose mais...
Je m'ennuie.
Mon mouton :
Mon squelette et mes organes sont sur une table,
Bien séparés,
Chacun de leur coté.
Un corps humain en double puzzle par tas distincts sur une table sans technique de greffe,
Cela n'amène nulle part.
Je me souviens la table.
J’ai apprise la table et je l’avais jeté.
Maintenant qu’il faut que reste une chose de nostalgique :
Il y a une flaque comme une langue
Qui se souvient de la table comme du vent qui la brosse maintenant.
Plus loin appelle le rêve et l’appareil qui rapproche est celui qui fabrique le rêve.
Les trois vont de paire.
De l’écho, moi et ce dont je me souviens,
Il y en a un de trop.
Oune particule
cadastrée
Gare,
...savoir
conclure sans l’air de rien